Les américains — et leurs laquais européens — voulaient, attendaient, appréhendaient l’invasion de Poutine.
Dans sa haute magnanimité et à force de le titiller il l’a fait.
Et finalement ils sont pas contents, ils pleurent, ils s’arrachent les cheveux.
La guerre contre le Donbass est une conséquence directe du putsch organisé par les occidentaux à Kiev. Poutine vient calmer le jeu, contraint et forcé. Les occidentaux sont comme des pingouins dont la banquise a disparu, que vont-ils faire qui va encore plus envenimer la situation ? Les marchands d’arme US se frottent les mains.