Rebonjour !
Bonjour !
Voici quelques extraits de l’impact de l’article de l’INED dans la presse. Nous sommes le 29 septembre 2010, soit une semaine après le lancement du vaccin saisonnier. Je suis trop vieux pour croire aux coïncidences. Ces journalistes qui se réjouissent avec l’INED de la baisse de la mortalité à 500 morts par an sont les mêmes qui nous annonçaient tous les ans 7000 morts lors de la commercialisation du vaccin. Ils semblent ne pas avoir retenu la leçon des errances de la communication officielle sur la pandémie grippale. (...)
Toujours est-il qu’en France, depuis plusieurs années, c’est la surmortalité estimée à partir des courbes qui est mise en avant par les autorités sanitaires, soit, en fonction des années, 4 à 7000 morts par an. Au début de chaque campagne vaccinale, la presse reprend cette information alarmiste et incite à la vaccination, soutenue dans cet effort d’information par les industriels du vaccin.
Pour la pandémie grippale A/H1N1 2009/2010, un véritable décompte des décès a eu lieu. Nous avons découvert avec surprise que la mortalité réelle dépassait péniblement 300 cas. Et encore, nous n’avons pas la preuve de la responsabilité de la grippe pour de nombreux morts. Tout décès d’un sujet jeune présentant une maladie ressemblant à la grippe a été comptabilisé. »
Un autre extrait sur la vaccination grippale aux USA :
« Si l’on fait abstraction du pic de la pandémie Hong Kong 69/70 et ses répliques en 71, il est pourtant aisé de constater que la diminution de la mortalité grippale est régulière depuis 1950. Cette date n’est pas anodine : elle correspond au début de l’utilisation de la pénicilline pour traiter les maladies infectieuses. En 1960, l’ampicilline (Totapen® en France) permet enfin l’utilisation simplifiée par voie orale d’un antibiotique efficace sur les principaux germes responsables des pneumonies.
Dans la mesure où la pneumonie bactérienne est la principale complication grave de la grippe, il n’est pas suprenant de constater une diminution drastique de la mortalité grippale à partir des années 50/60. L’hypothèse du rôle de la pénicilline dans la chute de la mortalité grippale paraît tout aussi plausible qu’un effet du vaccin qui commençait tout juste à être utilisé.
Ignorer le facteur confondant majeur que représente la pénicilline est pour le moins surprenant dans une publication à vocation scientifique.
Le fait que la mortalité ait commencé à diminuer nettement 20 ans avant la vaccination, notamment aux USA, est éludé par une phrase dans l’article de l’INED : "Aux États-Unis, où le vaccin a sans doute été diffusé plus précocement, la réduction de la mortalité a été très régulière depuis 1950". »
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Franchement, le cynisme de ces ploutocrates n’a pas de limite :
Les 2 premiers "épisodes" de la liste sont excellents. Encore 2 pour arriver au bout de l’histoire de notre vassalisation...
A fire in the masters house is set
Très intéressant,
Un énorme Merci
Bonjour ReOpen911
Vous ne proposez pas un nouvel article avec la suite du documentaire ?
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