Malgré les efforts de dédiabolisation du FN et l’aveuglement de certain, le voile tombe ;)
Dire du FN que c un parti d’extrême droite est une insulte.
Définition du mot "extrême droite" : Le terme extrême droite est employé pour
désigner les individus, groupes, mouvements, organisations, partis, etc.
les plus à droite sur l’échiquier politique.
ELLE EST OU L’INSULTE ?? C de l’enfumage médiatique, preuve en vidéo
http://www.itele.fr/chroniques/invi...
Alors
comme ça le FN n’est plus un parti d’extrême droite, ni de droite et
encore moins de gauche. Ah oui c un parti "patriote". C quoi un parti
patriote ?? N’importe quoi !!
Article du magazine Le Point dont la ligne éditorialiste est conservatrice et libérale. C pas un mag de gauche ça !
Le FN et le FPO à Vienne
http://www.lepoint.fr/politique/par...
Plus d’infos sur la ZAD NDDL : http://leblogdeodomar.eklablog.com/la-zad-de-notre-dame-des-landes-combat-et-situation-au-26-10-2013-a102808187
C nauséabond d’un coup.... à oui ...y a du libéral dans le coin :))
Sans commentaire :
http://www.youtube.com/watch?v=ANmqLrk2P84
http://www.lemondejuif.info/defense-pionnier-leader-mondial-drones-israel-sattaque-aux-drones-marins/
Les Echos (Copyrights) : "IAI joue à fond la carte de la miniaturisation, avec son modèle Bird Eye (4 kilos), exporté depuis six ans, qui tient dans un sac à dos et peut être lancé avec un lance-pierres en caoutchouc. « ?A terme, l’avionique du Heron tiendra dans un boîtier de la taille d’un téléphone portable ? », prédit Jacques Chemla. Parmi les avant-projets mobilisant les nanotechnologies ? : le drone papillon qui sera opérationnel dans un peu plus d’un an.
Pesant moins de vingt grammes, le « ?Butterfly ? » a été mis au point par Dubi Benyamini, un ingénieur d’IAI spécialisé en microrobotique, par ailleurs président de la société israélienne des lépidoptères… Autre piste de réflexion ? : le développement de satellites tactiques à usage militaire, sachant qu’il est aussi techniquement possible de produire des drones capables de sortir de la stratosphère avec des capteurs de très longue portée.
Reste que la filière des drones israéliens lorgne sur un autre débouché à fort potentiel ? : le marché des applications civiles. « ?Pour l’heure, on se heurte à des obstacles majeurs en matière de réglementation comme sur le plan technique puisqu’il n’existe pas encore de système d’évitements de type “sense and avoid”, souligne-t-on chez Elbit.
Mais il est évident que l’on se tient prêt à effectuer des transferts de technologies (du militaire vers le civil) de façon à accompagner cette révolution. ? » C’est aussi l’avis de Rafi Yoeli, l’ingénieur d’Urban Aeronautics qui envisage à terme de lancer une version civile de son engin pour desservir le secteur agricole ou intervenir lors de catastrophes naturelles. Même si sa priorité du moment reste d’introduire le premier son drone ambulance (et ravitailleur) pour accompagner les guerres du futur…"
Un bon coups de com et le FN ressort propre et respectable. Plus blanc que blanc.
C une arnaque intellectuelle.
la volonté affichée, partisane, satanique et maçonnique dans la plus pure tradition sabbataïste franquiste de l’auteur
VOUS DIVAGUEZ :))) arrêter de suite la tisane
Malgré cette tentative de propagande maladroite
Propagande
?? NON NON c la triste réalité des choses. Mais vous pouvez toujours
faire un don à Le Pen, Bayrou, Sarko, Dupont Aignan,Mélanchon bien
qu’ils n’aient aucune utilité publique.
Un rappel en images s’impose
Publiée le 31 déc. 2012
"Le Front national aux ordres du Grand Orient"
Reportage diffusé dimanche 18 septembre 2011 par Dimanche+
Le Juif Alliot, désormais maitre du Front national, fait entrer à la tête de ce parti de nombreux francs-maçons, juifs ou non.
http://www.youtube.com/watch?v=msL1HYzlYe8
C du déjà vu mais tellement parlant
l’excellentissime énarque Florian Phillipot
ou plutôt l’excellentissime faux Q Florian Phillipot
Dire du FN que c un parti d’extrême droite est une insulte.
Définition du mot "extrême droite" : Le terme extrême droite est employé pour
désigner les individus, groupes, mouvements, organisations, partis, etc.
les plus à droite sur l’échiquier politique.
ELLE EST OU L’INSULTE ?? C de l’enfumage médiatique, preuve en vidéo
http://www.itele.fr/chroniques/invite-galzi-jusqua-minuit/florian-philippot-extreme-droite-on-ne-va-pas-accepter-ces-insultes-57460
Alors comme ça le FN n’est plus un parti d’extrême droite, ni de droite et encore moins de gauche. Ah oui c un parti "patriote". C quoi un parti patriote ?? N’importe quoi !!
Article du magazine Le Point dont la ligne éditorialiste est conservatrice et libérale. C pas un mag de gauche ça !
Le FN et le FPO à Vienne
http://www.lepoint.fr/politique/parti-pris/a-vienne-marine-le-pen-s-est-piegee-toute-seule-02-02-2012-1426558_222.php
Le FN un parti noble ?? Vous êtes sûr ??
Vous avez votre liberté de penser et j’ai la mienne qu’elle vous plaise ou non. Ces carriéristes sont tous véreux peu importe l’étiquette politique. Ils ne sont là que pour protéger leurs intérêts et celle de l’oligarchie du nouvel ordre mondial.
@ le naif
Pas de malhonnêteté intellectuelle de ma part. L’invalidation des comptes de campagne de Sarkozy a été largement médiatisée et commenté. Il ne me sembla pas utile de le rappeler. Je prends cependant bonne note de votre remarque ;)
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/rejet-des-comptes-de-campagne-de-138436
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ne-soyons-pas-dupe-sarkozy-laisse-139139
Excuser mon commentaire devenu hors de propos :)
Votre question ne mettait peut-être pas adressé ?
Rien de raciste dans les propos :)
Vous faites vous-même allusion à sa couleur de peau en employant le mot "raciste". Bush est "blanc" et j’en ai autant sur son compte ;) c également un cancer sur cette planète. La couleur de peau n’a rien à voir là-dedans.
éviter ce sobriquet stupidement raciste ?
C sobriquet n’est pas stupide et encore moins raciste. Reaper signifie la faucheuse, l’allégorie de la mort. Pourquoi Obama.... ben... c bien lui qui les utiles le plus. En fait, je trouve c sobriquet d’actualité. Obama agit comme la faucheuse. Il a une liste de cible désignée et il frappe comme la mort. C un tueur en série sanguinaire, un dictateur en costar cravate.
Et il n’est malheureusement pas le seul et ça peu importe la couleur de peau
http://www.topito.com/top-dictateurs-modernes-megalos#
aucune solidarite ouvriere.
Un autre nom pour les prochains drones : REAPER OBAMA... Obama le faucheur ;)
Désolé il n’y a pas tout l’article. Le voici ci-dessous :
De même que George W. Bush restera dans l’histoire comme le " président des guerres " de l’après-11-Septembre en Afghanistan et en Irak, Barack Obama pourrait passer à la postérité comme le " président des drones ", autrement dit le chef d’une guerre secrète, menée avec des armes que les Etats-Unis sont, parmi les grandes puissances, les seuls à posséder.Rarement moment politique et innovation technologique auront si parfaitement correspondu : lorsque le président démocrate est élu en 2008 par des Américains las des conflits, il dispose d’un moyen tout neuf pour poursuivre, dans la plus grande discrétion, la lutte contre les "ennemis de l’Amérique" sans risquer la vie de citoyens de son pays : les drones.
L’utilisation militaire d’engins volants téléguidés par les Américains n’est pas nouvelle : pendant la guerre du Vietnam, des drones de reconnaissance avaient patrouillé. Mais l’armement de ces avions sans pilote à partir de 2001 en Afghanistan marque un changement d’époque. Au point que le tout premier Predator armé à avoir frappé des cibles après les attaques du 11-Septembre, immatriculé 3034, a aujourd’hui les honneurs du Musée de l’air et de l’espace, à Washington. Leur montée en puissance aura été fulgurante : alors que le Pentagone ne disposait que de 50 drones au début des années 2000, il en possède aujourd’hui près de 7 500. Dans l’US Air Force, un aéronef sur trois est sans pilote.
George W. Bush, artisan d’un large déploiement sur le terrain, utilisera modérément ces nouveaux engins létaux. Barack Obama y recourra six fois plus souvent pendant son seul premier mandat que son prédécesseur pendant les deux siens. M. Obama, qui, en recevant le prix Nobel de la paix en décembre 2009, revendiquait une Amérique au "comportement exemplaire dans la conduite de la guerre", banalisera la pratique des "assassinats ciblés", parfois fondés sur de simples présomptions et décidés par lui-même dans un secret absolu.
LES FRAPPES OPÉRÉES PAR LA CIA SONT "COVERT"
Tandis que les militaires guident les drones dans l’Afghanistan en guerre, c’est jusqu’à présent la très opaque CIA qui opère partout ailleurs (au Yémen, au Pakistan, en Somalie, en Libye). C’est au Yémen en 2002 que la campagne d’"assassinats ciblés" a débuté. Le Pakistan suit dès 2004. Barack Obama y multiplie les frappes. Certaines missions, menées à l’insu des autorités pakistanaises, soulèvent de lourdes questions de souveraineté. D’autres, les goodwill kills ("homicides de bonne volonté"), le sont avec l’accord du gouvernement local. Tandis que les frappes de drones militaires sont simplement "secrètes", celles opérées par la CIA sont "covert", ce qui signifie que les Etats-Unis n’en reconnaissent même pas l’existence.
Dans ce contexte, établir des statistiques est difficile. Selon le Bureau of Investigative Journalism, une ONG britannique, les attaques au Pakistan ont fait entre 2 548 et 3 549 victimes, dont 411 à 884 sont des civils, et 168 à 197 des enfants. En termes statistiques, la campagne de drones est un succès : les Etats-Unis revendiquent l’élimination de plus d’une cinquantaine de hauts responsables d’Al-Qaida et de talibans. D’où la nette diminution du nombre de cibles potentielles et du rythme des frappes, passées de 128 en 2010 (une tous les trois jours) à 48 en 2012 au Pakistan.
Car le secret total et son cortège de dénégations ne pouvaient durer éternellement. En mai 2012, le New York Times a révélé l’implication personnelle de M. Obama dans la confection des kill lists. Après une décennie de silence et de mensonges officiels, la réalité a dû être admise. En particulier au début de l’année, lorsque le débat public s’est focalisé sur l’autorisation, donnée par le ministre de la justice, Eric Holder, d’éliminer un citoyen américain responsable de la branche yéménite d’Al-Qaida. L’imam Anouar Al-Aulaqi avait été abattu le 30 septembre 2011 au Yémen par un drone de la CIA lancé depuis l’Arabie saoudite. Le droit de tuer un concitoyen a nourri une intense controverse. D’autant que la même opération avait causé des "dégâts collatéraux" : Samir Khan, responsable du magazine jihadiste Inspire, et Abdulrahman, 16 ans, fils d’Al-Aulaqui, tous deux américains et ne figurant ni l’un ni l’autre sur la kill list, ont trouvé la mort. Aux yeux des opposants, l’adolescent personnifie désormais l’arbitraire de la guerre des drones.
La révélation par la presse des contorsions juridiques imaginées par les conseillers du président pour justifier a posteriori l’assassinat d’un Américain n’a fait qu’alimenter les revendications de transparence. La fronde s’est concrétisée par le blocage au Sénat, plusieurs semaines durant, de la nomination à la tête de la CIA de John Brennan, auparavant grand ordonnateur à la Maison Blanche de la politique d’assassinats ciblés. Une orientation pourfendue, presque treize heures durant, le 6 mars, par le spectaculaire discours du sénateur libertarien Rand Paul.
UN IMPORTANT DISCOURS SUR LA "GUERRE JUSTE"
Très attendu, le grand exercice de clarification a eu lieu le 23 mai devant la National Defense University de Washington. Barack Obama y a prononcé un important discours sur la "guerre juste", affichant enfin une doctrine en matière d’usage des drones. Il était temps : plusieurs organisations de défense des libertés publiques avaient réclamé en justice la communication des documents justifiant les assassinats ciblés.
Une directive présidentielle, signée la veille, précise les critères de recours aux frappes à visée mortelle : une "menace continue et imminente contre la population des Etats-Unis", le fait qu’"aucun autre gouvernement ne soit en mesure d’[y] répondre ou ne la prenne en compte effectivement" et une "quasi-certitude" qu’il n’y aura pas de victimes civiles. Pour la première fois, Barack Obama a reconnu l’existence des assassinats ciblés, y compris ceux ayant visé des Américains, assurant que ces morts le "hanteraient" toute sa vie. Le président a annoncé que les militaires, plutôt que la CIA, auraient désormais la main. Il a aussi repris l’idée de créer une instance judiciaire ou administrative de contrôle des frappes. Mais il a renvoyé au Congrès la mission, incertaine, de créer cette institution. Le président, tout en reconnaissant que l’usage des drones pose de "profondes questions" - de "légalité", de "morale", de "responsabilité ", sans compter "le risque de créer de nouveaux ennemis" -, l’a justifié par son efficacité : "Ces frappes ont sauvé des vies."
Six jours après ce discours, l’assassinat par un drone de Wali ur-Rehman, le numéro deux des talibans pakistanais, en a montré les limites. Ce leader visait plutôt le Pakistan que "la population des Etats-Unis". Tout porte donc à croire que les critères limitatifs énoncés par Barack Obama ne s’appliquent pas au Pakistan, du moins aussi longtemps qu’il restera des troupes américaines dans l’Afghanistan voisin. Et que les "Signature strikes", ces frappes visant des groupes d’hommes armés non identifiés mais présumés extrémistes, seront poursuivies.
Les drones n’ont donc pas fini de mettre en lumière les contradictions de Barack Obama : président antiguerre, champion de la transparence, de la légalité et de la main tendue à l’islam, il a multiplié dans l’ombre les assassinats ciblés, provoquant la colère de musulmans.
Or les drones armés, s’ils s’avèrent terriblement efficaces pour éliminer de véritables fauteurs de terreur et, parfois, pour tuer des innocents, le sont nettement moins pour traiter les racines des violences antiaméricaines. Leur usage opaque apparaît comme un précédent encourageant pour les Etats (tels la Chine, la Russie, l’Inde, le Pakistan ou l’Iran) qui vont acquérir ces matériels dans l’avenir. En paraissant considérer les aéronefs pilotés à distance comme l’arme fatale indispensable, le "président des drones" aura enclenché l’engrenage de ce futur incertain.
@ Nora Inu
Je pense que ça va répondre à ta demande
Et voici Israël et les drones sous-marins militaires
@ Nora Inu
Voilà ce que j’ai trouvé :
Attaques de drones US au Pakistan, Yémen, Somalie, Afghanistan
Amnesty a comptabilisé entre 2 000 et 4 700 personnes, dont des centaines de civils, tuées depuis 2004 par plus de 300 tirs de drones américains dans les zones tribales du nord-ouest pakistanais. Mais à Washington, le prix Nobel de la paix 2009, Barack Obama, considèrent que son pays n’a pas de compte à rendre pour ces « dommages collatéraux ».
http://www.dailymotion.com/video/x111w1z_au-yemen-sous-le-feu-des-drones_news?search_algo=2
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