salut nasko,
plaisanter c’est une bonne chose
toutefois, c’est mieux de dire pourquoi, ça fait avancer le schmilblick pour qu’il y ait du mieux, ça évite les non-dits, ça exprime
Peau de chagrin
décryptage de la vidéo par michelb (alias Malraux)
Le message :
La Palestine se réduit comme une peau de chagrin. Chaque jour Israël empiète en poussant des coudes et sans opposition pour dénoncer son ingérence. Israël a les coudes libres au vu et au su de toute la planète. Il n’y a donc pas de soutien, pas d’échappatoire. Histoire d’un suicide non consenti annoncé.
La politique :
A travers la Palestine, Israël reproduit son histoire, elle déracine, elle qui fut déracinée. Elle pousse les palestiniens dans des camps de concentration sociologiques par les barbelés, les privations, les embargos, les étoiles jaunes sur les fronts palestiniens, les humiliations, les tirs sans sommation, toutes les tortures vécues par elle même visiblement en vue que cette expérience ne serve pas de “plus jamais ça” mais d’un entraînement à la reproduction d’expériences. Elle pousse les palestiniens dans des camps de concentration politiques par le mur de Berlin et le phagocytage de la Palestine au vu, au su de tous, avec l’aval des Nations Unies effaçant dans le temps de la surface du globe le peuple palestinien.
C’est la méthode américaine qui extermina d’une répression violente les peuples et tribus indiennes au point que l’humanité de ces personnes, leurs philosophies, leurs cultures ne peuvent plus servir le progrès de toutes les nations. Cette méthode aussi employée par la France-Afrique, dixit le Rwanda, exemple le plus flagrant, d’exterminer froidement des peuples jugés inutiles pour la bonne marche des activités financières bien au contraire.
La parano meurtrière des dirigeants mafieux n’a d’égal que leur cupidité si immense que tous les peuples du monde entier sont à genoux.
La résolution du conflit Palestinien serait un symbole fort qu’il en est fini de la guerre et que l’outil “paix” a un sens pour l’avenir de l’humanité toute entière. Ce conflit et sa solution ne sont donc pas anodins que le peuple israëlien ne doit plus se laisser gouverner par son veau d’or libéral, mondial qui n’a d’ambition que de grandir seul au détriment de tous comme des israëliens.
Israël ira toujours dans le sens de son histoire passée vers le démon.
La scène :
Une musique arabe commence et l’artiste apparaît montrant devant son visage un morceau de tissu noir : une peau de chagrin. Le fond de scène ressemble à celui d’une grotte. Tout est gris seul le visage et mis en avant plan éclairé. L’artiste récite calmement, résignée déroulant une histoire millénaire. Un moment la récitation se fige laissant place à un silence nécessaire. Puis l’artiste apparaît entière assise en indienne non dans une caverne mais une espèce de grenier poussiéreux. Elle porte un pull avec des “armoiries” qui ont peut-être un sens. Après explication qu’elle ne peut plus durer, l’artiste se penche et ramasse un gobelet de porcelaine qui revient en gros plan avec le visage. L’artiste s’en prend alors à Shechtman prix nobel de Chimie avec colère finissant de lui annoncer qu’il aura son suicide sur la conscience. L’artiste boit une gorgée en disant “à votre bon coeur”. Des tirs et la musique reprend. Elle descend le gobelet doucement tandis qu’on la revoit en entier assise. Son visage est triste et apaisé d’un léger sourire, c’est le silence des mots. Puis le visage revient en gros plan, regard droit devant, les yeux grands ouverts offerts au regard. Ils se mouillent. Le visage bouge un temps assez explorant tristesse profonde, sourire de paix hésitant, impuissance. Les yeux se ferment. C’est la mort. L’image de l’artiste s’estompe. La musique fataliste continue et disparait progressivement avec l’image.
La métaphore :
La jeune femme tient le rôle en même temps de son individualité et sa représentation du peuple palestinien.
Elle exprime que le peuple n’a plus rien, qu’il est à l’agonie et qu’en conséquence la mort lui sera plus douce. Elle n’entrevoit que ce biais pour trouver la paix. Elle laisse sous-entendre que progressivement la Palestinne sera envahie par le poison colonial et que son territoire sera contaminé et mort définitivement. Ce sera une paix mortelle.
Le jeu :
La jeune femme raconte une histoire tragique dont 50 années vont réduire 5000 ans de culture à une apostrophe. Le ton est calme et dénote avec une colère contenue contre Shechtman. Il y a une jeu entre plans “visage” et entier avec des insistances sur les émotions du visage dans le silence. L’artiste joue avec le gobelet montrant qu’elle n’a pas peur du poison, de la mort et qu’elle le boira parce qu’il est temps d’être en paix.
Les détails :
La pièce n’est pas une caverne mais une espèce de “grenier” poussiéreux exprimant une situation finie, qu’il ne sert à rien de nettoyer. Le ton de la récitation va bien pour exprimer le fatalisme, le grotesque de la situation montrant que l’histoire se réduit en peau de chagrin symbolisée par un tissu de couleur sombre, le noir pour une situation de circonstance. Le pull avec les armoiries parsemées est peut-être là pour rappeler les étoiles jaunes. Un sursaut de vie et de vengeance s’attaque à Shechtman sans qu’on sache les motifs (à chercher soi-même, peut-être parce qu’il n’a pas dénoncé la situation en usant de sa notoriété de prix nobel ?). Le gobelet de petite taille mais d’une efficacité redoutable et le jeu des doigts permettant d’imager l’état de paix devant le suicide par empoisonnement. L’ensemble reste sobre et la tragédie bien expliquée.
La philosophie :
Le droit des peuples et donc des individus à disposer d’eux-même. L’ingérence des peuples dans les affaires d’autres peuples n’est toujours pas régler par les dispositions internationales. Est-ce donc toujours le rapport de force qui peut dominer les comportements humains quels que soient les niveaux ? Cela voudrait-il dire que la paix n’est qu’un rêve ? Où qu’il faudrait refonder le pouvoir politique qui au final ne revient qu’à faire des lois pour régler les histoires de pipis, cacas sur les trottoirs ce qui est bien dérisoire mais aussi une belle explication du bordel démoniaque ambiant ?
Finalement n’est-ce pas la démocratie, c’est-à-dire le pouvoir direct du peuple qui importe et qui est la solution ? Parce les démocraties représentatives, les républiques bananières, les républiques démocratiques du con allez go, les républiques communistes de Chine et de Navarre, les républiques islamistes, les républiques françaises tiens voilà du boudin… sans parler des répulseblique (j’ai pas dit les répulsebiblique, tiens si ! je l’ai dit) ne sont que des avatars qui cachent bien leurs jeux.
L’esclavagisme disparu sur le papier tandis que le colonialisme est bien présent. En Afrique, on ne colonise plus directement mais indirectement. C’est fort pratique, ON est plus responsable. Mais alors se pose le problème de la responsabilité ? Qui est responsable que plus d’un million d’innocents (quel terme à la con ! “in au sang” aurait été mieux approprié) dépecé en trois mois à coups de machette (et n’oublions pas le déversement des seria killers, serial violeurs, serial voleurs, serial tortureurs que NOUS avons autorisés et laissés faire, c’est incroyable ! NON ??).
Le cas de la Palestine est un cas particulier de colonisation. Les israëliens sont colonisés par l’extérieur avec un gouvernement de financiers qui fonctionne comme les dictateurs d’Afrique ou de Chine (ils ont leurs privilèges de remplir en douce comme les Ben Ali leurs coffres forts personnels s’ils laissent faire les envahisseurs au détriment de leur peuple).
La différence majeure est qu’ils sont autorisés internationalement à ingérer la Palestine. La colonisation est finalement plus puissance que si elle s’affiche ouvertement. Philosophiquement cela veut bien dire que “l’habit ne fait pas le moine”. D’où les questions : que sont la méfiance, la confiance, la responsabilité, la morale, l’implication, les privilèges des médias ? des individus ? des dirigeants ? des institutions ? des intellectuels ? Quelle morale, éthique peut assainir cela comme du temps des lumières ?
L’objet de révolution :
Qu’un peuple ait véritablement droit à la non-ingérence. Que le colonialisme, quelque soit sa forme disparaisse. Que les dirigeants arrêtent de fabriquer des assassins et des déviants sexuels et attardés mentaux. Que les dirigeants supprime tous les organes de tortures comme Guantanamo ou autres, promesse non tenue d’Obama. Que la Palestine garde la terre de ses ancêtres.
Le message :
Il se présente comme une prise de conscience d’une addiction tuante pour soi mais aussi pour les autres. Cette impression forte pousse le sujet à poursuivre sa thèse en présentant qu’il en a terminé avec cette addiction qu’est la cigarette.
Le final précise bien qu’il ne s’agit pas d’une campagne anti-tabac mais d’une magouille des puissants pour affaiblir le peuple par addiction et addition salée.
La politique :
La réalité que nous vivons est décrite dans ce billet. Les dirigeants fabrique de la misère humaine pour alimenter leur business. Cette misère humaine en engendre d’autres puisque en fumant, le fumeur non seulement ne guérit pas de ses angoisses mais probablement il les amplifie et d’autre part il est pointé du doigt comme coupable responsable de la misère du trou de la sécurité sociale. Ce trou est fort intéressant puisqu’il n’est pas remis en cause, que les bons pères de famille qui l’augmentent ne sont pas remis en cause mais qu’il permet d’ajouter d’autres misères justifiées : refus de la CMU, refus de soigner si vous n’avez pas d’argent, mise en place du déremboursement de tous les médicaments, augmentation des assurances mutualistes, diminutions de tous les services sanitaires, n’en jetons plus.
Ce faisant les médecins, les consortiums autour de la santé, les cadres de la sécurité sociale, les caisses bidon comme celles du RSI, n’en jetons plus n’ont jamais été aussi riches proportionnellement à la mauvaise santé mentale et physique des personnes. C’est tout bonnement un retour au moyen-âge puisque les gens ne sont plus soignés bien qu’ils cotisent fortement. S’ils étaient soignés, ils seraient moins malades, n’est-ce pas ?
Alors les dirigeants fabrique la misère humaine ? Eh ! oui, ils fonctionnent comme la mafia. J’y reviendrais.
La scène :
Une jeune femme est assise à une table de bistrot. Elle est en public et doit être un peu beurrée puisqu’elle ose dire devant tout le monde ce qu’elle a décidé. Le fond dénote une ambiance boîte de nuit privée avec des luminaires bleutés qui donnent une note agréable au fond noir et au devant noir aussi. On lit une inscription comme BIZA B à droite d’une autre gamme que le bleu qui ajoute de la couleur à la scène qui devient moins tragique. L’autre inscription moins visible à gauche, peut-être ’personne’, ajoute aussi de la chaleur à la scène. Elle relate qu’elle a eu une addiction dont elle est parvenue à se séparer quasi définitivement. La scène est très conviviale, pleureuse au début puis se déroule en crescendo vers une inéxorable détermination. Au final, un exhortation à mourir pour combler le trou de la sécurité sociale montre bien que la mort des gens laisse indifférents non seulement les dirigeants qui s’en accomodent plutôt, ni les malades inconscients. Nous avons la révélation du paradoxe : mourir pour un trou.
La métaphore :
Un jeune femme est assise racontant de manière amoureuse ses déboires et en particulier son addiction à un amour qui l’empêche d’être ce qu’elle a toujours été certainement, une personne sage, qui ne fait rien à la légère, philosophe et dont la vie tourne autour de la raison. Or elle s’est aperçu que l’amour qu’elle porte à un homme lui étreint le corps au point que son entendement vacille dans le déraisonnable qu’elle ne supporte plus. Elle fait le choix de revenir au raisonnable et motive son refus de l’addiction amoureuse en disant qu’elle aura plus de plaisir à s’extirper de l’amour de l’autre qu’à le maintenir. Elle signale qu’elle va se venger en écrasant l’amoureux qui ne s’intéresse qu’à sa bouche. Elle insiste qu’il ne sera pas remplacé.
Elle veut que sa tête reprenne le dessus, que le corps ne la guide plus, que la tête seule lui serve de refuge.
C’est donc cet amour pour une entité suggérée qu’elle s’apprête à écraser définitivement afin de retrouver son avant, sa paix intérieure, elle veut oublier tout ce qu’elle a reçu de beau lié à cette addiction. C’est un choix logique qui apparaît réfléchi.
La parabole/métaphore nous parle en fait d’une personne addicte à la cigarette (l’être aimé) dont elle veut se séparer car loin de lui apporter du bien durablement continue de la déstabiliser et c’est pourquoi elle décide sans retour (espérons ?) d’écraser la dernière cigarette.
Le jeu :
Nous voyons une jeune femme BCBG avec un accent faiblement parisotant qui pleure de perdre un amour et qui va justifier sa décision. Le rythme est calme et bien entendu pour la femme la séparation est la faute de l’homme. Ceci n’est pas une surprise. La diction calme s’anime en crescendo sans atteindre la violence mais plutôt la persuasion jusqu’à exhorter l’assemblée d’une position unanimement consentie de mourir au profit de la sécurité sociale pour dormir en paix dans son trou.
Le ton employé permet de faire mieux passer une expression orthodoxe mais manipulatoire comme "une de perdue, 10 retrouvées" qui n’ont rien de consolant plutôt contradictoire avec un "je vais t’écraser", mais pas avec la femme. Ainsi on voit que le personnage populaire est brossé dans les moindres détails. Personne campe favorablement avec soins des personnages populaires de même que ceux de la tragédie.
Les détails :
La table de bistrot, les nimbes bleutées, les inscriptions pour casser la couleur sombre de la scène ce qui la rend plus accueillante. le mouchoir pour signifier les pleurs, la souffrance réelle. Les ustensibles du bistrot pour montrer que la réflexion a abouti et que ce lieu convivial et public montre un moment de soulagement et de revivre après un dur combat avec les sentiments. Le ton intimiste puis prévenant à la fin pour bien insister que les fumeurs ne sont pas visés par le propos bien au contraire.
La philosophie :
L’addiction empêche d’être sage mais il a bien fallu y céder, c’est donc plus l’attrait vers la source de l’addiction qui est une difficulté et en particulier celle d’y céder. Ensuite une fois que l’on y a cédé, se pose la question de sagesse qui consiste à vérifier que l’on a bien fait, c’est donc ce que démontre personne que des éléments matériels servent de référence pour évaluer l’erreur d’avoir cédé, il y a à mesurer si l’usage de cette addiction est profitable plus qu’avant ou non. Sans cette phase d’acceptation de l’erreur aucun deuil ne peut s’envisager. Enfin pour décider de s’extirper de l’attitude naturelle qui a engager l’attitude naturelle, personne indique qu’il faut un source, une attitude plus haute qui servira d’ancrâge et de motivation durable pour détruire, écraser totalement l’addiction. Elle parle de plus de plaisir si l’on quitte plutôt que rester. Ceci rejoint en gros l’expression "il vaut mieux être seule que mal accompagnée".
Ainsi ont été proposées 3 questions : Comment ne pas céder ? Comment lutter contre l’addiction ? Comment vivre sans cet être cher (et onéreux pour la cigarette !) qu’est l’addiction ?
Je SUIS avec mon addiction mais comment j’ EXISTE et les autres EXISTENT dans la tyrannie de mon addiction ?
Personne pose aussi le problème des conséquences de mon addiction sur le reste de l’environnement.
Dans son exhortation finale, elle soulève que la mort des gens est un phénomène consenti par le système en son entier qui accepte comme seule motivation non pas de sauver des vies (ce qui est pourtant le rôle de la sécurité sociale) mais de sauver le triu de la sécu, ça n’empêchera pas d’y enterrer des milliers de morts. Questions philosophes : importance du corps ? de la vie ? face à la nomanklatura ?
L’objet de révolution :
Que chacun ait accès aux soins sans devoir payer. Que l’argent des impôts et des cotisations n’aille pas dans les poches des nantis d’une manière ou d’une autre. Que la santé redevienne publique. Que la santé s’occupe vraiment de faire taire les addictions. Que la vie des familles soit une préoccupations et non un sponsor d’un système de santé libéral et meurtrier.
Salut Dominique,
tu diras au "QG de Dieudoné, le TMO" que dans un forum, les gens s’exprime librement et donc dire que je suis inféodé à personne ne relève que d’une ignorance qui ne veut pas se nettoyer de son pus.
La seule chose à retenir est que le LJDP est ouvert sauf à ce qui est illégal et irrespectueux donc c’est pour cela que tu t’y retrouves, ça veut probablement dire que le Dieudonnisme n’est pas irrespectueux, ni illégal.
merci
michel
bonjour elfableo,
Oui, en fait, j’ai eu du mal à te comprendre et tu as compris mon commentaire.
Il en est donc de même de toute expression comme de l’écrit, on ne comprend pas toujours et effectivement tout le monde ne peut aimer tel ou tel artiste.
Tu penses donc qu’elle est trop technique certainement.
merci de ton éclairage, j’espère qu’elle en profitera.
A+
michel
bonjour elfableo,
je n’ai plus le temps de te répondre à l’instant (je voyage) mais j’y reviens bientôt
merci et passe une belle journée
michel
bonjour aldo,
merci de ta sympathique réponse.
tu as tous les droits, les humeurs qui t’enchantent comme j’ai le droit d’être amoureux de cette personne.
surtout ne prends pas mal le "fais la gueule", c’est pas du tout méchant de ma part car le plus important et tu le dis "nous nous parlons".
après tu es du métier et les goûts et les couleurs, je te dis pas.
néanmoins, ça me fait plaisir que tu donnes ton avis artistique et que tu continues de le faire sera évidemment utile à personne et aux autres lecteurs.
merci à toi passe une belle journée
michel
Troisième commentaire :
Personne dérange, elle le sait, l’a déjà dit. Avec très peu de moyens, elle réussit à réaliser des scènes d’une très grande qualité sur de nombreux points. On voit ici 2 personnages qui se parlent en se regardant. L’une en extase d’être enceinte et l’on remarque comme personne en véritable femme exprime terriblement au plus près l’état d’épanouissement de Carla qui n’en a plus rien à faire de la politique, peut-être même du mari car ne compte plus que l’enfant.
Quand à Cécilia, elle reste très lucide et prévient les français avant cette élection de 2012 comme elle l’avait fait avant celle de 2007 en lançant des signes qui auraient du/pu prêter à prudence.
Si l’on regarde bien, Cécilia est inquiète tandis que Carla est aux anges. Il semble que Carla se fiche totalement de savoir si son Sarkozy de mari va remporter 2012 ou pas.
Le jeu époustouflant de personne de jouer deux personnages de nature différente et de les faire communiquer grâce aux logiciels de montage reste toujours impressionnant.
Ne manquons pas de remarquer aussi que personne en femme enceinte est radieuse et ne lui souhaitons que du bonheur.
Ce « clip » est magnifique de sobriété, de « prouesses » technologiques, on ne peut que constater à nouveau la compétence théâtrale et musicale de personne, sans oublier sa virtuosité du jeu avec les mots telle qu’il faut s’apercevoir qu’elle donne à la philosophie un goût d’accessible qui rend honneur à Socrate. Il nous reste à lui souhaiter que son « travail » très important dans tous les sens du terme lui permettra de vivre au quotidien. Bravo l’artiste.
Deuxième commentaire :
Personne est une femme, un être pur qui a souhaité décrire à sa manière l’information quotidienne en la scénarisant de manière théâtrale. Elle y réussit très bien car elle est une artiste accomplie (chant, poésie, jeux de rôles, philosophie, psychologie, graphisme, informatique...). Elle est une pro.
Ceci étant dit et vérifiable car il suffit de visionner son travail, il est totalement idiot de discréditer personne. Elle est juste généreuse et partage gratuitement (c’est elle qui paie) tous ses cadeaux que son imagination et sa force créatrice invente quotidiennement pour notre plaisir.
Personne essaie d’offrir chaque jour une petite perle artistique qu’elle a classée dans un style appelé « info scénario » qui permet de porter un regard particulier à l’information en tentant de valoriser l’ensemble ou des détails.
La force de l’interprétation réside non seulement dans le professionnalisme mais dans l’implication personnelle considérable des sentiments ce qui donne aux scènes des couleurs inédites et parfaitement sincères.
Premier commentaire :
Voyons ce que les commentaires à propos de cette production disent :
aldo fait la gueule, il préfère lire, dommage qu’il ne pense pas aux sourds
sandeman est ravi et décrit la scène, ce qu’elle lui a fait ressentir
Hijack trouve « ça » pas mal
Jean Valjean traite Hijack d’ "anti-sioniste" tendance fachosphère qui apprécie personne qui serait « employée du Mossad » selon les Dieudonistes, le trio « sandeman, Hijack, Jean Valjean » parlent d’un solstice, LLP, hellenworth, vieux barge du mossad qui serait absolument contre personne
sandeman indique que les attaques subies par personne sont passibles de poursuites pénales
elfableo juge l’aspect artistique, il dit qu’il s’évade mais ne sait pas expliquer ce qui est « intéressant », finalement très incertain
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