Bonjour, suis je la seule à avoir tiqué en apprenant l’existence du groupe Bernard Levi qui aurait torturé ce témoin lybien ?
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Cela voudrait il dire que Botul aurait à sa botte ou à son porte monnaie, un groupe de mercenaires privés ?
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Si c’est le cas, c’est assez grave, je trouve que cet "intellectuel" aie autant de pouvoir de nuisance et qui puisse se pavaner sur nos médias et plateaux tv, en ayant les clés des studios en plus.
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BHL ou un mauvais remake de l’armée des ombres ?
Non Hijack, Dieudo n’a pas inventé le concept du bouffon qui réfléchit, le bouffon par définition réfléchit et insinue, pointe, met en évidence sous couvert d’humour les travers, les défauts, les contradictions, le ridicule de nos dirigeants, des dirigeants qui avaient pouvoir de tuer le bouffon si celui ci allait trop loin et leur déplaisait, mais le bouffon pouvait déjà aller plus loin que le sujet lambda sans risquer la mise à mort immédiate. Coluche réfléchissait aussi, il s’est aussi impliqué politiquement, jusqu’à ce qu’on lui fasse comprendre d’arrêter, sous peine de bricoles, on sait comment il a fini, il avait d’ailleurs dit que ce monde politicien là, le dégoûtait, lui avait passé l’envie de rire.
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Dieudonné est un Coluche de l’an 2013, autre contexte, autre configuration, mêmes principes. Les bouffons sont avant tout des citoyens comme les autres, avec le droit fondamental de faire valoir leurs opinions, fussent elles politiques, faire rire n’implique pas de ne pas s’engager, et sur ce terrain là, il n’a pas baisser son froc, il a surenchéri par la satire, provocant encore plus à chaque coup porté contre lui par un système inique qu’il s’évertue à dénoncer. A mettre en évidence les incohérences qui vont jusqu’au grotesque de ce mode de fonctionnement de pensée, et pointe les limites et les mensonges d’un système qui se prétend démocratique où la liberté d’expression y est totale. On voit bien ainsi, par l’exemple de Dieudonné jusqu’où ce système nous trompe, que la liberté d’expression est valable pour une partie de la population et pas pour une autre. Coluche disait déjà au jeu de la vérité chez Sabatier que les juifs étaient intouchables. Nous sommes presque trente ans plus tard, et cette espèce d’immunité exclusive qui touche cette infime partie de la population, frôle les limites de l’agacement à force de procès et de réclames pour des dommages et intérêts, sans compter leur revendications communautaires, étragement acceptées par le gouvernement qui prend sa feuille de route au Crif, ainsi qu’en Israël, à l’instar du gouvernement américain et de l’Aipac, qui commence sérieusement à agacer aussi une partie des gouvernants américains qui commencent à ne plus cacher qu’Israël est un boulet. Israël est un boulet pour beaucoup de monde, américains, français mais aussi allemands. Attention à la ligne rouge, quand les rackettés car c’est bien de racket et de chantage dont il s’agit, en auront marre de seubir cette domination pécuniaire en échanges d’avantages et de privilèges communautaires, le retour de bâton risque bien de faire mal à la "seule démocratie" du moyen orient. Je parle bien évidemment de l’élite juive, vous l’aurez compris.
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Voilà ce que Dieudo et d’autres aident à dénoncer également. Je ne dis pas que le sionisme est responsable de tous les maux de la planète, bien évidemment non, mais il n’est en tout cas pas une solution d’amélioration vers un avenir plus serein et pacifique, clairement non.
Sachons relativiser ce que l’on peut trouver sur internet, beaucoup de gens en sont capables, d’autres prennent au contraire tout au premier degré, surtout les plus jeunes générations, qui sont nés dans un monde photoshopé, déformé, où la frontière entre le réel et le virtuel se mélange pour former une troisième réalité qui n’existe pas, donc je crains qu’une partie des moins de trente ans ne sache plus faire la distinction entre ce qui est vrai, concret et ce qui est faux, virtuel. Il y a aussi le recours à des raccourcis, des amalgames, dans les discussions virtuelles sur des sujets graves, importants, des déformations du langage qui à terme, à force d’être répétées et pour résumer un flot d’informations si important qu’il est impossible de traiter pour un cerveau humain, du moins dans une discussion comme celle ci ou qui pululent dans les divers forums, qu’on en arrive à la simplification extrême des sujets traitant de la vision du monde de chacun et par souci pratique ou intellectuel, la tentation est grande de devenir manichéen, de tout réduire à une bipolarité des choses, à la réduction simpliste du tout blanc tout noir, bien et mal etc.. Alors que le monde dans lequel nous vivons ainsi que les êtres qui l’habitent, sont tout en nuances de gris. Aussi sachons ne pas prendre trop à coeur les propos que l’on y trouve, sur cette toile ou chacun apporte son trait de pinceau, et où chacun y voit ce qu’il veut bien voir, et trouver ce qu’il veut bien chercher. Car Internet est un outil merveilleux, il est tant de choses, il est presque humain dans sa complexité, capable du meilleur comme du pire, c’est à chacun de savoir si il veut être meilleur ou si il veut devenir pire encore. Selon son humeur du jour, là encore c’est tout une palette de nuances qui s’étale, car le manichéisme n’existe que dans des esprits bien étroits. Voilà, j’ai fini je crois cette fois
Pardon pour es fautes, je ne me suis pas relue avant de poster mais je voulais ajouter ceci, ce qui est peut être le plus grave, en tout cas une conséquence inédite dans l’Histoire, c’est que le virtuel est en train d’influencer le réel, et pas de façon positive. Je ne suis pas voyante, mais je doute que ça finisse en embrassades planétaire tout ça. Je vous souhaite une bonne journée
Qu’entendez vous par notre "camp" ? Je ne me considère pas dans un camp mais je reconnais tout à fait qu’internet sert aussi de défouloir facile de façon lâche et anonyme pour ceux et celles qui déversent leur trop plein de frustrations diverses dues à des causes diverses, ce qui n’est que le reflet d’une société en souffrance à bien des titres et pour des causes multiples qui sont trop longues à énumérer ici d’autant plus que c’est presque au cas par cas qu’il faudrait analyser la situation pour être à peu prêt dans une forme de réalité crédible analytique de ce phénomène relativement nouveau qu’est internet.
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Vous savez ça me rappelle un peu le temps des CB’s et des radio amateurs, mon père s’adonnait à ce loisir, la plupart respectaient une sorte de règle ou de charte de bien séance mais il existait déjà des "trolls" qui pourrissaient les ondes, les parasitaient, juste pour le plaisir d’embêter leur monde. Internet c’est la CB puissance mille donc ses effets sont amplifiés par quantités de facteurs différents que je ne peux énumérer dans un commentaire puisqu’il faudrait écrire un livre en plusieurs volumes pour essayer d’approcher une exhaustivité encore toute relative.
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Il y a par exemple, pour tenter d’expliquer ce déferlement d’énergies négatives sur la toile qu’internet est accessible à tous, des jeunes aux vieux, des fortunés aux démunis, toutes les clases sociales, anonymes et célébrités s’y cotoient de façon inédite, du moins virtuellement, mais il y a un bouleversement radical dans le domaine de la communication, et le virtuel même si il est déformant n’est qu’un reflet du réel, malgré tout. Il faut tenir compte des décennies où la parole était réservée à une certaine caste qui avait accès aux médias, papiers, radios, télévision, qui pouvaient se permettre d’insulter une bonne partie de la population tout en flattant une autre, ce qui a permis de mettre en place cette "pensée unique", ce politiquement correct, cette "novlangue" qui n’est pas adaptée à la réalité mais qui a tenté de faire plier cette réalité au bon vouloir d’une pensée formatée, artificielle, niant celle de la France "rance, moisie, d’en bas" et cette France passée pour ringarde et réduite au silence, fait son come back en force avec cette autoroute qui lui est offerte pour s’exprimer, et plus de trente ans de frustrations contenues, ça fait du bruit quand ça se libère d’un coup.
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Il y a évidemment la nature humaine qui est loin d’être parfaite qui entre en ligne de compte, cette nature humaine qui, à force de propagande, on a tenté de l’orienté plutôt de force que de gré vers une forme de normalisation à l’image promue par les médias de masse, qui est en totale contradiction avec les valeurs des petites gens. Il y a tant de facteurs que je ne peux tout écrire ici, mais c’est comme un éventail entre deux extrêmes et chaque fibre de l’éventail est un degré, un paramètre supplémentaire à prendre en compte si l’on veut expliquer un peu le comment du pourquoi de ce déferlement de haine sur internet, surtout en cette période d’incertitudes économiques, sociales, spirituelles, etc, où les inégalités sociales sont mises en lumière chaque jour alors que des gens qui pètent dans la soie demandent à d’autres de se serrer encore plus la ceinture pour que ces mêmes nantis se goinfrent encore d’avantage, c’est indécent, c’est comme de forcer un crève la faim de faire la garde devant la vitrine bien garnie d’un boucher. Il y a les tensions communautaires évidemment, et à force de mise en avant médiatique d’un traitement de faveur à plusieurs vitesses souvent au détriment des "français de souche" pour favoriser une discrimination positive ou au contraire, on diabolise les personnes de confession musulmane quand une opportunité électorale s’y prête, et je ne parle même pas de la misère affective ou sexuelle, qui est à l’instar du crève la faim, un véritable appel à la convoitise pour les moins chanceux nés avec un physique ingrat qui voient des fesses étalées partout jusque sur les pots de yaourt sans pouvoir assouvir leur désir, il y a le fait que les gens doivent jouer des rôles en société, doivent s’autocensurer tout le temps, faire semblant, sourir de façon forcée au travail, masquer leurs faiblesses, leurs perversités, leurs travers, on peut de moins en moins se révolter, puisque tout est fait pour aseptiser la moindre crise de colère, de minimiser nos souffrances quotidiennes, en tou cas chez les petites gens, la souffrance des nantis ou des pleurnicheurs professionnels on la connaît, elle est assez exposée, mais les anonymes sont priés de mourir en silence, si possible, il y a tant de facteurs à prendre en compte que c’est impossible à résumer.
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Quoiqu’il en soit, je constate une chose, si les moyens de communication ont révolutionné notre monde, je trouve que l’on communique de moins en moins dans le réel. Vous sortez avec des amis, ils ont le portable vissé à l’oreille, la tablette graphique prête à être dégainée pour surfer, même en plein dîner au restaurant, c’est pareil avec les réunions de famille. Plus on peut communiquer, et moins on se parle, moins on s’écoute, moins on se sent concerné par les proches, au détriment des échanges virtuels. Vivrions nous ainsi par procuration à force de lassitude du monde d’antan ? Pour masquer notre insignifiance ? Ou juste pour cacher que nous souffrons d’un manque d’humanité ?
Tiens, Ariel découvre l’eau tiède. C’est une conséquence prévisible de trop d’entre soit, d’autocongratulations mutuelles, de 30 ans d’audiovisuel à la sauce Drucker, la télé trop polie pour être honnête d’hier, trop lisse, trop aseptisée avec ses overdoses de politiquement correct. Ils ont prématurément tué la "France profonde" en faisant semblant de croire qu’elle n’existait plus à force de ne plus en parler, par honte, par dégoût, par ignorance, par préjugés, par mépris, par crainte de regarder ses origines. Monter à Paris pour oublier le petit bled de campagne où l’on a été mis au monde par des parents trop rustres pour comprendre le glamour langage des paillettes, du fric, du champagne, de la drogue des riches et du showbusines.
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Mais le sait il Ariel que mon père dans notre salon, le soir venu, devant le petit écran bleu et dans son fauteuil le traitait lui et ses semblables de mots grinçants, chantant et fleuri en ricanant, mots que la décence, le respect des administrateurs de ce site ou la peur de la modération m’interdit de reproduire ici ?
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Peut il dans sa suffisance et son absence de remise en question s’imaginer combien de fois mon père s’est fâché tout rouge, tout seul et bien inutilement devant le spectacle de ses semblables, Ariel ? Que sa tête ou celle d’un de ses collègues aurait encaissé des gifles si il eût été présent en chair et en os devant mon père, au lieu d’être une simple image sur un écran ?
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Combien de fois en rentrant du travail, et avant un match de foot, mon père aimait à se prendre la tête avec ce qu’il appelait des tarlouzes, des pantins, des jean foutres ? Je ne les ai pas comptées, heureusement que pour m’y soustraire, il y avait l’ordinateur et ma console Sega dans ma chambre. Car je prenais parti pour les pauvres présentateurs, mon père me dégoûtait, c’est vrai quand il vociférait dans le vide, contre ce monde médiatique qui me faisait secrètement rêver. Et aujourd’hui que je ne suis plus adolescente, aujourd’hui que j’analyse différemment les choses, je me dis qu’il avait raison mon père, pas par érudition ou talent de clairvoyance, non, par simple bon sens, que de sentir que ce monde là sentait le faux, le mensonge, l’hypocrisie, le superficiel. Je regrette de l’avoir méprisé pour cela. Car aujourd’hui je pense comme lui. Dommage qu’il ne soit plus là pour qu’il le sache à quel point je me sents sotte d’avoir été si naïve, si fausse rebelle. Pardon papa.
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Le sait il Ariel que si la télé avait été aussi interactive qu’internet, pendant tous ces émission en direct où l’on filtrait les messages des téléspectateurs pour ne garder que les élogieux, que ceux qui caressent dans le sens du poil, flattent les artistes, les auteurs, les animateurs, les gens du petit écran, sauf en de rares occasions, comme celle qui valu sa chute médiatique à Chantal Goya, ces petits imprévus trop rares que l’on appelait les aléas du direct, le sait il Ariel que si les bouseux de l’autre côté du tube cathodique avaient eue la possibilité de s’exprimer aussi ouvertement qu’aujourd’hui, les haters n’auraient pas été moins nombreux. A force d’auto congratulations, ce monde artificiel semble l’avoir oublié, que lorsque l’on s’expose publiquement, il y a les éloges quand c’est mérité, et les critiques quand on est médiocre. Avec la qualité artistique ou simplement spectaculaire puisque tout est devenu spectacle y compris la politique qui n’a cessé de baisser autant dans les jeux d’acteur que les performances des experts en tout genre qui se succèdent afin de partager leur science sur les plateaux tv, il est logique qu’au bout de trente ans de chute, de course vers plus de quantité et moins de qualité on récolte ce que l’on a semé, d’autant plus si pendant ces trente ans, le mensonge a régné sur un média censé nous informer et que l’on découvre aujourd’hui grâce à un nouveau média, la face cachée du petit écran et de sa clique de privilégiés qui se sont bien payé nos têtes pendant toutes ces années, journalistes en première place du podium des tartuffes.
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Le sait il Ariel ou n’est ce qu’une tentative de salarié qui sait qu’internet détrônera définitivement la télé traditionnelle dans un futur proche pour diaboliser ce concurrent avant de se retrouver à son tour et de façon presque méritée au chômage, en retraite anticipée, ou à la rue, comme ces ouvriers que lui ou les siens on tant toisés avec arrogance ?
Je me suis posée la même question, à voir sa tête sur la photo de la vidéo, soit il est bourré, soit il est sous acide. En tout cas je trouve inquiétant que quelqu’un à jeûn puisse tenir ce genre de propos, et d’autant plus inquiétant quand ce genre de type se trouve être au gouvernement. J’ai de la peine à croire qu’il pensent ce qu’ils disent, ce sont des acteurs de théâtre, dans une pièce sinistre.
A t’on le droit d’être connophobe ou c’est aussi puni par la loi des antiracistes qui ne jugent les gens que par la couleur de leur peau ou de leur religion ? Classer les gens dans des cases, sous couvert de les protéger ou de les discréminer positivement, c’est toujours du racisme.
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Ceux qui en usent et en abusent, que ce soit pour faire des ratonnades ou désigner comme boucs émissaires ceux qui sont d’une ethnie ou d’une obédience différente ou que ce soit pour les "défendre", ça part du même principe discriminatoire et racialiste. La Licra est une entreprise racialiste, comme toutes ces associations communautaires qui doivent bien défendre leur fond de commerce. Et quand il n’y a plus assez de racisme naturel, on en fabrique, alors on stigmatise, on culpabilise, on hurle au loup à la moindre pécadille, on fait une affaire d’état d’une parole de gamine, on met tel ou tel à une place médiatique parce qu’il est noir, c’est ridicule, c’est complètement fou, on crée du racisme sous couvert de lutter contre le racisme, parce que ça rapporte. Il n’y a pas beaucoup de diversité à la tête de la Licra, je crois que c’est bien de le rappeler.
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Toujours les mêmes derrière la caisse enregistreuse, c’est un fait, va t’on m’accuser d’antisémitisme alors sortez les noms des responsables de la Licra et des bénéfices engrangés sur des plaintes ubuesques durant l’année, la dernière en date est un cas d’école sur la personne de monsieur Soral qui se voit condamné à une peine exclusivement taillée sur mesure pour lui et personne d’autre, mais on va où là ?
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La France licratisée d’Anne Kling, je ne voulais pas le lire, je vais de ce pas le commander en ligne.
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Ces associations qui sèment la zizanie me rendent folle et je ne suis pas la seule à le penser. Des racistes suprémacistes qui hurlent au racisme, alors qu’ils en sont les principaux allume feu, on croit rêver de voir des choses pareilles dans la France de 2013. La place de cet avocat devrait être en prison pour incitation à la haine raciale, et que se passe t’il ? Il fait condamner les autres, mais on marche sur la tête dans ce pays de fous furieux.
Il a quand même trop un physique d’escroc pour être crédible
Il est économiste le petit jouflu implanté capilairement ? Je croyais qu’il était facteur à Neuilly...
Faut changer le prénom aussi, Marianne ça fait trop penser directement à Eva Braun,
Melissa métisse d’Ibiza à la peau au goût de réglisse. Voilà un prénom
digne de la France et de la Navarre.
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Marre de ces questions de racisme franchement, ceux qui en parlent le plus sont ceux qui se prétendent le moins, mais au fond d’eux on sait qu’ils n’en pensent pas moins.
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Les donneurs de leçons à la Jules Ferry, ça suffit
Il ne s’agit pas des frères Cohen les réalisateurs de Matrix, mais des ex frères, plus exactement frère et soeur Andy et Lana Wachowski, un des frère est devenu soeur par la magie du scalpel. Il s’est implanté une matrice à la place de son pénis.
C’est toujours le même problème qui revient, un outil est un outil et son utilisation dépend de l’utilsateur, un couteau dans les mains d’un cuisinier n’aura pas les mêmes conséquences quand à son utilisation dans les mains d’un serial killer, même si le cuisinier et le serial killer au couteau d’argent sont la même personne, ça dépend de la volonté du propriétaire de la main qui tient le couteau.
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Une arme à feu c’est la même chose, on peut s’en servir pour diverses raisons, autres que le massacre de masses. Collection, tir sportif, chasse, marteau de substitution, soulagement de la paranoïa des cambrioleurs, intimidation dans le cadre d’un larcin quelconque afin de susciter un accès plus aisé à des valeurs convoitées. Etc...
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La monnaie est un outil à la base, qui est devenu arme de domination/soumission massive, mais à la base, la monnaie servait à faciliter les échanges entre les hommes, elle devient l’instrument de sa destruction.
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Internet c’est la même chose, on y trouve à boire, à manger, à vomir, à se cultiver, à s’incultiver, à s’émerveiller, à s’horrifier, il y en a pour tous les goûts et même du tout à l’égoût. Seule la volonté et l’imagination de l’utilisateur le mèneront là où il débouchera, certains se contentent à longueur de surf d’aller voir dans la cuvette des wc, mais d’autres explorent les immensités cosmiques du champ des possibles que l’imaginaire humain propose dans son infinie diversité.
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L’inconvénient de cet outil, c’est qu’il faut trier sur un tamis les informations que l’on y cherche et qu’on finit par trouver puisque qui cherche trouve dit on et google est un ami rapide et efficace mais pas infaillible.
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Bien sûr la majorité visible de nos connaissances, amis, familles, se passionneront certainement plus volontiers pour les ragots mondains, politiques, médiatiques, les sites pornos gratuits qui pullulent sans copuler mais qui se multiplient abondamment ou encore se délecteront de leurs yeux sec qui se rincent avidement des photos dénudées que la fille de la voisine qui a 18 ans étale de son plein gré sur les réseaux sociaux, mais si notre entourage direct est composé de gens limités, puérils, abrutis, pervers, narcissiques, est ce le cas des 7 milliards d’internautes potentiels qui surfent sur les vagues successives qui rident les autoroutes de l’information ? Rien n’est moins sûr, tant que l’on aura pas, dans un souci d’obtenir pour une fois des statistiques un peu réalistes, interrogé individuellement ces 7 milliards de pervers potentiels pour savoir ce qu’ils comptent faire de cet outil aussi merveilleux que dangereux qui s’appelle Internet, bientôt Skynet ?
Le racisme, vaste sujet qui puise ses origines dans l’ordre naturel des choses, l’évolution des diverses espèces peuplant différents territoires qui se rencontrent et de méfiance par leurs différences en convoitises ou conquêtes de terrains voisins qui deviennent à un moment communs et témoins de batailles animées par différents rapports de force pour les enjeux d’intérêts multiples et divergents ou plus simplement et plus rarement, par pur amour de la détestation de l’autre, ça permet de soulager la haine de soi sur les orteils de son prochain.
Rares sont les daltoniens rageux qui font de leurs préférences esthétiques un combat de toute une vie, un combat bien inutile et de toute façon perdu d’avance, à moins de se prendre pour une divinité quelconque et de s’arroger le droit de décider qui a le droit d’être en haut et d’être en bas, droit de vie ou de mort, pour une couleur de carosserie.
Là où ce mot, racisme, devient vraiment casse pied, c’est qu’on ne peut plus l’éviter au quotidien à moins de ne plus lire les infos, ne plus regarder les médias, qui influencent malheureusement les discussions des gens lambdas, et un sujet qui n’a pas tant d’importance que cela chez des gens "normaux" devient un thème récurrent dans les échanges entre amis, collègues, familles. On peut en déduire que c’est bien ceux qui hurlent au racisme à la moindre pécadille qui alimentent la braise d’un réflexe naturel plus ou moins bien refoulé chez la plupart des personnes équilibrées.
Ce qui devient insupportable, c’est la police de la pensée qui sanctionne le moindre mot, le moindre geste, poussant le grotesque jusqu’à aller à accuser quelqu’un qui se gratte l’épaule de nazi inversé, les affaires sur la quenelle qui se multiplient, sont là pour démontrer par l’absurde, jusqu’où les médias et le gouvernement complice, vont pour pratiquer leur activité favorite, l’enfumage et la division pour mieux régner. La dernière quenelle en date au petit journal de canal + et reprise par les médias est la cerise sur le gateau d’une stupidité sans nom et abyssale.
Le racisme devient alors une excuse, une excuse pour beaucoup de monde, les gens issus des diversités, des minorités visibles en usent et abusent pour échapper à toute critique, comme d’une carte immunité qui leur confère un pouvoir bonus en cas d’implication dans une altercation aussi bien physique que juridique, voire juste civique, brandir la carte du racisme comme une sorte de pouvoir magique immunitaire afin de faire taire ou accuser l’adversaire et se préserver ainsi des délits, des reproches, des réprimandes que la personne aurait méritée même si elle avait été blanche comme neige ou coupable colombe.
Les politiques usent et en abusent de la carte racisme qui devient dans leur jeu un excellent bouclier pour parer à tout débat dérangeant et éviter les questions de fond en déstabilisant l’adversaire d’un revers cinglant. Elle sert également de grenade fumigène pour noyer sous un brouhaha assourdissant les sujets réellement importants qui préoccupent vraiment les français, comme le chômage, l’économie, la précarité, l’insécurité, les injustices sociales, la santé, la qualité de vie en générale. Ces problèmes deviennent secondaires grâce à la carte magique brandie à la moindre peau de banane sur laquelle glisse de plus en plus souvent ce gouvernement fantoche à chacun de ses pas.
Alors on rejoue la partition des années 80, hélas pour Valls, ne lui en déplaise, ou le PS en général, je crains fort que le subterfuge souffre d’obsolescence programmée, et que ce procédé éculé ne fasse pas oublier au citoyen qui chante encore malgré tout les deux pieds dans la merde qu’il a les chaussures qui commencent à sentir le faisandé et que les questions de racisme, malgré la publicité dont elles bénéficient à grand renforts de discours flamboyants, relayés éveidemment par la formidable machine de propagande que sont les médias aux ordres des marchants de canons, ne restent pour les gens du peuple, que secondaires, contrairement aux priorités étranges du gouvernement qui préfère, lorsque le bateau coule, réprimander le mousse et coller aux fer les mutins en empêchant les marins du navire de calfeutrer les brêches par lesquelles s’engouffrent les liquidités sans fin d’une dette impossible à éponger entrainant lebateau France dans les abymes de l’incompétence des uns et des autres, les racistes et les antiracistes avec, ils pourront continuer à se détester mutuellement et tranquillement dans les profondeurs insondables vers lesquelles nous précipitent les gouvernants sans gouvernail.
Vaste sujet que le premier métier du monde, accompagné obligatoirement de sa soeur siamoise Hypocrisie. Il est illusoire de vouloir l’abolir, une suppression de plus, qui serait un remède bien pire que le mal, car que deviendraient les pulsions animales soulagées grâce aux "travailleurs du sexe" si elles étaient contenues et réprimées ? Augmentation massive des viols et aggressions sexuelles ?
La morale hurle avec la meute contre ces pratiques discutables à bien des points de vue. La misère enfante un cheptel inépuisable de personnes majoritairement contraintes ou plus rarement consentantes à la location des corps pour la survie économique ou survie tout court de celles et ceux qui l’habitent, c’est rarement par plaisir et volupté que l’on se résout à devenir marchandise charnelle.
Une de mes connaissances est étudiante et pour mettre du beurre dans les épinards s’adonne à la prostitution de son plein gré et de manière indépendante. Elle doit faire partie d’une minorité c’est entendu.
Un de mes ex fréquente assidûment les prostituées, il n’est pas un pervers, simplement son emploi du temps chargé et sa volonté de ne pas fonder de famille pour le moment ne l’encourage pas à chercher l’âme soeur. Il me confie que ce moyen là lui permet de satisfaire ses besoins sexuels et lui évite une crampe du poignet. Il est en effet très porté sur le sexe. Et il s’en servait fort bien. Soupir ...
La traite des blanches, la traite des femmes, ce n’est hélas pas nouveau. La nouvelle configuration géopolitique de notre monde depuis les années 1990 a participé à développer ce genre de trafic mafieux. L’ouverture à l’ouest des pays de l’est, l’abolition des frontières, la quête un peu naïve de centaines de jeunes filles, pour la plupart, belles, intelligentes, cultivées, cherchant à fuir leur pays un peu trop peuplé de mâle machos, alcooliques, chômeurs et brutaux les entraîne souvent dans des pièges qui deviennent spirales vers l’enfer de la drogue, des réseaux et des bordels puis les trottoirs. Passant les frontières avec leurs "agents" ces "artistes de cabarets" sont transbahutées au grés des demandes pour satisfaire l’offre, en marchandises moneyables à l’envi qu’elles sont devenues, à force de croire au prince charmant venant les sauver d’une prison qui s’est transformée en donjon au fil des jours qui s’écoulent au rythme des lignes de drogue qui sont autant de chaînes qui les emprisonnent plus sûrement que des liens en fils de fer barbelé.
Tout le monde le sait, tout le monde s’en émeut, mais personne ne bouge, pourquoi bougerait on aussi ? Que peut un citoyen face à des mafias ? Que peut un gouvernement proxénète qui n’a qu’à fermer les yeux tout en encaissant hypocritement l’argent que lui procure la prostitution sous des formes diverses ? La prohibition a t’elle empêché les gens de boire ? Ces contraintes légales ne sont là que pour sauver le peu de bonne conscience qui peut encore l’être, alors que tout le monde sait bien, que l’un des moteurs qui fait tourner le monde est le sexe, accompagné d’argent et de pouvoir, et nous avons les trois pilliers qui soutiennent le temple de la face cachée et obscure de l’humanité.
Abolir, punir, légiférer ou condamner la prostitution, c’est un peu comme de parler du sexe des anges.
Ce n’est pas seulement la gauche qui récolte ce qu’elle a semé, dans un contexte plus étendu la France paie le prix de ses colonies et plus largement l’europe colonialiste et paternaliste paie le prix de siècles de domination technologique et idéologique, qu’elle a voulu exporter sur toute la planète, plus récemment son enfant, l’american way of life, a voulu s’implanter partout. Je ne saurais trop vous conseiller d’écouter le clip de Rammstein, Amerika qui résume la situation que nous vivons actuellement. Siffler François Hollande, n’est qu’une conséquence de tout ce foutoir au niveau national. Il n’y peut rien, dans le fond, le pauvre, sinon ramasser la merde accumulée par d’autres et porter le chapeau ou plutôt la perruque de Louis XVI avant de passer sur le billot, il paiera pour les autres, il en a la tête de l’emploi en plus. Qui aimerait être à sa place ?
Copé aurait fait un bel orc dans wow
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