L’oligarchie anglosaxonne derrière les régimes du moyen orient et la finance folle se marre bien de la guéguérre musulman-sioniste qui oublie l’essentiel de la situation.
Au passage, il y a une différence entre commencer un cri dans son effort et, éventuellement, le continuer après et se mettre à gueuler après son effort comme des gamins.
Merci pour l’info mais n’oublions pas chapeauté par une noblesse impérialiste comme avant la naissance du concept de nation.
Le pire des néolibéraux est le même que celui du communisme : l’impérialisme typique des postmodernes.
Est ce vrai que le Coran n’était pas vindicatif au début lorsque les musulmans étaient encore en infériorité ? Étonnant pour une parole sensé être éternelle. Pourtant je trouve la spiritualité du 7° siècle intéressante. Il suffit de trier le bon grain de livrais et d’accepter cette héritage comme culturelle à vocation spirituelle. Le plus que parfait ne réussi à personne que je sache.
L’embrasement pour un film stupide prouverait le contraire mais en fait, c’est vrai. L’absence d’embrasement sur l’usure, l’occupation ou le rôle des britanniques dans les "bons" régimes musulmans sunnites du moyen orient ne sont pas du fanatisme, juste de la superficialité. D’où ce besoin de prouver aux autres, et à d’abord à soit même, qu’on est "vrai" musulman dès que c’est médiatisé histoire en plus de pas perdre la face.
Omettre le soutien de l’empire britannique aux salafisme depuis Laurence d’Arabie n’est pas très honnête, tout comme omettre la complexité des situations antérieurs même si ce que vous dites est vrai et que les musulmans doivent absolument accepter la critique si ils n’en sont pas capables eux même.
Les musulmans actuelle sont des marionnettes. Aucune manifestation contre l’usure et si peu contre l’opération plomb durci (je suis pas anti-sioniste mais en se mettant à leur place le décalage est flagrant). Ce qui me fait peur n’est pas l’islam mais la facilité a manipulé les musulmans via leur complexe psychologique actuel.
Je précise "développer l’économie" RÉELLE comme pendant le New Deal et les 30 glorieuses.
D’abord je suis un ardant défenseur du bio et de la nature. Mon positionnement pour la créativité humaine ne vise pas seulement à développer l’économie, offrir des 30 glorieuses à tous les pays et les laisser faire des choix souverains pour ne pas perdre leur créativité dont nous avons aussi besoin. Je défend aussi mes idées parce que c’est la meilleure manière de défendre la nature : niveler par le haut. Je vais m’en tenir aux faits passés sous silence dans une société financiariste (donc malthusienne et fataliste à l’image de l’empire britannique interdisant le développement de ses colonies) :
1) Dans la culture anglosaxonne (qui domine) presque personne ne connait la différence entre l’ économie politique et la "bonne" gouvernance. j’ai donc le plus grand mal à prendre au sérieux un avis sur la question qui confond déjà l’essentiel pour prouver quoi que ce soit de l’économie politique.
2) Allez vous refuser par principe les énergies et les matières premières de l’espace (rappel moins de gravité = beaucoup plus facile de ramener des matières sur terre que de décoller avec des charges depuis la terre) ? Alors vous privez les autres de leur libre arbitre. C’est pas joli-joli intellectuellement. Rien que la Lune offre des réserves incalculable d’Hydrogène3 et la possibilité de fondre des métaux dans le vide avec des propriétés nouvelles dans le vide, tout ça à l’échelle de 200 ans (une pécadille) voir de la vie d’un homme si nous le décidions vraiment.
3) je signale que déjà, par pure raisonnement logique, des centrales nucléaires économiseraient les ressources de pétroles, de gaz et de charbon consommées pour l’électricité + possibilité de développer les voitures électriques ou à l’hydrogène, ceci sans mentionner que je suis pour limiter au maximum l’usage de charbon (donc la fabrication de pseudorenouvables) parce que c’est l’énergie la moins dense, donc la plus polluante au monde.
4) Capitaliser veut dire mettre de coté de la valeur travail pour l’utiliser selon ce que l’on pense utile plus tard. L’exemple 2 fois millénaires est le paysan qui court le risque de se fatiguer pour rien avec une mauvaise récolte. Il doit pouvoir capitaliser sur les bonnes récoltes et couvrir sa prise de risque un minimum sinon c’est la faim. Hors il n’y a rien de plus flexible que la monnaie. Donc 2 choses, 1° il est impossible de tout prévoir depuis la perte de notre forêt tropicale originelle où tout était gratos et abondant (supposition mais qui n’influe pas sur le reste du raisonement). Donc d’interdire aux gens de capitaliser leur valeur travail est criminelle et une abstraction sur la possibilité de tout prévoir à une échelle centralisée. 2° Comment mieux rémunérer une médecin qui fait 60h/sem et 9 ans d’études qu’un autre ? Idem pour un ingénieur par rapport à un ouvrier sans responsabilités fondamentales. Basiquement, le médecin et l’ingénieur se fatiguent plus que les autres et court donc plus le risque de mourir en cas d’impondérable, sans mentionner un sentiment basique d’équité face à l’effort.
Les free market qui veulent se priver du plus grand marché de consommateurs sans dette de tous les temps né suite au New Deal et aux 30 glorieuses, ils ne sont pas mieux.
Ah oui j’oubliais, le problème c’est le capitalisme (bou !) histoire de revenir au temps du troc et de même pas différencier la finance folle de l’économie productive.
C’est la nation qui permetra de préserver le bien commun. Le reste c’est des rustines dignes de l’âge des ténèbres du 14° siècls. Comme si nous avions régresser de 6 siècles en somme. Puissant raissonnement de 95 :
www.solidariteetprogres.org/Comment-Venise-orchestra-le-plus  ;
Poua :
- Confondre le monétarisme des années 20’ ou 80’-2010’ (pas de régulation bancaire à la Lord Keynes) avec l’économie politique véritable du New Deal et des 30 glorieuses
- Nier la croissance continuelle de la noosphère (la sphère des connaissance)
- Refuser la puissance nucléaire, énergie la plus dense (donc avec le moins de matières utilisée), notamment en refusant les centrales à thorium pourtant capable de recycler les déchets des centrales à uranium (être contre le recyclage, suprême paradoxe des antinuk), pour après se plaindre d’incapacité énergétique et/ou des dégâts occasionné en nombre.
ça commence déjà fort même si c’est à la mode d’être un anglosaxon malthusien et fataliste.
Quelque part dans les îles du Pacifique, nous devrions pouvoir trouver au moins deux anthropologistes mélanésiens vieillissants qui, étudiant leur cas, seraient stupéfaits par les superstitions primitives d’un Alan Greenspan, actuellement président de la Réserve fédérale, d’un Krugman ou d’un Strauss-Kahn. On peut presque entendre l’un d’eux dire à son collègue : « Tu ne vas pas me croire, ces cinglés d’universitaires français et américains croient encore au "Culte du cargo" ! Tiens, regarde par exemple les socialistes français : ils attendent l’arrivée d’un mystérieux cargo allemand venu décharger sa cargaison d’argent sur les berges de la Seine ».
Il y a bien eu, dans certaines îles de Mélanésie, des gens qui rêvaient au retour des bâtiments chargés de biens manufacturés américains, livrés dans la foulée de la mobilisation de guerre. Mais à comparer avec les errances du Wall Street Journal ou des adhérents de la société du Mont-Pèlerin, l’accent mis par les vétérans mélanésiens de la Deuxième Guerre mondiale sur l’utilité des biens acquis à cette période, dénote un sens louable des réalités économiques relativement aux folies actuelles d’un Krugman. Nos sauvages monétaristes de Paris, de Washington et d’ailleurs se couvrent de ridicule, eux qui attendent la livraison par le FMI de monnaie virtuelle, l’argent flashe le temps d’une microseconde vacillant sur l’écran d’une calculette de poche (monnaie calculée comme il se doit par le modèle Black-Scholès)... et n’arrive jamais.
C’est de cette façon qu’il faudrait juger le professionnalisme économique des adeptes du « Culte du cargo », comme celui des banquiers irresponsables qui sont à l’origine du désastre du LTCM, et cela vaut, bien sûr, pour Strauss-Kahn et Krugman. Les interventions du Président aux récentes conférences de Washington ne furent hélas, pour l’essentiel, que la déclinaison d’une litanie extraite du « Culte du cargo ».
Faut dire qu’il était fonctionnaire à la base. En tant que tel, il a soutenu le colonialisme belge et même encensé l’œuvre de Leopold 2. Il a aussi détourné des fonds et fût condamné à 2 ans commué en 1 an pour avoir rendu l’argent. Il voulait d’ailleurs une transition lente au départ mais par opportunisme il va changer de vue avec une communauté internationale qui crachait sur les belges et l’odeur de victoire électorale si il avait un un discours plus radical que Kasavubu, donc acte. Vraiment un wiki à lire avant de juger, si tant est que c’est possible. Une chose est sûre, il était l’élite du Congo colonial (un "immatriculé" privilège de très très peu de fonctionnaires), un pure produit, doué mais aussi dévoré par l’opportunisme.
Genre savoir qui a créé la sécu et quand les classes moyennes sont apparues ? Dommage pour les tenants des idéologies free market ou communiste...
Oui mais Lumumba était d’abord un opportuniste avant d’être un libérateur, ce qu’il devint mais doublé d’un frondeur pour la frime (son arrogances contre Baudouin, qu’au demeurant je n’aime pas, était applaudi par certain milieu belge très gentil parce que "anticolonialiste" sauf que c’était stupide à l’aube d’un nouvel état sans aucune structure).
Parlez d’empire mondiale sans parler de l’empire britannique ou vénitien, quelle ironie !
http://www.solidariteetprogres.org/Comment-Venise-orchestra-le-plus
Le féodalisme n’a aucun pouvoir international, c’est le régionalisme actuel. L’impérialisme dicte la marche à suivre au niveau international, c’est le bloc anglosaxon pour nous (mais la Chine pour les chinois et l’Asean).
C’est d’ailleurs assez dingue de prétendre qu’il n’y a pas d’empire parce que l’empire brittanique a change de nom en 49 alors qu’il est recyclé en paradis fiscaux (Londres est une place off shore grâce aux liens avec ces îles sous l’autorité de la reine), que les banques historique (HSBC, Cout’s,...) sont toujours en place comme à la belle époque de la guerre de l’opium et que le CFR qui dicte la politique étrangère US d’après guerre est lié avec la Chatman House depuis sa création.
Mais bon, je suppose que le refuge de Marx à Londres et la culture de la finance folle omniprésente en France (sauf pendant les 30 glorieuses) explique cette oublie majeur dans les luttes idéologique de gauche ou de droite.
Le capitalisme date d’avant Cresus et n’est d’aucun bord politique. Ce n’est qu’une attribution de valeur plus précise que le troc. La classe moyenne ne vient nie du free market anti-nation, ni du communisme anti-capitaliste... Un détail pour un idéologue, quelque soit son bord !
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