@Perre Sanders
Vous écrivez : "le fait de se grouper pour faire face aux centaines de millions de traîne-patins du tiers monde qui nous envahiront au fur et à mesure qu’ils auront l’argent du voyage, ce qui est une trahison de l’Europe et des Européens, de leur civilisation et de leurs cultures."
C’est quand même bête que les ressources minières, pétrolières, gazières et forestières que vous utilisez viennent principalement des pays de ces "traine-patins".
C’est donc en toute logique que vous trouvez "naturel" de piller leurs pays et de les laisser crever de faim chez eux. C’est très équitable n’est-ce pas ? C’est Bolloré qui guide votre pensée ?
@hase
Jean Luc Mélenchon est "républicain", il l’a dit et répété assez souvent, devant nombre de caméras de télévision. Il respecte la Constitution française !
Il se trouve que les articles 55, 61 et 62 de la Constitution de la 5ème République interdisent quiconque, le Président élu, le gouvernement, l’Assemblée nationale, de "désobéir" aux traités signés par la France. La désobéissance à la Mélenchon est une fiction pour gogo. Lisez et comprenez les articles 55, 61 et 62 de la Constitution et vous aurez l’air moins bête et vous ne parlerez plus de désobéir aux traités !
Depuis 15 ans, la jurisprudence du Conseil constitutionnel est constante. A chaque velléité de "désobéir" aux traités, les lois prévues en France ont été annulées. La seule et unique possibilité, conforme à la Constitution, c’est de respecter les traités et d’utiliser l’article 50, totalement conforme à la Constitution française. Et si l’on devait changer de Constitution, après avoir réuni plus de 50% des électeurs sur le choix de celle-ci, cette nouvelle mouture serait en conflit frontal avec les traités européens.
Il faudrait arrêter de vous mentir à vous même !
@jimontheair
Enfin vous ouvrez le débat ou niveau où il devrait l’être.
Et je peux vous répondre que je ne suis pas d’accord avec vous. En effet, je ne crois pas me tromper en disant qu’Asselineau propose de prendre la direction d’une démocratie semi-directe, ce que l’on n’a jamais connue en France. Je copie-colle et vous me dîtes, vraiment, ce que vous en pensez. D’accord ?
@jimontheair
Vous aimez bien aligner des mots ? Ce qui se conçoit bien, s’énonce clairement, etc. Vous avez du pain sur la planche !
Vous connaissez donc les institutions de l’UE. Expliquez nous comment il est possible de "renégocier" les traités. Allez mon brave, à coeur vaillant rien d’impossible ! Des mots, des mots, toujours des mots, mais c’est bien tout ! Et puis, renseignez nous sur le rôle du Conseil constitutionnel. Après, on pourra, à tête reposée, parler de vos connaissances sur le sujet. Jusqu’ici vous ne montrez rien, absolument rien. C’est dommage pour un érudit de votre acabit.
Pour la grossièreté j’ai aussi un gros catalogue mais je m’abstiens d’aller y puiser trop souvent, réservant ce langage à ceux qui le méritent vraiment. Vous n’êtes pas encore dans ce cercle restreint. Il faut vous donner un peu plus de peine.
@jimontheair
Vous n’avez donc jamais réfléchi à la manière de "renégocier" les traités ou de "désobéir" aux traités ?. Et vous venez mêler votre grain de sel. Vous manquez sérieusement de jugeote.Hormis votre vulgarité je ne vois rien de concret dans votre réaction. Vraiment rien.
Si vous voulez vous cultiver sur les institutions de l’UE, parce que j’imagine que vous n’avez jamais lu les traités, mais que vous avez la science infuse pour les commenter, voici un livre écrit par un grand spécialiste, livre qui est utilisé par tous les étudiants qui travaillent leur connaissance des institution de l’UE. Jean Paul Jacqué
https://www.amazon.fr/Droit-institutionnel-lUnion-européenne-Cours/dp/2247120105
Je vous laisse méditer ce que dit cette personne sur la modification des traités.
"Tout d’abord, une révision des traités suppose une longue préparation. Réviser les traités ne constitue pas un objectif en soi, mais un moyen destiné à permettre à l’Union d’atteindre ces objectifs. Il est donc essentiel d’identifier les points sur lesquels les dispositions actuelles des traités constituent un obstacle et de formuler des solutions. Ensuite, il faut trouver un consensus sur les réformes envisagées ce qui avec vingt-sept Etats membres constitue un défi proche de la quadrature du cercle. Que l’on songe que l’origine du cycle de révision qui a trouvé son issue dans le traité de Lisbonne se situe plus de vingt auparavant dans le projet de traité élaboré par le Parlement européen sous la direction d’Altiero Spinelli. Des années ont été consacrées à rechercher les consensus des institutions et des Etats membres au travers de révisions partielles des traités et lorsque la Convention sur l’avenir de l’Europe s’est réunie, l’accord était déjà largement trouvé. Enfin, peut-on se lancer dans un processus qui, dans l’état actuel, rencontrerait, compte-tenu des opinions publiques, les plus grandes difficultés à être ratifié ? Tant que l’Union européenne ne réussit pas à traiter les difficultés actuelles, il est vain d’espérer qu’une révision d’ensemble des traités puisse recueillir un soutien suffisant tant des Etats que des peuples."
En bonus, rien que pour vous, un extrait d’Etienne Chouard. Ecoutez bien il parle de vous !
https://www.facebook.com/groups/502030926584201/permalink/1579997512120865/
Le monde de précarité qu’on nous prépare vient de l’Union européenne qui a siphonné les pouvoirs des peuples. Les décisions de réforme du code du travail ne viennent pas de France, elles viennent de Bruxelles et des GOPE. Nous le savions avant l’élection de Macron mais Mélenchon a sans doute la mémoire courte. François Asselineau l’a assez martelé lorsqu’il en a eu l’occasion, si peut souvent il faut bien le dire. A qui, de Mélenchon ou d’Asselineau, les évènements de casse sociale auxquels nous assistons, impuissants, donnent raison ? Jamais Mélenchon n’explique que la France appartient à un système supranational, jamais !
@Buk100
Examinons votre réponse.
1°) Demande de renégociation des traités.
Doit-on penser que cela vous suffit comme élément d’appréciation ? La moindre chose à faire est de savoir "comment" il est possible de "renégocier" les traités. Et ceci est inscrit dans le droit européen : c’est l’article 48 du TUE. Et puisque le droit européen est supérieur au droit national, que ceci est acté dans la Constitution française, toute renégociation de traité devra passer par l’application de l’article 48 du TUE.
Lorsque vous parlez de "renégociation" des traités, vous devez pousser la réflexion un coup plus loin. L’article 48 prévoit "l’unanimité" des Etats membres pour changer la moindre virgule. Ceci veut dire qu’aucune "renégociation" ne pourra se faire. Surtout s’il s’agit de supprimer la libre circulation des capitaux comme le souhaite Mélenchon (à titre d’exemple).
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-renegociation-des-traites-182990
https://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/jean-luc-melenchon-desavoue-par-le-198321
Le piège s’est refermé sur la France. Les traités ne pourront plus être révisés, d’une part, et, d’autre part, le droit européen et le droit dérivé européen sont supérieurs au droit national. Désobéir au droit européen c’est désobéir à la Constitution française. Aucune loi contraire aux traités européens, ne peut plus prendre forme en France.
Désolé pour les suiveurs de Mélenchon, son programme c’est du vent, de la poudre aux yeux.
@Croa
Les médias de grande diffusion sont les rois. Ils autorisent la parole de ceux qui ne les dérangent pas. Ils ont tout à y gagner.
Celui qui ne parait pas dans les médias de grande diffusion représente le danger suprême pour les puissances de l’argent. En étouffant sa parole il devint inutile de le contrer puisqu’il n’est pas entendu. Vous devriez quand même y réfléchir. Ce n’est pas par grandeur d’âme ni par charité que certains "opposants" déclarés sont "invités" dans les médias de grande diffusion.
Il y a des questions qu’il convient de se poser. A écouter très attentivement.
@ldv07
Il a du "consistant" Mélenchon, mais uniquement pour ceux qui ne comprennent pas la portée de la constitution française.
Le programme de Mélenchon, même s’il est séduisant par bien des aspects, est inapplicable dans le cadre de l’UE parce que toutes les mesures envisagées seraient anticonstitutionnelles.
Mélenchon vend du vent !
Dès que l’on avance une vérité sur Mélenchon cela sonne comme "une critique" aux yeux de ses sympathisants.
https://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/jean-luc-melenchon-desavoue-par-le-198321
@Joe Chip
Vous écrivez :
"dès lors qu’on n’obtempère pas à votre propagande abrutissante pour l’UPR".
Mais quelle donc cette "’propagande" que vous jugez "abrutissante" ?
Sans argument, ce que vous dîtes n’est qu’un jugement spécieux. Il faudrait peut être développer pour être crédible.
@spoty
Parce que les compétences en matière de lutte contre l’immigration sont du domaine de la Commission européenne. Le succès des mouvements anti-immigration, et vous oubliez le résultat de l’AFD en Allemagne, est du au fait que les gens en ont marre de voir des mesures leur être imposées depuis l’extérieur de leur pays par des gens non élus. Ils "voient" le résultat de ces politiques ultra-libérales mais ne comprennent pas leur origine.
Après le résultat des élections allemandes, et l’émergence de l’AFD, la Commission européenne a senti le vent du boulet. L’édifice européen pourrait s’écrouler devant le refus des peuples à accepter la politique migratoire de l’UE. Alors la Commission fait marche arrière concernant les quotas qu’elle souhaitait imposer.
Le programme de relocalitsation des migrants voulu par l’UE a pris fin le 26 septembre à la suite du résultat des élections allemandes du 24 septembre. Le poids de l’immigration sur le résultat de ces élections allemandes a mis du plomb dans la cervelle de l’UE qui bat en retraite. L’UE pouvait succomber à ce programme. Toutes les Nations, surtout à l’est, étaient vent debout contre ces quotas.
C’est donc l’appartenance de la France à l’UE qui nous impose ces politiques migratoires. En sortant de l’UE la France reprend la main elle redevient souveraine dans ce domaine.
@Croa
Lorsque vous voulez remédier à une fuite d’eau, il vaut mieux savoir d’où elle provient. Vous ne passez pas la serpillière à l’infini sans vous attaquer au vrai problème.
C’est ainsi qu’il faut savoir contre qui il faut lutter. Se tromper de cible c’est se tromper de combat. S’attaquer aux lampistes est totalement contreproductif !
Encore faudrait-il savoir pour quoi on manifeste ? En l’occurence la manifestation contre la loi travail vise Macron et le gouvernement Philippe. Mauvaise pioche.
Le droit européen devenant supérieur au droit national, le principe de primauté garantit donc une protection uniforme des citoyens par le droit européen assurée sur tout le territoire de l’UE.
Les orientations programmatiques de l’Union européenne en matière économique, politique et sociale, sont intégrées aux traités et donc gelées.
Ces orientations sont juridiquement obligatoires et indiscutables au sein des institutions de l’Union européenne et des Etats membres devant les mettre en œuvre.
Les électrices et les électeurs peuvent changer de dirigeants tous les 5 ans, ces derniers resteront toujours juridiquement tenus par le programme économique consacré dans les traités.
La primauté du droit européen sur les droits nationaux est absolue. Ainsi, tous les actes européens ayant une force obligatoire en bénéficient, qu’ils soient issus du droit primaire ou du droit dérivé.
De même, tous les actes nationaux sont soumis à ce principe, quelle que soit leur nature : loi, règlement, arrêté, ordonnance, circulaire, etc. Peu importe que ces textes aient été émis par le pouvoir exécutif ou législatif de l’État membre. Le pouvoir judiciaire est également soumis au principe de primauté. En effet, le droit qu’il produit, la jurisprudence, doit respecter celui de l’Union.
La Cour de justice a estimé que les constitutions nationales sont également soumises au principe de primauté. Il revient ainsi au juge national de ne pas appliquer les dispositions d’une constitution contraire au droit européen.
@yoananda
Je partage votre sentiment. Une autre vie, différente, se prépare en France.
@Djam
Si vous devez lire un seul livre, lisez "l’Europe sociale n’aura pas lieu". Pour un investissement de 8 euros vous saurez tout sur la construction européenne depuis ses débuts et connaitrez les acteurs qui ont concouru à la naissance de l’UE.
Un tout petit livre, 120 pages seulement, bourré de références. Incontournable.
https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/I/41ft952MppL._SX300_BO1,204,203,200_.jpg
Ce petit ouvrage rend compte de recherches universitaires, menées depuis une dizaine d’années, dans les domaines de l’histoire et de la Science Politique de l’Union Européenne.
Ces travaux montrent que, dès la création de la CEE, les partisans d’une Europe intégrant une harmonisation sociale par le haut (une partie du PS et des hauts fonctionnaires français), se sont heurtés à une coalition franco-allemande (Monnet-Rueff en France, ordo-libéralisme en Allemagne), qui n’a eu de cesse d’empêcher cette perspective. Cette coalition a conçu l’Europe comme un moyen d’inscrire les politiques économiques nationales dans un cadre néolibéral. Ce cadre, inspiré de l’ordo-libéralisme allemand, vise le libre échange généralisé, le plein développement de la concurrence et une orthodoxie monétaire stricte. Dans cette perspective, l’action économique de l’Etat doit être encadrée par des règles de type constitutionnel, qui le mette à l’abri de l’influence des populations. Comme si l’on pouvait construire une Europe sans la prise en compte effective des aspirations économico-sociales des peuples qui la constitue.
Le livre, écrit dans un langage clair et accessible à chacun, retrace les différentes étapes de cette évolution, les débats qui l’ont émaillée et son résultat. Il donne un sens à ce que certains voient comme une lente dérive, vers une vaste zone de libre échange, sans autre perspective à offrir, qu’un approfondissement de la mise en concurrence des espaces économico-sociaux nationaux. A lire ce livre il s’agirait plutôt de la révélation au grand jour d’un aspect constitutif de la construction européenne depuis les années 1950.
Et si vous avez un peu plus de temps à consacrer à la lecture, un ouvrage conséquent, le seul qui existe sur le sujet : "la démocratie à l’épreuve de l’intégration européenne", un travail de recherche de doctorat.
Si vous lisez ces deux livres vous saurez très exactement ce qu’est l’UE et pourquoi il faut en sortir le plus vite possible.
@pegase
J’abonde dans sens. Il est très juste d’écrire que la balance commerciale de l’Union européenne, à savoir la différence entre les exportations vers l’extérieur de l’UE et les importations vers l’UE, est considérée en agglomérant le résultat de tous les pays.
http://ec.europa.eu/eurostat/statistics-explained/index.php/International_trade_in_goods/fr
Un pays qui fonctionne équilibre autant qu’il peut sa balance commerciale. S’il y a des déséquilibres, il met en place des mesures de protection. Ces mesures de protection sont aujourd’hui prises au niveau de l’UE et non pays par pays. Comme l’Allemagne est la championne du monde des exportations, celles ci équilibre immédiatement le déficit d’exportation de pratiquement tous les autres pays de l’UE réunis.
Dans le cas d’un pays qui exporte trop, comme l’Allemagne, les marchés seraient supposés intervenir immédiatement et la taux de change de la monnaie allemande, comparé aux autres monnaies, s’apprécierait sans délai. Or, l’Allemagne n’a plus de monnaie propre puisqu’elle a l’Euro. Et c’est ainsi que le système de l’euro favorise d’une manière éhontée l’économie Allemande. C’est l’Allemagne qui tire profit de l’existence de l’euro et elle seule. Il faut rapidement sortir de l’UE pour équilibrer tout ceci et mettre en place les instruments de protection que les autres pays appliquent.
Les principaux instruments de protection
Les interventions directes
Les interventions indirectes
Les droits de douane
Les quotas d’importations et exportations
Les subventions aux exportations
Les barrières sanitaires et phytosanitaires
La gestion du taux de change
Les programmes par produit
Les aides à la commercialisation
Les subventions aux intrants et les exonérations d’impôts
L’aide à l’investissement à long-terme
@Joe Chip
J’apprécie au plus au haut point votre commentaire. Je tenais à vous le dire.
Votre phrase : "Ils (les Allemands) ont façonné l’esprit des constitutions selon leur modèle politique basé sur la décentralisation et l’ordo-libéralisme".
C’est pour cette raison que d’aucuns ont le sentiment que c’est l’Allemagne qui dirige l’UE mais cela va bien au delà. Ce sont biens les traités européens qui ont copié et intégré l’orthoxie allemande en matière économique et leur ordo-libéralisme.
Mais ce système à des limites. Aujourd’hui certains parlent d’un "budget européen" et d’un "ministre de l’économie européen". Il faudrait pour cela que l’Allemagne abandonne sa souveraineté économique. Je ne pense pas qu’elle soit prête à ce sacrifice. Les vraies tensions vont commencer sitôt que cette idée sera à l’ordre du jour.
@yoananda
Non, les soldes target 2 ne donnent pas le pouvoir à l’Allemagne. En lien, 3 études de Vincent Brousseau, spécialiste de la question et ancien de la BCE. Premier lien un article écrit en février 2016. Ce que montrent les soldes Target c’est simplement que l’Euro est condamné et non que l’Allemagne dirige l’UE.
Vous parlez de façade institutionnelle. Je ne suis pas du tout, mais pas du tout d’accord. L’U.E fonctionne sur la base des traités que la France a signés mais aussi l’Allemagne. Les décisions se prennent, au sein de l’UE, soit à l’unanimité, soit à la majorité qualifiée, soit à la majorité simple. Expliquez moi comment l’Allemagne pourrait régner en sous marin sur l’UE ?
Je ne confonds pas rapport de force et "institutions européennes". Est-ce que l’Allemagne désobéit aux traités ? Non ! Pas plus que les autres pays. Et s’il advient qu’un pays désobéit, la CJUE intervient et sanctionne le dit pays.
Où allez vous chercher cette notion de rapport de force alors que tout est confiné et enfermé dans le TUE, le TFUE et le TSCG ? Vous avez une lecture bien curieuse des traités européens.
L’UE est une organisation intégrée au service d’un véritable « projet » parfaitement « autonome », annoncé et lisible. Ce « projet » européen n’est pas défini, modifié, adapté par les Etats au fil de leurs réunions, non ! Il est figé dans le marbre du traité lui-même. Les orientations programmatiques de l’Union européenne, du fait qu’elles sont intégrées aux traités sont « gelées », bien moins révisables qu’une norme constitutionnelle de niveau national. Les traités européens ont ainsi opté pour une « intégration négative », c’est à dire l’intégration économique par la suppression de toutes les barrières et distinctions nationales, par opposition à l’intégration « positive », c’est à dire le développement de politiques de limitation, de palliation et de correction des distorsions du marché. L’intégration « négative » est institutionnalisée dans le droit primaire de manière directe à travers, notamment, la protection des 4 libertés de circulation fondamentale (biens, personnes, services).
A votre tour de répondre.
https://www.upr.fr/actualite/pourquoi-leuro-est-condamne
https://www.upr.fr/actualite/crepuscule-de-leuro-targets-degel-de-pensee-vincent-brousseau
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