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Les commentaires de un primate



  • 9 votes
    un primate un primate 19 novembre 2014 12:42

    @Frida, quand bien même auriez-vous raison (ce qui reste à démontrer) Farida Belghoul apporte une belle énergie à la dissidence. Qu’importe qu’elle soit opportuniste ou que ce qu’elle dit ne soit pas nouveau ! Ce qui compte c’est sa capacité de nuire, au PS, à l’Education Nationale, à l’état, au consensus mou qui nous enchaîne.


    Même chose pour Soral. Qu’importe qu’il montre sa bite à des nanas sur le net ! Ce qui compte c’est sa lutte.

    Je veux bien qu’on critique ces gens. Ils sont critiquables. Mais comment pouvons-nous le faire sincèrement ? Nous qui ne faisons rien.

    Farida Belghoul a plus fait pour emmerder le système en une année que vous ne le ferez dans toute votre vie, Frida. Excusez-moi de vous le dire.


  • 13 votes
    un primate un primate 19 novembre 2014 12:14

    V’la l’Jean,


    tu es toujours aussi méprisant.

    Farida ne s’occupe pas des intellectuels. Elle mène une action populaire. Qu’Onfray se démerde tout seul sur les plateaux télé !

    Si tu avais une once de sens de la subversion (la vraie, pas celle des années 70), tu apprécierais à sa juste valeur ce qu’elle a fait, la façon dont elle a fait chier le ministère de l’éducation et les lobby LGBT.

    Il suffirait de dix Farida Belghoul pour renverser le système.

    Tu fais quoi, toi, en attendant, à part ricaner ? On te croirait en mission commandée pour cracher sur la "dissidonce". C’est bien payé ou tu fais ça pour sauver l’Univers ?


  • 1 vote
    un primate un primate 18 novembre 2014 23:44

    @ la Raie,


    il t’a suffi de voir la bite à Soral pour perdre aussitôt tout espoir en la dissidence ?

    Oui, on le sent que tu n’y a jamais vraiment cru !


  • 5 votes
    un primate un primate 18 novembre 2014 17:59

    Je crains que ce ne soit toi qui ne comprends pas ce que j’écris.


    La question de la dette telle qu’en parle Mélenchon n’est plus à l’ordre du jour. Il n’est pas important de savoir si on va la payer ou pas (puisqu’on la paie, de toute façon). Mais de savoir d’où elle provient. Qui en est le bénéficiaire.

    Mélenchon, s’il en parle, en parle vaguement, avec un vocabulaire gauchiste (lutte contre le capital, patati patata) qui enfume l’auditoire, qui ne nomme pas les responsables.

    Bon, j’admets que je ne connais pas les oeuvres complètes de Mélenchon. Peut-être que je me trompe.

    Je te trouve bien présomptueux de me prêter des sympathies marinistes. Qu’en sais-tu ? Serais-tu un mélenchoniste en mission ?


  • 1 vote
    un primate un primate 18 novembre 2014 16:47

    "La dette ne sera jamais payée parce qu’elle est impayable."


    Impayable, le Mélenchon !

    La dette est pourtant bel et bien payée par l’état. Ou plutôt les intérêts de la dette, ce qui est encore pire.

    La question n’est pas : La dette peut-elle être payée dans sa totalité ? Car il est évident que ce serait la fin immédiate de cette société.

    Mais : D’où vient cette dette ? A qui l’état doit-il tant d’argent ? Et donc doit-on payer les intérêts de la dette ? 


  • 3 votes
    un primate un primate 18 novembre 2014 13:44

    Dans sa vidéo d’explication (avec Dieudonné) Soral nous fait comprendre qu’il crée ce parti pour sauver ses miches. Pour se protéger des attaques dont il est la cible. Le parti serait un rempart légal.


    Ici, il nous dit que la politique n’est que compromissions et mensonges. Dans une autre, qu’il ne dévoilerait pas publiquement sa stratégie politique (s’il en avait une).

    On ne peut donc que se perdre en conjectures. Les contradictions de Soral ne sont qu’une réaction aux événements. Elles font parti du jeu politique.

    Ce qui est intéressant c’est d’assister à la naissance d’un parti. Peut-être le premier parti de l’histoire créé et basé sur Internet. 


  • 1 vote
    un primate un primate 18 novembre 2014 13:22

    Oui, très intéressante vidéo. Mélenchon y expose l’énorme tartuferie du discours politique. L’impossibilité ontologique de dire la vérité.


    Il est d’autant plus convaincant qu’on ne le croit pas non plus. Pas plus que les autres.

    Mélenchon - philosophe de formation - est un beau parleur. Il séduit mais ne convainc pas. Comment le pourrait-il quand on connaît son parcours ? Il est de toutes les fausses batailles de la pseudo-gauche depuis Mitterrand, son mentor.

    On sait bien que derrière son populisme (il assume le terme) il n’y a que du vent.

    Il se plaint des médias mais il n’est lui-même qu’une créature médiatique. Rien d’autre.

    Il semble dire la vérité mais il ne fait que l’effleurer. Exemple : la dette. Elle est impayable, dit-il. Certes mais alors, pourquoi en payons-nous tout de même les intérêts ?

     


  • 3 votes
    un primate un primate 17 novembre 2014 15:23

    Les ... naz’hiza ?



  • 23 votes
    un primate un primate 17 novembre 2014 13:49

    Mélenchon, on ne sait pas ce qui, dans son discours, est sincère ou démagogique. 


    Trop de casseroles à son derrière pour qu’on le prenne vraiment au sérieux.

    Au fond, les merdias ont raison de le traiter comme ce qu’il est : un mangeur de soupes qui fait semblant de cracher dedans.


  • 16 votes
    un primate un primate 16 novembre 2014 21:11

    Haziza-BHL !

    Superbe duo peu comique !

    Quand BotHuL méprise quelqu’un (au micro) il dit : ces mecs-là.

    Faut vous dire, Monsieur, qu’avec ces mecs-là
    On ne cause pas, Monsieur, non, on cogne au porte-feuille !


  • 3 votes
    un primate un primate 16 novembre 2014 17:54

    L’athéisme, une religion de l’argent ? Tu y vas fort, la Mouche ! Il faudrait définir l’athéisme, ce qui est très compliqué. Existe-il seulement ? N’est-il pas un avatar de la religion ?


    Selon moi, l’athée est un objecteur de conscience. Il ne veut pas faire la guerre (de religion) car toutes les religions finissent par se foutre sur la gueule les unes les autres. En renonçant à sa propre religion, il est en paix avec celles des autres.

    Finkelstein nous dit que les guerres du XXe siècle sont presque toutes provoquées par des athées. Il a raison (même si on peut chipoter). Mais toutes (ou presque) celles du passé (d’un très-très long passé) l’ont été par des religieux. Et peut-être celles du futur seront-elles menées au nom de la religion ?

    Alors, l’athéisme n’évite pas la guerre, certes. Mais il la fait au nom de valeurs concrètes (économiques) et idéologiques (politiques) - plus au nom d’un Dieu fédérateur abstrait. Est-ce mieux ? Il me semble que oui puisque les raisons de faire la guerre aujourd’hui sont discutables et discutées. 

    Alors que Dieu est indiscutable.

    Dans une blablacratie, c’est ce qui est discutable qui fait loi. Et je préfère ça à la pseudo-transcendance divine qui est, à mes yeux, un reliquat et une arnaque.



  • 5 votes
    un primate un primate 16 novembre 2014 11:35

    Oui, bon, OK....


    mais qui a envie de retourner dans le giron de l’église ou de se convertir à l’islam ?

    Les solidarités anciennes et les liens sociaux sont détruits. Mais est-ce autour d’un dieu abstrait, imaginaire et autoritaire que ces liens renaîtront ?

    Perso, je respecte les musulmans mais je n’ai absolument aucune envie de me convertir. Je n’y crois pas.

    Y’a pas moyen d’inventer une société athée valable ? 


  • 8 votes
    un primate un primate 5 novembre 2014 19:06

    Chouard se prend pour Marat. Robin pour Jean Moulin.


    Sommes-nous à la veille de 1789 ou de 1940 ?

    Perso, je prends infiniment plus au sérieux Chouard que Robin.


  • 20 votes
    un primate un primate 5 novembre 2014 17:46

    Toujours instructif, le Chouard !











  • 6 votes
    un primate un primate 5 novembre 2014 13:52

    Il aurait fait un excellent pasteur, l’ami Edwy.


    Avec son ton doucereux, cette façon de nous faire la leçon sans en avoir l’air, de nous parler comme à des enfants ou à des moutons.




  • 5 votes
    un primate un primate 4 novembre 2014 17:28

    Le QI n’est qu’un paramètre obsolète, bien sûr. Ce n’est pas lui qui détermine les hiérarchies cognitives. 


    Ce que ce gars nous dit c’est que l’on va très bientôt être dépassé par les machines cognitives. Ce sont elles qui seront les lièvres dans la course en avant. Et c’est pour suivre leur cadence inhumaine que l’humanité devra changer. Nécessité fait loi. 

    Ceux qui disparaîtront (ils disparaissent déjà) seront ceux qui ne prendront pas place en tant que rouage dans cette gigantesque machine sociale du futur.

    Au fond, il ne nous dit rien que nous ne sachions déjà.

    Dans la forme, il fait une conférence à l’américaine. Seul, sans papier, sans estrade, dans un discours/sketch qui ressemble à un prêche religieux. On aime ou pas mais c’est efficace.


  • 2 votes
    un primate un primate 4 novembre 2014 16:51

    N’empêche que le monde qu’il décrit semble plausible.


    Il en anticipe l’aspect cauchemardesque. Mais en souligne l’inévitable avènement. Et révèle notre responsabilité car c’est nous, par notre passion pour la compétition, qui allons le façonner.




  • 10 votes
    un primate un primate 4 novembre 2014 12:45

    Ce type s’accroche à la doxa gauchiste comme une moule à son rocher. Il n’en bougera pas.


    Ce qui le chagrine c’est le rapprochement entre l’extrême droite et l’extrême gauche. Il feint de croire à cette vieille idée reçue qui veut qu’un tel rapprochement entraîne inévitablement une fascisation de la société.

    Quant à Oumma-Tv, elle invite ce diplodocus par réaction au bouquin de Zemmour trop islamophobe pour être honnête.


  • 3 votes
    un primate un primate 4 novembre 2014 12:09

    A force de nous marteler que le marxisme sévit, telle une pieuvre, un peu partout dans notre société, Robin va peut-être finir par nous en convaincre.


    Après tout, c’est possible et même probable. L’Université en a été profondément imprégnée pendant des décennies.

    Par contre, ce qu’il ne réussira pas à nous faire avaler c’est le bienfait du libéralisme. 

    Est-ce parce que nous sommes pétris de marxisme, comme il ne manquera pas de le dire ? 

    En fait, je pense que ce que nous cherchons c’est à échapper au marxisme ET au libéralisme. Mais visiblement, Robin ne croit pas à cette troisième voie.


  • 1 vote
    un primate un primate 4 novembre 2014 11:26

    Je vous remercie, Wendigo, de m’épargner la peine de regarder 26 minutes de Moualek.


    La peine dans tous les sens du terme.