Si ça continue, il faudra bientôt cultiver nos tomates non cataloguées derrière nos plants de cannabis pour pas que l’armée vienne les arracher.
La France et l’Algérie sont complémentaires : la France fourni la semoule et l’Algérie les estomacs.
Que va faire François Hollande en Algérie ?
Voici une caricature algérienne qui montre qu’ils ont bien compris.
@KHannea
C’est bien de considérer un mode de réchauffement qui est rarement cité, mais il faut rester conscient des ordres de grandeur.
Vous dites que l’activité humaine dégage autant de chaleur que 3 bombes d’Hiroshima à chaque seconde.
Admetons. La bombe d’Hiroshima était l’équivalent de 15 kilo-tonnes de TNT. Un kilo-tonne de TNT, c’est une teracalorie (10^12 calories). Donc, on relache dans l’atmosphère 45*10^12 calories par seconde, ou encore environ 180 terajoules par seconde, donc une puissance W1 d’environ 180 terawatts.
https://en.wikipedia.org/wiki/Nuclear_weapon_yield
Quelle quantité d’énergie la terre reçoit-elle du soleil par seconde ? Cette valeur W2 est estimée à environ 173 000 terawatts.
https://en.wikipedia.org/?title=Solar_constant
Le rapport W1/W2 vaut donc 0.00104, soit environ 0,1%.
Quelle est la contribution de cet apport de chaleur à la température de la terre ?
Quand on chauffe un objet, sa température augmente et il rayonne de plus en plus d’énergie, jusqu’au point où les pertes par rayonnement sont égales à l’énergie qu’on apporte. Les pertes d’énergie par rayonnement sont proportionnelle à la puissance 4 de la température (loi de Stephan-Bolzman https://en.wikipedia.org/wiki/Stefan%E2%80%93Boltzmann_law).
Si T est la température de la terre quand elle n’est chauffée que par le soleil et T + dT sa température quand on ajoute 3 bombes d’Hiroshima par seconde, on a la relation
(1 + dT/T)^4 = 1 + W1/W2 = 1, 00104, donc 1 + dT/T = 1,00026 et dT/T = 0,00026
Si T est d’environ 300 degrés Kelvin, alors l’accroissement dT = 300*0,00026 = 0,078 Kelvins (ou Celsius).
Conclusion : à l’heure actuelle, la pollution thermique directe résultant des activités humaines n’a pas d’effet significatif sur la température de la terre.
Réformer l’islam ? Comme disent les Britanniques, on ne fera jamais une bourse de soie avec une vessie de pourceau.
Ce qu’il faut, ce n’est pas réformer l’islam, mais le détruire. Cela se fera (et est en train de se faire) en démontrant que le coran est un faux en écriture, un bricolage effectué sous l’ordre des califes.
Quant à oumma tv qui ne daigne jamais répondre au commentaires, je lui adresse un grand bras d’honneur.
À bas la moustoufe !
@Olaf
Merci pour ce troisième article sur le sujet. Vous avez raison d’insister : il faut taper à plusieurs reprises sur un clou pour l’enfoncer. Et comme votre livre est accessible gratuitement en ligne, on ne pourra pas vous accuser d’essayer de le vendre.
Je l’ai lu d’une traite. Il rend bien des choses compréhensibles.
Par exemple, ces irritantes louanges à allah qui terminent chaque paragraphes du coran. On voit mal un dieu au dessus de tout soupçons de narcissisme s’encenser lui-même ainsi à tous bouts de champs. Par contre s’il s’agit de prêches destinés aux Arabes et écrits par des gens qui veulent les endoctriner, on comprend mieux.
@Scalpa
Et quand le petit chien lève une patte arrière contre le mur de la mosquée, tous les chameaux de la caravane se mettent à aboyer.
@Pablo el GENIO
Bonjour Fatale. Ça fait longtemps...
Tu as lu le livre d’Olaf ?
Moi, je l’ai lu d’une couverture à l’autre, sans débander. Je connaissais déjà un peu les travaux d’Edouard-Marie Gallez.
Bien sûr que ça ébranle la VO de l’islam et que ça va provoquer une levée générale de boucliers. Mais entre nous, les "savants islamiques" sont assez mal équipés intellectuellement pour réfuter les arguments de ces recherches. Ils vont donc continuer à mentir comme ils le font depuis des siècles et la petite moustifaille va continuer à avaler leurs couleuvres.
Donc tout va bien.
Ah Jeanne d’Arc la bonne lorraine qui entendait des voix comme Mahomet !
Quand les Anglais s’essayent à la cuisine française, soit c’est pas assez cuit, soit c’est cramé.
"Une bombe à neutron qui aurait été utilisée pour bombarder une cache de missiles iraniens."
"Une bombe à neutron qui bouffe l’oxygène mais qui ne détruit pas les infrastructures."
Inutile d’écouter plus.
@Scalpa
A ces pauvres mahométans, je propose un pèlerinage petit budget : dans sa cuisine, après avoir recouvert le frigo d’un voile noir.
@DJL 93VIDEO
Si j’achète certaines de mes semences dans la région de la Mer Noire, ce n’est pas parce qu’elles sont moins chères, c’est parce que les grosses compagnies comme Monsanto n’ont pas encore mis la main sur le marché. J’achète des semences stables, récoltées par les horticulteurs.
Je ne crois pas trop aux semences dites biologiques. Ce qui compte pour une semence, ce qui fait qu’elle résiste aux maladies et qu’elle donne de bons produits, c’est sa génétique. La génétique peut être modifiée par hybridation (croisement de deux variétés), manipulations génétiques (OGM), ou par mutations naturelles, mais pas par la façon bio ou pas de cultiver la plante mère.
Les OGM, je n’en veux pas. Les hybrides donnes généralement de bons résultats, mais on ne peut pas réutiliser les semences car les caractéristiques des deux parents vont se redistribuer de façon imprévisibles. Rien de tel que de bonnes semences traditionnelles. Encore faut-il trouver celles qui conviennent au climat et au sol.
Autre chose, quand on veut récolter les semences d’une variété (de tomates, par exemple), il est impératif de ne pas cultiver deux variétés différentes au voisinage l’une de l’autre sinon on risque une pollinisation croisée (hybridation) et des résultats imprévisibles à la prochaine récolte. Avec le maïs, qui est pollinisé par le vent, il faut compter une distance de 300 mètres entre deux variétés différentes pour éviter le métissage. Avec les pommes de terre, par contre, pas de problèmes puisqu’on n’utilise pas les semences mais une partie des tubercules récoltés.
Permaculture ? Je dois avouer que je ne connaissais pas le mot. Dans mon trou perdu, je ne suis pas au courant de tous les néologismes de la langue française. J’ai vérifié, eh bien oui, c’est en gros le principe que j’applique. Je composte tous les déchets organiques, je récolte du compost en forêt, je produits du broyat de buissons et surtout de bambou, j’utilise des cendres de bois. Je n’utilise pas de pesticides qui tuent les insectes nocifs mais aussi leurs prédateurs. Je laisse parfois proliférer les "mauvaises herbes", mais ne les laisse pas monter en graines. Après une récolte, je lâche les poules sur la parcelle pour qu’elles éliminent ce qui reste, les mauvaises herbes et les bestioles. Je ne travaille le sol que superficiellement et ne le retourne jamais pour éviter de perturber les bactéries utiles. Mon sol s’améliore d’année en année.
Mais j’ai d’autres soucis. Il faut protéger tout cela contre les animaux sauvages (sangliers, chevreuils, petits ursidés, lapins, rongeurs, corbeaux, pigeons, faisans et singes). Alors, chien, treillis, filets, clôtures électriques et pétards roquettes. Par contre, il n’y a pas de voleurs. J’ai perdu la clé de ma maison il y a plus de 20 ans et je n’ai jamais remplacé la serrure.
@DJL 93VIDEO
Je pense que pour combattre Mosanto de manière chaotique et imparable, il faut tous se mettre au potager perso pour cultiver nos fruits et nos légumes à la maison
Ça fait 40 ans que j’ai compris. Je passe mes fins de semaines à cultiver tous les légumes et les fruits (myrtilles, fraises, melon, pastèques, kakis, nèfles, abricots, prunes, coings, oranges, citrons, kiwis, châtaignes) pour ma famille.
Comme mes voisins font la même chose, et que nous produisons tous plus que nous ne consommons, mais que nous ne cultivons pas tous les mêmes choses au même moment nous partageons les surplus. Ce n’est même pas de l’échange, mais plutôt une façon d’entretenir de bonnes relations.
C’est un plaisir que de vivre dans l’abondance sans être riche, et en même temps faire un grand bras d’honneur à ces empoisonneurs de l’industrie agro-alimentaire.
Depuis quelques années, je m’efforce de produire mes propres semences. Au départ, il faut trouver des variétés non hybrides et surtout non OGM qui sont bien adaptées au climat et au sol. J’ai obtenu de bons résultats avec des semences échangées par internet avec des Russes des régions de la mer Noire et des Bulgares.
Je fais environ trois cultures par an au même endroit. Pour les légumes d’été (tomates, aubergines, poivrons, paprika, potirons, courgettes, zucchini, pastèques et melons), je couvre le sol d’une bonne couche de BRF (j’en produits environ 300 kg par an). Pour les légumineuses, rien de spécial. Pour les légumes d’hivers (carottes, betteraves rouges, épinards, laitues diverses, daikons, choux, brocoli, oignons, ail) j’arrose entre les lignes avec du fumier de poule dilué. Pour les pommes de terre (printemps et automne), je répands du fumier de poule sur le sol et je l’incorpore au motoculteur.
Je récolte aussi de temps en temps quelques centaines de kilos de compost naturel qui s’accumule dans les fossés le long de chemins forestiers. Comme il s’agit de conifères qui donnent un compost très acide, je le répands à la surface du sol entre les légumes et je tamise un peu de chaux dessus. Je couvre aussi tous les sentiers entre parcelles d’une bonne couche de paille ou de feuilles. À ce rythme intensif, je dois cependant complémenter ces engrais naturels par un peu d’engrais chimiques.
Pour les arrosages, j’utilise le trop-plein de ma citerne d’eau de source (non chlorée, de l’eau minérale, en fait). Comme la forêt qui se trouve au dessus de la source m’appartient jusqu’au sommet de la montagne, je sais que l’eau n’est pas polluée.
La rotation des cultures est importante. Il ne faut pas cultiver l’une à la suite de l’autre sur la même parcelle des espèces qui sont attaquées par les mêmes bestioles. Il vaut aussi mieux alterner les espèces dont on récolte la racine avec des espèces dont on récolte les feuilles.
Entre les arbres fruitiers, je laisse pousser librement toutes les mauvaises herbes. Je les fauche de temps en temps pour que cela ne devienne pas une jungle.
J’ai aussi une petite plantation de thé (4000 mètres carrés) qui fournit le thé pour ma famille. Le reste, je le distribue gratuitement aux cousins, oncles et tantes qui m’envoient en retour les spécialités de leurs régions.
Je viens de louer un excellent terrain de 400 mètres carrés, gratuitement, avec la seule condition de bien l’entretenir. J’y ai planté des pommes de terre, des patates douces du maïs (pour mes poules) et des potirons du Japon. En hivers, j’y ferai du blé (j’ai obtenu d’excellentes semences d’Ukraine).
@DJL 93VIDEO
Le jour où on demandera aux musulmans de prier en Français, là même leurs prières n’arriveront pas au ciel ...
Allah s’en fout de vos prières en arabe ou en français. Quand il voit ces ânes se prosterner dans la direction de la kaaba qui est un sanctuaire dédié à la déesse pré-islamique Allat, il doit se dire "mais qu’est-ce que j’ai fait au bon dieu pour mériter une telle bande de cons ?"
@joelim
Mais le modèle du wahhabisme n’est autre que l’infâme Mahomet tel qu’il est mis en scène dans les hadiths. C’est cela le problème de l’islam.
Si un cheval était aussi malade que l’islam, on ne s’acharnerait pas à essayer de le guérir ; on mettrait fin aux souffrances de la pauvre vielle bête.
Plus sérieusement : deux soi-disant partisans de réformes que déclarent d’emblée qu’ils ne contestent pas l’authenticité des textes.
Alors que de toute évidence, c’est par cela qu’il faudrait commencer. Essayer de trouver les sources du coran dans l’abondante littérature religieuse araméenne de l’époque (du moins dans ce qui en reste, parce que les califes ont mis tout en œuvre pour effacer toutes traces de leur plagiat).
@Gaston Lagaffe
Faut apprendre aux gosses qu’on n’est pas ce qu’on possède ni comment on est foutu, mais ce qu’on est capable de faire.
Mais cela fait partie des choses qui ne peuvent s’enseigner que par l’exemple.
@ffi (et ceux que cela peut intéresser)
Quand on produit deux sons de fréquences proches, on obtient un battement.
Pour des sons purement sinusoïdaux, cela s’explique tout simplement par la formule de trigo suivante :
sin(?t) + sin(?’t) = 2 sin((? + ?’)t/2) x cos((? - ?’)t/2)
où ? et ?’ sont les fréquences angulaires (2 ? x la fréquence) et t le temps.
On voit que le premier facteur est un son à une fréquence qui est la moyenne arithmétiques des deux sons initiaux. Le deuxième facteur fonctionne comme une amplitude qui module le premier : il oscille à une fréquence qui est la demi différence entre les deux fréquences initiales. Plus les fréquences initiales sont proches, plus la fréquence de cette amplitude est faible. Pour des fréquences assez proches, on entend un son à une fréquence juste au milieu des deux fréquences initiales, modulé en intensité. C’est le phénomène de battement bien connu et qu’on peut utiliser pour accorder une guitare sur un piano. On augmente ou diminue la tension de la corde jusqu’à ce que le battement disparaisse.
Tout cela est bien connu des musiciens. Ce qui est moins connu, et assez surprenant, c’est ce qu’il se passe si on écoute deux sons à des fréquences proches qui sont envoyés séparément dans deux écouteurs. On devrait entendre deux sons à des fréquences différentes, l’un dans l’oreille gauche, l’autre dans l’oreille droite puisque les deux sons n’ont pas eu l’occasion de se combiner dans l’air ambiant pour produire un battement.
La surprise, c’est qu’on entend pourtant bien le battement. Les circuits neuronaux du cerveau se chargent de la re-combinaison des sons pour produire le battement. Dans un article du Scientific American de 1973, Gerald Oster prétend que les circuits neuronaux impliqués dans cette re-combinaison ne sont pas les mêmes que ceux impliqués dans l’audition normale. Des études consécutives prétendent que l’activité neuronale qui produit cette re-combinaison a une influence sur les ondes cérébrales : dans le cas où la fréquence de battement est accessible aux ondes cérébrales, la fréquence des ondes cérébrales tendrait à s’accorder sur la fréquence de battement.
Autrement dit si les fréquences des deux sons qui arrivent séparément dans vos deux écouteurs est telle que leur demi-différence est dans la bande des ondes alpha du cerveau, le cerveau va au bout d’un certain temps entrer en mode alpha.
Le lecteur pourra trouver facilement toutes les références à ce sujet en tapant "gnaural" sur Google. Gnaural est une application open software qui permet de réaliser facilement des expériences sur les relations entre les fréquences sonores et les ondes cérébrales. J’utilise la version linux, mais le programme existe aussi pour les utilisateur de windows et est gratuit.
Vous pouvez le télécharger ici.http://gnaural.sourceforge.net/
A noter que je ne garantis absolument pas que cette application va vous envoyer au septième ciel en un quart de tour. A chacun d’expérimenter et de voir.
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