A rapprocher de ce reportage allemand (vostfr) concernant l’implication du pouvoir satano-maçonnique dans la tenue de messes noires
Mon commentaire, alors qu’il exprimait le doute et non le négationnisme, a été censuré par AV. Si on ne peut même pas douter, c’est dire qu’il y a de quoi douter.
"La gauche qui fait de la shoah une religion d’état"
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Depuis le temps ... ça date de bien avant Gayssot. Faut peut-être se réveiller les enfants, la température dans le bocal de la grenouille vient de monter à 90 C°, le père dieudo se fait étrangler devant nos yeux en direct, la moindre des choses serait de lui acheter son DVD, voire participer activement à sa croisade par la diffusion massive et anonyme de documents sensibles sur le net. Dans la triste et probable éventualité d’une absence de réaction de plusieurs millions de personnes, il aura au moins eu le mérite de montrer que le véritable ennemi est le peuple plus que le politique.
"il est l’arrière-petit-neveu d’Alfred Dreyfus"
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Ce qui démontre encore, s’il en était besoin, que le sionisme bloque tous les postes clés. Ou à quel point cet acharnement donne raison à Dieudo.
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"Camarades, on vient de basculer officiellement dans un autre
monde, nous vivions je crois les derniers instants d’internet comme nous le connaissons
aujourd’hui"
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C’est certain car après les spectacles, c’est la toile qu’ils attaqueront et qu’ils finiront par contrôler, à l’instar de la Chine, comme le souhaitait le fil de fer à l’écharpe rouge. Stockons dès maintenant toute l’information sensible sur disques durs externes, livres, reportages, spectacles, films. En temps voulu, il faudra fédérer ce qui sera alors de l’underground.
Le seul qui a conclu efficacement sur le sujet est Stanley Kubrick dans "Eyes wide shut", qui est la révélation finale et terrifiante des premiers développements initiés dans 2001 et shining. Bon courage à ceux qui vont tenter le décryptage de son dernier film, très probablement expurgé, mais contenant suffisamment d’éléments résiduels significatifs, et nécessitant parfois l’utilisation du mode image par image. Kubrick nous a d’ailleurs mystérieusement quitté quelques jours après avoir présenté son "final cut", à l’image d’un des personnages essentiels de son film, et à l’image de ceux qui en ont un peu trop dit sur le sujet "Aliens"
Autant ce mec là est un très brillant théologien, autant il commet la même erreur que la plupart des théologiens (autant que de la plupart des profanes), à savoir une lecture HISTORIQUE des textes dits sacrés. Or si les textes sont sacrés, ils sont par essence a-temporels. Comme quoi même les érudits de ce milieu pêchent par exaction d’exégèse.
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Et voici que celui-ci nous parle du retour du djahal
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Et voici que d’autres nous chantent des versets de St Luc ou St Jean, des passages de l’apocalypse avec ses têtes de dragon et son 666 qu’ils excellent à reconnaître dans l’époque.
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Ceux qui attendent le retour du Messie ou l’antéchrist risquent d’attendre longtemps, au mieux ce sont des figures allégoriques, au pire des figures de théologiens destinées à assurer les assises de la caste qui les a inventé.
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Certes l’époque part en sucette, mais l’histoire n’a toujours été qu’une succession de barbaries. Aucun sauveur ne viendra à notre aide, le salut viendra de nous-mêmes ou il ne viendra pas.
Assez bonne argumentation, je regrette juste que ça soit fait sur le ton de l’humour, car personnellement, vu l’état de la civilisation actuelle qui en a découlé, je trouve vraiment pas ça drôle du tout. A moins qu’il essaye de se la faire à la Dieudo, mais ça colle pas avec l’argumentation professorale.
Reste quand même un problème de base qu’il n’explique pas : pourquoi les jésuites, qui dirigeaient le monde au XVIII° & XIX° siècle, au titre de l’influence secrète qu’ils exerçaient sur les puissants de ce monde après les aveux obtenus en confessionnat, ont-ils été écartés temporairement durant toute la période révolutionnaire et post-révolutionnaire ? Il y a là un mystère profond qui pourrait ouvrir beaucoup de portes ...
Non Mr Robin, il faut le répéter, il n’y a pas de décadence, il y a une conspiration organisée et parfaitement suivie, dont les peuples sont les acteurs consentants et volontaires, d’abrutissement et d’abatardisation générale, qui commence dès le plus jeune âge par la culture et l’éducation nationale, avec les parents comme complices zélés. Est-il nécessaire, par exemple, de vous rappeler à qui appartient Walt Disney ?
Riez pas trop quand même, cette atmosphère a l’odeur de la fin tragique de Coluche, faudrait sérieusement penser à monter une initiative citoyenne pour financer un service de proetction de Dieudo, ça serait vraiment pas un luxe au regard de la tournure que ça prend.
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Les censeurs du CRIF doivent vraiment avoir la pétoche pour avoir une telle réactivité
"un salut nazi " retenu""
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MDR un salut vers le sol
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Faudrait alors commencer par lutter contre toute la gestuelle sportive qui consiste à lever le poing vers le ciel, bras tendu, du footballeur qui marque un but jusqu’à l’athlète sur le podium, signe qui lui est réellement la marque de la suprématie individuelle. Ce qui consisterait à éradiquer l’essence de l’esprit sportif. Le CRIF ne mesure même pas jusqu’où peuvent mener tous ses délires
"ils s’accommodent très bien de l’explosion de population et de la sempiternelle profusion de consommateurs en puissance"
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Ils s’accomodAIENT, je dirais plutôt, tant que ça consommait. Mais n’ayant plus les moyens de consommer, le troupeau ne sert plus à rien et devient un boulet.
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Non, le salut n’est pas philosophique, comme le pensait Platon, le salut est individuel et mystique. Nous ne somme que la moitié de nous-mêmes, et avons encore l’autre moitié à conquérir. Et la civilisation actuelle, contrairement aux apparences, constitue un des meilleurs champs d’expérimentation de tous les temps. Mais je ne m’étendrai pas là-dessus. Ceux qui savent comprennent de quoi je parle.
"On devrait peut être cessé de pleurnicher en considérant le peuple comme
une éternelle victime de méchantes oligarchies, de complots sionistes,
ou d’illuminatis reptiliens cannibales et se focaliser sur notre
responsabilité collective"
Bien d’accord avec ça. Seul hic, les rares qui cherchent à s’exempter de cette normalisation sont entraînés à leur corps défendant dans l’immense spirale destructrice générée par l’économie de marché et de confort, quand ils ne sont pas purement et simplement rejetés dans la catégorie du "marginal" si leur refus est trop visible.
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Ces rares là pourraient très bien faire valoir la double servitude dont parle Caraco : "Entre l’humanisme et nous, la mort de plusieurs
milliards est la condition requise. Le chaos où nous descendons est toujours
méthodique et l’ordre, à quoi nous nous haussons, abonde en paradoxes
insolubles, nous fuyons le chaos dans l’ordre et nous l’y retrouvons, mais
quand nous fuyons l’ordre en nous précipitant dans le chaos, cet ordre ne nous
lâche pas, enfin nous cumulons la double servitude".
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Question : Le zombie est-il plus responsable que le conspirateur qui l’a créé ? Car s’il y a une chose qu’on ne peut reprocher au conspirateur, c’est son immense intelligence, et en particulier sa connaissance de la psychologie humaine et de ses délires. J’aurais tendance à dire que la masse induit la conspiration. Après tout, peut-on reprocher au berger qui s’engouffre dans la vacance d’objectif du troupeau (troupeau strictement motivé par l’exposition de son confort à court terme), de mener celui-ci à sa perte dès l’instant où sa nocivité est démontrée ? Le zombie ayant démontré qu’il se branle complètement de flinguer la planète tant que son confort est préservé.
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Seule question intéressante et en suspens ; Comment ceux qui ont conscience du phénomène vont-ils pouvoir éviter d’être entraînés par le tourbillon ? Est-ce seulement possible ? Ceux qui ont lu Jünger auront la réponse : l’Anarque.
Que l’économie réelle soit maintenant disjointe des marchés financiers, on le savait déjà. Les bourses sont maintenues par les achats institutionnels, et ne représentent plus du tout une photographie de la santé économique d’un pays, ce qu’elles étaient censées faire à leurs créations. Il n’y a jamais eu de crise, il y a un processus parfaitement réglé et très bien suivi d’appauvrissement de toutes les classes, sauf bien sûr les instigateurs : 750.000 milliards de $ (bientôt un million de milliards, un monstre à côté des dettes publiques) de produits dérivés, destinés à des effets de levier jamais vus, l’économie réelle n’est plus qu’un goutte d’eau dans ce tsunami.
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Aussi calés soient ces intervenants, ils n’ont qu’une vue partielle des choses (celle de leur profession). Ils ne savent pas que la situation actuelle a été construite depuis un peu plus de 2 siècles. Il y a une continuité historique de conspiration facilement traçable, l’objectif étant un système totalitaire mondial, qui est sur le point d’aboutir. Il n’y aura pas cet effondrement attendu par ces intervenants, il y aura une dette perpétuelle qui créera les conditions propices à un esclavage élitiste, qui aura cette différence fondamentale par rapport à l’esclavage antique que seuls les meilleurs auront le droit de ramper, au travers d’un turn-over à grande vitesse.
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Le reste, cad la majeure partie de la population, sera lentement et massivement exterminée, dans un processus qui a déjà commencé (bouffe, médocs, chemtrails ...)
Emmanuel Ratier, le dernier véritable journaliste français, un puit de science politique, une mine d’archives, qui doit naviguer sur le fil du rasoir pour rester en place. Je conseil à chacun de s’abonner à "faits & documents", sa lettre bimensuelle, qui reste l’unique presse authentique en France.
C’est toujours le même problème. Quel est le meilleur compromis entre l’horizontalité et la verticalité de la connaissance ? Personnellement, je n’ai jamais trouvé de réponse satisfaisante, je me raccroche donc au dernier espoir, l’empirisme.
Censure ? Tant mieux. Une pub gratos et les textes censurés en pdf vont fleurir sur le net comme des bourgeons au printemps. ça me rappelle les 3 interdits de Céline, N° 1 en DL sur un torrent que je ne citerais pas. Merci les juges pour la promo
"En passant à l’échelle dont vous parlez (150 000 titres !), on n’est
plus sur la même planète ni, peut-être, dans les mêmes attentes. En
effet, s’il s’agit du quantitatif, de posséder pour posséder, le
numérique est tout apprêté à l’affaire. Néanmoins, j’achète des livres
parce que je vais les lire. Je ne suis pas dans une logique de la
consommation"
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Nous n’avons apparemment pas les mêmes fluctuations de passions. J’ai changé de nombreuses fois de centres d’intérêts. Passé de l’ésotérisme à l’histoire, puis au fantastique ... Sur un coup de tête je peux me lancer sur un sujet du jour au lendemain, ça me prend comme une envie de pisser. Et je suis incapable de savoir sur quoi je vais basculer demain.
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Donc oui, j’engrange du quantitatif aveuglément, j’ai trop galéré il y a 20 ans à courir les bouquinistes, à dépenser des fortunes en kilomètres et en bouquins, souvent pour me contenter d’un palliatif, pour ne pas mesurer quelle chance j’ai aujourd’hui de pouvoir disposer de presque tout ce dont j’aurai peut-être besoin à portée de main. Demain est un autre jour, peut-être qu’il sera impossible bientôt de procéder ainsi, de stocker démesurément, et même si je sais que je ne pourrai jamais lire plus d’1% de ce que j’ai, je sais aussi que tout ce dont je peux avoir besoin s’y trouve.
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Toute la connaissance du monde dans le creux de la main, c’est tellement magique ...
Pour la pérennité, je ferais plus confiance au numérique qu’au papier. J’ai eu une bib perso de presque 10.000 bouquins, je me suis débarrassé d’une grosse partie au profit du numérique, et dans ce domaine, j’en suis à plus de 150.000 livres qu tiennent sur quelques cm2, qui m’ont couté peanuts.
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Avez-vous eu en main des éditions du XVII° & XVIII° ? Moi oui. ça c’était du papier. J’en ai même lavé à l’eau légèrement javellisée pour les nettoyer de maltraitances anciennes. Aujourd’hui on a un papier de merde, des brochages qui se barrent, je serais étonné que la plupart des bouquins passent quelques décennies. Et je ne parle pas des jeux olympiques que sont les déménagements.
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Les formats numériques ne sont pas un pb, dès l’instant où on a fait sauter les DRM. Certes des petits malins essaient de commercialiser des formats propriétaires ou verrouillés, mais ça ne tient pas longtemps. On peut toujours faire de la conversion automatique, par exemple avec "format factory", et même si les supports évoluent, les transpositions sont aisées.
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Ce qui ne m’empêche pas d’apprécier le livre papier. Mais il faut bien le reconnaître, les lecteurs d’Ebooks ont fait de grands progrès, et on ne se flingue plus les yeux en y restant quelques heures. Et comme c’est agréable de disposer presque tous les titres qu’on peut désirer à portée de main.
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