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Les commentaires de Nina K



  • 3 votes
    Nina K Nina K 3 avril 2014 22:52
    Merci !
    A la une ?
    Non, nous c’est à deux ou rien ! ( ? Lila ? )


  • 3 votes
    Nina K Nina K 4 janvier 2014 17:48

     

    Internet : un avant et un après Edward Snowden

     
    « Ces révélations risquent-elles de les affaiblir ?

     

    Oui. Récemment, huit géants de l’internet américain, dont Google, Facebook, Microsoft, et Apple ont publié une lettre ouverte au président Obama pour lui demander plus de transparence dans l’espionnage numérique.

     

    Ils craignent pour l’économie numérique. Facebook a peur que les jeunes ferment leur compte, Google craint pour son moteur de recherche et Yahoo pour le nombre de ses clients. Surtout, les géants du "cloud" américain, comme Amazon, Dropbox ou Google, qui conservent des masses de données à distance, dans leurs serveurs, craignent qu’on ne leur fasse plus confiance.

     

    Barack Obama vient d’ailleurs d’inviter ces patrons de la Silicon Valley pour une réunion à la Maison Blanche, pour les écouter et les rassurer : la rencontre, très médiatisée, à durer plus de deux heures.

     

    Que dit la justice américaine ?  

    Tout récemment, un juge fédéral de Washington, pourtant nommé par George Bush a, pour la première fois, estimé que la collecte d’informations de masse de la NSA était arbitraire et qu’elle violait la constitution américaine.

     

    Et ce vendredi, un autre juge fédéral, cette fois de New York, a estimé, au contraire, que ces collectes étaient légales. La presse américaine estime donc que la Cour Suprême devra à terme se prononcer sur le sujet. ... »

     

     

    Une belle engeance de multinationales véreuses (fraude fiscale, quasi esclavagisme chez leurs sous-traitants, flicage de leurs "clients" à tous les étages, etc)

     



  • 4 votes
    Nina K Nina K 4 janvier 2014 17:23

    Comment la NSA peut bidouiller votre iPhone, votre wifi, votre PC, votre écran...

     
    « Pour hacker les appareils informatiques, la NSA s’appuie sur une palette d’outils ultrasophistiqués, dévoilée par Edward Snowden. Voici un aperçu du catalogue.

     

    Ceux qui pensent que la NSA se limite à remplir d’énormes bases de données en collectant des données sur le réseau Internet, se trompent. Le service secret américain a une capacité d’intrusion extrêmement précise, presque chirurgicale. Chaque élément logiciel ou matériel de votre environnement informatique peut ainsi devenir un vecteur d’attaque. C’est ce qui ressort des documents que vient de publier, lundi 30 décembre, le magazine allemand Spiegel, sur la base de documents d’Edward Snowden. L’inventivité technique est impressionnante, alors que ces documents commencent déjà à dater quelque peu (2007/2008). ... »

     

    Parano s’abstenir... smiley

     



  • 5 votes
    Nina K Nina K 1er janvier 2014 20:49

    Une fois que le lobby du nucléaire a réussi à lancer l’exploitation de ses réacteurs dans un pays, le chantage à l’accident nucléaire pourra se faire sur des générations et des générations... Non seulement les centrales sont un risque mortel direct pour les populations, mais en plus ce sont les "populations survivantes" qui paieront "les dégâts" si ça se passe mal (et non pas des assureurs, ou les exploitants privés...), très chers, pendant des dizaines d’années. Et si la centrale ne pète pas, il faudra quand même à terme payer très cher pour son démantèlement, pendant des dizaines d’années. Et quoi qu’il arrive vous aurez le "traitement" des déchets à charge, pour une durée qui dépasse l’entendement...

    Une fois qu’on a laissé ce lobby passer à l’étape de production, le chantage sera permanent et sans limite de temps connue... Et ceux qui ont choisi le nucléaire tel qu’on le connait depuis quelques dizaines d’années, savent très bien que les populations sont littéralement prises en otage, génération après génération...

     

    Bonne année quand même...

     



  • 3 votes
    Nina K Nina K 31 décembre 2013 16:46

     Merci d’avance à ceux qui liront et commenteront. Je lirai les commentaires l’année prochaine... smiley



  • 9 votes
    Nina K Nina K 31 décembre 2013 16:46

     Merci d’avance à ceux qui liront et commenteront. Je lirai les commentaires l’année prochaine... smiley



  • 2 votes
    Nina K Nina K 26 décembre 2013 16:50

    Ne pas oublier Glenn Greenwald et ceux qui lui "tiennent la main"...

     

    Lire cet article pour en savoir plus : A quel jeu joue Glenn Greenwald ? dont voici quelques extraits :

     

    « Depuis l’annonce, le 16 octobre 2013, en pleine « affaire Snowden » d’une association des journalistes Glenn Greenwald et Laura (Guardian) et Jeremy Scahill (The Nation) avec le milliardaire cosmopolite un brin controversé Pierre Omidyar créateur d’eBay, la communauté de l’alerte éthique est sur les dents. » (...)

     
    « Sibel Edmonds, une lanceuse d’alerte pure et dure ancienne traductrice au FBI qui a personnellement subi les ressorts secrets du Patriot Act et qui anime à ses frais l’excellent Boilingfrogspot.com, a voulu en avoir le cœur net.

    Dans un article du 11 décembre consacré à l’association Greenwald-Omidyar (« BFP Breaking News – Omidyar’s Paypal Corporation said to be implicated in withheld NSA documents ») elle se demande sans fioritures si les 250 millions de dollars en question ne seraient pas tout simplement le prix payé par Omidyar à Greenwald, son futur « associé », pour mettre la main sur la moisson de secrets nauséabonds confiés imprudemment par Snowden à ce dernier, et s’assurer ainsi les bonnes grâces de l’exécutif américain en mettant un terme aux révélations dont les effets pourraient s’avérer dévastateurs pour les Etats Unis à moyen-terme. »



  • 4 votes
    Nina K Nina K 24 décembre 2013 15:43

    "Je n’ai plus ni les notation ni le résultat si je ne m’inscrit pas sur facebouc. Tu as quelque chose de différent sur ta page AgoravoxTV ?
    On m’impose donc de me lier a facebouc pour consulter ce que j’avais en libre accès auparavant."
     
    Je suis en train de tester avec l’ordinateur d’une copine qui est connectée sur facebook (caca beurk), et on voit exactement la même chose sur Agoravox TV, connectée sur facebook ou sans...
     
    Ils ont dû supprimer le vote "D’accord avec l’article ?" qui n’apparait plus sur les articles récents... Tant mieux ! smiley
     
    On m’appelle pour goûter la crème au chocolat...
    Bon réveillon !
     smiley



  • 19 votes
    Nina K Nina K 24 décembre 2013 14:01

     Le sujet traité ici est autrement plus important que le vote sur les articles d’Agoravox pour amuser les gamins... 
    On n’est pas l’école ! Quand on fait un article, cest le sujet qui compte. On s’en fiche complètement de recevoir une "note" par des gens anonymes (dont on ne connaît pas les compétences...). Et, comme l’explique Jérémie, si on ne veut pas être profilé par facebook, il suffit de ne pas s’y inscrire... Jusqu’à preuve du contraire, personne n’est obligé de s’y inscrire et personne n’est obligé de cliquer sur leurs boutons...
     
    Bonnes fêtes quand même ! smiley
     



  • 4 votes
    Nina K Nina K 10 décembre 2013 12:00

    Bonjour Mr Anderson smiley
     
    Avez-vous vu ce reportage diffusé samedi dernier sur arte ?
     
    Des millliers d’Américains ont risqué leur vie en Irak par patriotisme. Des hommes et des femmes blessés, traumatisés, floués, par leurs employeurs, par leurs compagnies d’assurances et par leur pays, qui se sentent aujourd’hui abandonnés.
     
     
    John Woodson a perdu un oeil et une jambe dans l’explosion d’une bombe. Andrea Johnson a de graves lésions au cerveau, conséquences d’un tir de roquettes. Mary Southerland a été harcelée sexuellement par ses collègues. David Guthrie, chauffeur de camion, a été pris pour cible par des tirs de mitrailleuse. Il en est sorti lourdement traumatisé.
     
    Quatre cas parmi les milliers d’employés qui ont risqué leur vie en Irak par patriotisme.
    Des hommes et des femmes floués par leur employeur, par leurs compagnies d’assurances et par leur pays, qui se sentent aujourd’hui abandonnés.

     

    Pour voir le replay de l’émission
     
    40 milliards $ de contrats pour Halliburton et sa filiale KBR pendant la guerre en Irak...
     
    Dennis Kucinich vers 21:35 : « S’il y avait une justice dans ce monde, M. Bush, et M. Cheney et tous les reponsables qui nous ont envoyé faire la guerre en Irak, devraient être traduits devant la Cour de justice internationale de La Haye... »
     



  • 6 votes
    Nina K Nina K 7 décembre 2013 21:15
     
    Nous sommes le peuple ! 
     Des individus qui savent se donner une forme collective, 
     Des citoyens actifs qui s’occupent de la vie collective au lieu de la subir. 
     



  • 4 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 19:45

     Et ils en sont déjà à travailler sur des générations successives de clone, à l’infini...

     
     
    Dans le journal scientifique américain Cell Stem Cell, des scientifiques japonais ont révélé leur expérience assez étonnante : une souris clonée 26 fois de suite, ce qui signifie que chaque reproduction de l’animal s’est faite à partir du dernier spécimen cloné. (...)
     
    Il n’est pas certain que l’on connaisse un jour le nom de la première souris de cette série de 26 démarrée il y a sept ans, mais les chercheurs nippons affirment que les petits mammifères clonés se portent bien, comme il est convenu de dire lors d’une naissance.
     
    Ils sont tout à fait normaux, au point de pouvoir se reproduire comme leurs congénères - hors laboratoire - même si quelques petites anomalies ont été constatées. La taille de leur placenta serait ainsi un peu plus grande, sans conséquences sur leur santé, nous dit-on. Surtout, ces anomalies ne se sont pas aggravées après les clonages successifs.
     
    Le responsable de cette expérimentation a d’ailleurs précisé qu’il la continuerait jusqu’à son terme : « Je veux aller jusqu’au point où je pourrai dire que nous pourrions continuer la chaîne jusqu’à l’infini ».



  • 4 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 19:42

     Et pour bientôt passer à l’homme ? tellement le clonage devient "facile" à maîtriser...

     
    Une seule goutte de sang suffit pour cloner une souris :
      
    By Helen Briggs
    BBC News
     
    Scientists in Japan have cloned a mouse from a single drop of blood.
     
    Circulating blood cells collected from the tail of a donor mouse were used to produce the clone, a team at the Riken BioResource Center reports in the journal Biology of Reproduction.
     
    The female mouse lived a normal lifespan and could give birth to young, say the researchers.
     
    Scientists at a linked institute recently created nearly 600 exact genetic copies of one mouse.
     
    Mice have been cloned from several different sources of donor cells, including white blood cells found in the lymph nodes, bone marrow and liver. (...)
     



  • 4 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 19:37

     D’ailleurs, les apprentis sorciers (dans la vraie vie, pas dans le roman) ont déjà rajouté le clonage dans leur panoplie "eugéniste"... 

     
    Pour nous faire bouffer de la viande génétiquement modifiée et issue d’animaux clonés (comme quoi, manger local, végétarien et bio, ça risque de devenir une orientation incontournable...) :
     
    Mardi 15 Janvier, l’Agence américaine de réglementation des produits alimentaires (FDA) a donné son feu vert à la commercialisation de produits issus de bovins, de chèvres et de porcs clonés. 
     
     
    Le voyage, aussi réfrigérant que la chambre froide du boucher, démarre dans les ranchs du Texas, où la génisse clonée est devenue la vache à lait d’une production agricole intensive. Un labo d’Austin expédie par la poste dans le monde entier son kit de prélèvement, qui permet de reproduire les bêtes les plus résistantes et les plus fécondes. Le clonage, un moyen de produire plus de viande pour nourrir la planète, assurent ses partisans. C’est aussi l’argument brandi par la société américaine qui a conçu un saumon « Frankenstein » transgénique, dix fois plus gros qu’un saumon sauvage, et qu’elle espère pouvoir commercialiser bientôt.
     
    Du clonage bovin aux animaux génétiquement modifiés (dont un cochon-méduse de science-fiction, au groin fluo), l’enquête énumère toutes ces bestioles bidouillées au nom de la recherche, du progrès... et de la prospérité des géants de l’agro­alimentaire. Leur lobbying semble inépuisable pour étouffer les bémols des chercheurs et des ONG, qui alertent sur les risques que court l’écosystème et sur la méconnaissance des dangers pour notre santé — volet qui aurait gagné à être un peu plus développé. On découvrira avec étonnement qu’au niveau européen un vide juridique rend actuellement possible la commercialisation de viande clonée dans les pays de l’UE. Avec frites, votre clone-burger ? Virginie Félix - Télérama
     


  • 5 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 19:07

     La fille automate parle d’un monde où les apprentis sorciers des multinationales OGM ont engendré le chaos. Un monde où les maladies contagieuses et les virus mutants déciment les populations, quand des nababs s’enrichissent par leurs brevets et leur technologie, en contemplant le spectacle de désolation. Est-ce que ça contredit ce que vous avez écrit ? Non, je ne pense pas...

     


  • 4 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 17:58
    « Du monde décrit par Paolo Bacigalupi, nous ne saurons que son état de dévastation : les multinationales et leurs brevets génétiques incontrôlables ont accéléré l’apparition de virus résistant à tous les traitements. Tout est détruit ? Non, une poche de diversité résiste aux épidémies virales : la nation thaï. Une milice écologique dévouée à son chef, Jaidee, détruit les foyers d’infection dès leur apparition. 
    Dans la capitale, Krung Thep, Anderson est envoyé par une multinationale pour découvrir les secrets des thaïs : d’où sortent ces fruits sains issus de souches anciennes et ces semences non stériles ? Fricotant dans le milieu des étrangers, Anderson rencontre dans une maison de passe une Geisha très particulière : Emiko, récemment abandonnée par son maître japonais. Le tenancier exhibe cette poupée de chair, créée par le génie génétique nippon pour remplacer les robots. A la moindre caresse, Emiko, submergée de plaisir, ne peut s’empêcher de donner en spectacle cette jouissance pour laquelle elle a été conçue. Grâce à cette attraction, les clients se ruent au bordel... (...)
     
      Reste le destin des personnages dans cet univers livré au chaos. Je pense qu’ils peuvent être divisés en deux catégories : les personnages traditionnels, qu’ils soient bons ou méchants, comme nous les aimons, et des « figures » aptes à survivre dans ce monde en évolution rapide.
       Parmi les traditionnels, je compte Jaidee, le milicien écologique, les ministres corrompus : la guerre les condamne. De même, les représentants des multinationales, si semblables aux colons de l’ancien temps, semant autour d’eux la destruction avec une indifférence aussi grande que s’ils se prenaient pour des dieux : ils représentent l’Ancien Monde et posent la question de la survie de leurs valeurs morales.
       A l’opposé, les mutations génétiques semblent plus imprévisibles et, au début, elles se caractérisent sur des créatures sans individualité propre. Cela commence avec le cheshire, un chat invisible, créé en hommage à Lewis Carroll, qui a exterminé en une génération la gent féline, prédateur sans concurrence dans l’évolution darwinienne. Cela se poursuit avec les pestes virales, comme la rouille vésiculeuse qui empoisonne les semences OGM, et qui affame les peuples terriens. Ces « êtres » sans conscience incarnent l’avenir et interrogent sur la place qu’ils laisseront à l’homme. Enfin arrive le tour de ces étranges automates du Nouveau-Peuple, comme Emiko, qui semblent apte à survivre malgré les cheschire et les virus. Le seul obstacle à leur avenir vient de leur stérilité...
     
       Entre récit d’aventure et réflexion sur les techniques OGM, le roman de Bacigalupi dresse le tableau plein de fureur d’un avenir livré au chaos génétique. Révélateur d’une science-fiction qui renonce aux fantaisies maniéristes susceptibles d’atomiser le récit, il s’appuie sur des personnages d’une grande présence dont on garde le souvenir longtemps après lecture. » (...)
     


  • 5 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 17:41
    « Bangkok, dans un futur relativement proche. À la période d’Expansion (énergétique et commerciale) a succédé celle de Contraction, lorsque le pétrole est venu à manquer. Faute de pouvoir voyager facilement et rapidement, les pays se sont renfermés sur eux-mêmes. En Asie du sud-est, la Thaïlande a néanmoins réussi à assurer la domination sur la région, alors que toutes les anciennes puissances économiques locales (Chine, Japon...) se sont écroulées. Les États-Unis continuent d’exporter leur savoir-faire de semencier d’organismes génétiquement modifiés, seuls résistants aux multiples maladies qui se sont répandues (volontairement ?) dans les cultures ; Anderson Lake est un employé de l’une de ces multinationales de l’agro-alimentaire. Lorsqu’il tombe sur un fruit qu’on croyait oublié, issu de laboratoires thaïs, lesquelsse posent donc en concurrents directs de l’industrie qu’il représente, il comprend que les enjeux économiques n’ont jamais été aussi forts. Il va donc mener l’enquête pour déterminer l’origine du fruit dans ce Bangkok confluent de toutes les populations, où les destinées s’entrecroisent : il y a là Hock Seng, un Chinois réfugié que les Thaïs ont accepté de mauvaise grâce, et employé de Lake : Carlyle, dont les dirigeables permettent aux contrebandiers de passer leurs marchandises en fraude ; Jaidee Rojjaanasukchai, du Ministère de l’Environnement, un Thaï dont la probité et la flamboyance lui ont valu l’admiration de ses subordonnés, et qui lutte pour préserver les valeurs du pays au détriment de ses aspirations commerciales ; enfin, il y a Emiko, la fille automate du titre, pauvre créature créée par les Japonais pour donner du plaisir aux clients de son possesseur. » (...)

    « (...) la ville lui sert en outre de plateforme parfaitement adaptée pour parler des interactions entre les différents personnages, qui incarnent chacun une certain idée du développement de la société. Les tenants du libéralisme (Lake, Carlyle), les idéalistes (Rojjaanasukchai puis Kanya) et les militaires (Pracha) vont se lancer dans une lutte intense pour le contrôle de la société ; au beau milieu de tout ça, il y a ceux qui tentent de tirer leur épingle du jeu (tel Hock Seng), ou ceux qui, complètement perdus, tentent de ne pas perdre espoir (Emiko). Les personnages sont tous très crédibles dans leur histoire, leurs aspirations, leurs cruautés car, finalement tous cherchent leur propre intérêt au détriment des autres ; seule Emiko incarne la blancheur, l’absence de volonté de pouvoir.
       Cette lutte pour la domination trouve sa place, comme on l’a dit, dans un futur très vraisemblable, et passionnant : Bacigalupi, à aucun moment, ne cherche à nous en mettre plein la vue. Il a conçu un univers sensé, directement hérité du nôtre (on pensera bien évidemment au géant de l’agro-alimentaire Monsanto, et à ses démêlés avec la justice et sa vision de la déontologie scientifique), réfléchi à ses développements possibles, et suffisamment digéré tout cela pour en faire le substrat de son histoire. Il propose de nombreuses pistes de réflexion, sans toutefois les asséner au lecteur, mais plutôt en les distillant petites touches par petites touches. » (..)
     


  • 6 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 17:35
    «  Dans ces romans de « fiction spéculative », il s’interroge sur la stabilité « des moteurs de la prospérité », les ressources nutritives ou énergétiques. Son résumé de La Fille automate ? « Des grosses multinationales agroalimentaires utilisent la biotechnologie pour inventer des aliments et engranger du profit. Et si des entreprises comme Monsanto prenaient sans contrôle le pouvoir dans le monde, quelles en seraient les conséquences ? » Pour cette œuvre, il s’est appuyé sur des discussions avec ses voisins fermiers. Lors de notre rencontre, il rappelle la décision favorable de la Cour suprême à Monsanto face à un petit agriculteur de l’Indiana. Et un peu plus tard, les échos de l’affaire Spanghero, parvenus jusque chez lui. » (...) 
     


  • 3 votes
    Nina K Nina K 5 décembre 2013 17:31

    Vous avez lu La fille automate de Paolo Bacigalupi ?

     


  • 3 votes
    Nina K Nina K 18 novembre 2013 17:44

     Et toi, ton but c’est les profits de la scientologie ?
     
    http://www.religiousfreedomwatch.org/links/relief-agencies/
     
    Le 1er lien proposé = scientology
    Beurk !
     
    C’est l’OSA qui t’envoie ?
     

    cf OSA, le Service secret de la Scientologie, pour "anéantir les opposants"
     
    L’organisation O.S.A. a avant tout pour mission de contrer ceux - avocats, juristes, politiques, médias, anciens adeptes - qui tentent de dénoncer les agissements des scientologues. Pour ce faire, elle ne recule devant rien : opérations de communication, noyautage de certaines institutions et instances publiques, actes de sabotage, campagnes de diffamation et d’intimidation, etc. Ceux qui critiquent la scientologie se sentent souvent espionnés et directement menacés. Pourtant, la secte affirme que l’O.S.A. est un simple service de presse et d’affaires juridiques qui se contente de récolter par des voies légales des informations sur les esprits critiques et les adeptes renégats.