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Les commentaires de un primate



  • 16 votes
    un primate un primate 3 novembre 2014 20:12

    Je trouve cette intervention intéressante et courageuse. 


    Intéressante car elle nous montre une nouvelle génération de jeunes désespérée, prête à tout, même à l’insurrection. Une insurrection que tout le monde réclame mais que personne n’a les c... d’accomplir. Peut-être que cette nouvelle génération le fera. Ou la suivante.

    Courageuse car il est rare de voir quelqu’un rompre les lois de la bienséance à la télé et dire ce qu’il a sur le coeur.


  • 3 votes
    un primate un primate 31 octobre 2014 15:57

    Au delà de son anti-communisme primaire (le marxisme c’est débile selon lui, zou ! la question est réglée !) Jean Robin a raison de dénoncer les dessous de l’Humanité, du PC, de la gauche en général.

    C’est bien que quelqu’un fasse ce boulot.
    Combattre le capitalisme c’est aussi combattre cette gauche.
    Robin serait-il anticapitaliste malgré lui ? 


  • 3 votes
    un primate un primate 31 octobre 2014 14:51

    On est en pleine science-fiction.


    Et - bon couillon - je ne m’en étais pas encore rendu compte.

    Je pensais que la SF n’était que de la littérature, de l’art.

    Eh ben non ! C’est la réalité. 


  • 1 vote
    un primate un primate 30 octobre 2014 13:17

    Oui. Pourquoi pas ! Mais je trouve que vous versez dans le misérabilisme.


    Car la plupart des gars que l’on voit dans cette vidéo ne semblent pas si miséreux que ça ou si affamés. Comme vous le soulignez, ils draguent avec une certaine désinvolture, sans violence. Ils ont l’air bien nourris et assez bien éduqués.

    Leur drague n’est pas désespérée. Ces gars doivent baiser bien plus souvent que vous le pensez !

    La vidéo veut les faire passer pour de dangereux prédateurs mais ne convainc pas.


  • 3 votes
    un primate un primate 30 octobre 2014 11:41

    La drague de rue c’est donc quelque chose de pas bien. Soit.


    On fait quoi pour draguer ?

    On paie ! Boîte de nuit. Sites de rencontre. Etc...

    Tout ce qui est gratuit est mauvais. Tout ce qui n’est pas rentable est à proscrire. Tout ce qui ne rapporte pas un pourcentage aux banques est interdit.

    Je remarque que la jeune fille (au demeurant fort jolie) ne se fait aborder que par des noirs. Les noirs ont-ils conservé un reste de virilité ? Ou sont-ils trop pauvres pour être "rentables" ?


  • 4 votes
    un primate un primate 29 octobre 2014 15:45

    On a voté pour lui (j’ai voté pour lui au second tour) pour nous débarrasser de Sarkosy. Ne confondons pas tout. Sarko m’a toujours semblé un vrai danger public et politique. Le type même du politicien retors et corrompu.

    Hollande, on ne l’a pas vu venir parce qu’au fond, on ne s’intéressait pas à lui. 
    Mais rétrospectivement, je ne regrette pas. Le règne de Hollande finit de me convaincre que la gauche, c’est du vent. C’est très salutaire.
    La prochaine fois, je ne voterai pas. 


  • 10 votes
    un primate un primate 29 octobre 2014 15:38

    Supposons que Moualek ait raison. Qu’effectivement, Soral ait roulé dans la farine les musulmans de France. Y a-t-il de quoi en rire comme une hyène ? De quoi s’en réjouir ?


    Ce rire forcé est, selon moi, la démonstration de la niaiserie et de l’égocentrisme de ce triste personnage.


  • 2 votes
    un primate un primate 23 octobre 2014 21:10

    Une vidéo intéressante. C’est la première fois que je vois un document qui critique ce qu’on appelle la dissidence de façon argumentée. 


    Même s’il n’évite pas quelques charges caricaturales.

    Le discours de Douguine est le clou de la démonstration. Nous serions donc voués à choisir un impérialisme auquel nous soumettre. Nous en sommes arrivés là. Si bas.

    En ce cas, pourquoi choisir ? Nous sommes actuellement soumis à l’impérialisme américain, pourquoi se battre contre lui si c’est pour se jeter dans les bras d’un autre impérialisme ? L’impérialisme à la sauce russe serait préférable ? Est-ce que ça vaut le coup de lutter pour se soumettre à un nouveau maître ? Est-ce qu’on ne lutte pas d’abord pour soi ?

    Pour l’UPR (de même que pour la dissidence) soi serait la France. Soit. Pourquoi pas ? Mais je n’y crois pas, le nationalisme est une impasse.

    Nous ne sommes plus (nous autres européens comme disait Nietzsche) des patriotes. Le mythe de la patrie sent la caserne. Depuis la Grande Guerre, c’est fini.

    Nous n’avons pas d’autre choix que l’Europe. Il nous faudrait nous emparer des leviers de commande de Bruxelles, nous imposer face aux américains. Et tenir tête à la Russie.

    L’Union Européenne est une machine bureaucratique de guerre. En en prenant le contrôle (ne me demandez pas comment) nous retrouverions cette liberté politique à laquelle nous aspirons.


  • 6 votes
    un primate un primate 13 octobre 2014 17:41

    Flaianno a été un des grands scénaristes de la meilleure époque du cinéma italien. Pour moi, sa parole a beaucoup plus d’autorité que celle de Churchill !


    Au fond, qu’importe qui a bel et bien prononcé telle phrase ! L’essentiel est dans ce que dit la phrase. 

    En l’occurrence que ceux qui voient des fascistes partout sont aussi dangereux que les authentiques fascistes. 

    Selon Chouard, le fascisme actuel n’est pas le fascisme des années 30. Le seul point commun entre le fascisme des années 30 et celui d’aujourd’hui c’est qu’on les retrouve au pouvoir. Le pouvoir des banques, des riches. C’est en haut qu’il faut regarder pour trouver le fascisme. 

    Le fascisme actuel n’est pas militariste, nationaliste, autoritariste, incarné ni même raciste comme il a pu l’être il y a quatre-vingts ans. Au contraire, il est feutré, bien-pensant, anonyme, virtuel, insaisissable, festif. Beaucoup plus difficile à cerner et à combattre. D’autant que les moyens de propagande actuels sont sans commune mesure avec ceux de l’époque.

    La guéguerre antifa / skin n’est qu’un moyen de cette propagande. De même que les oppositions entre droite et gauche. L’ennemi est ailleurs, bien planqué et doit bien rire.




  • 8 votes
    un primate un primate 13 octobre 2014 14:16

    Toujours plein de bon sens, le Chouard !


    Ses amis de gauche le trouvent "gentil". 

    Eux, ce sont des vrais de vrais, le couteau entre les dents, prêts à étriper les fachos. Les gardiens de la démocratie ! 

    Chouard ne croit pas en cette démocratie. Il en veut une autre, une vraie. Il ne la défend pas, au contraire. Il sait qu’il faut l’abattre. Il ne croit pas aux fachos. Il cherche à s’allier à tous les opposants. D’où qu’ils viennent.

    Ses amis de gauche sont, en fait, les vrais naïfs.


  • 9 votes
    un primate un primate 9 octobre 2014 22:31

    Terrible ! comme quoi, il ne faut pas trop en vouloir aux journalistes pour leurs mensonges et leur propagande. Ils sont soumis à des pressions dont nous n’avons pas idée.



  • 9 votes
    un primate un primate 3 octobre 2014 11:23

    Rouge-brun.


    Apparemment, c’est le danger le plus grave pour l’extrême gauche.

    Les banques, l’Europe, l’Otan, la surpopulation, la misère, la guerre, tout ça, on verra après ! D’abord, régler son compte à Soral !


  • 1 vote
    un primate un primate 3 octobre 2014 11:11

    Intéressant.


    J’aime bien le passage sur Berlusconi qu’on tente un peu de réhabiliter sous prétexte qu’il s’est fait lourder par l’oligarchie bancaire.

    Fini nous rappelle que non, cet individu n’a aucun intérêt politique. Son seul talent ayant été d’incarner, au plus haut, les vices italiens les plus bas.

    On parle souvent (dans les merdias, certes) du populisme de Grillo alors que l’authentique populisme était représenté par Berlusconi.

    Très intéressante vidéo également sur l’Afghanistan et le Mollah Omar. Une figure célèbre dans l’hexagone grâce à la parodie des Guignols. Fini nous apprend que c’est un personnage qui mériterait une toute autre considération.


  • 2 votes
    un primate un primate 1er octobre 2014 10:27

    Onfray est un athée conséquent et "jusqu’au boutiste". C’est sans doute ce qui gêne réellement l’auteur de la vidéo qui semble très attaché à la religion.



  • 6 votes
    un primate un primate 8 septembre 2014 21:40

    Attali chez Taddei, BHL chez Ruquier...


    On les sent quand même en difficulté nos champions de la démagogie ! Peut-être un peu fatigués de débiter tant de mensonges avec un tel aplomb depuis de si longues années.

    On sent également que l’opinion ne leur est plus tant favorable. Le vent tourne.
    La situation est peut-être bien en train de leur échapper ?

    Chouard doit rester lui-même. A quoi servirait qu’il se métamorphose en populiste télégénique agressif ? Contrairement à beaucoup d’entre vous, je lui demanderais de ne pas changer. J’apprécie l’homme et son travail justement parce que je n’aime pas les baratineurs.

    La télé, on s’en fout. Nous ne sommes plus au vingtième siècle !


  • 6 votes
    un primate un primate 7 septembre 2014 00:16

    La vérité a une valeur d’exception à la télévision. Elle y est si rare ! Quand y on entend un discours vrai, on tend l’oreille. J’aime beaucoup l’anecdote de Mr Kout, plus haut.

    Chouard n’a pas besoin de faire ceci ou de dire cela quand il passe à la télé, il n’a pas besoin de tactique. Il a la vérité pour lui. La sainte vérité. Et la vérité seule suffit à fédérer. Suffit à convaincre.

    Elle est comme un électro-choc. Pour certains (les manipulateurs comme Attali) elle est scandaleuse et il faut immédiatement la combattre. Pour d’autres (le public) elle est une libération intellectuelle, morale et sociale.

    La vérité est subversive. Elle n’a pas besoin de déguisements ou de publicitaires. Elle n’a pas besoin de se vendre. Ou de convaincre. Il suffit de la dire.

    On critique beaucoup Taddei, je l’ai fait également. Mais je lui reconnais le mérite de laisser une place (petite) dans ses émissions à l’expression de la vérité.


  • 10 votes
    un primate un primate 5 septembre 2014 13:29

    BHL a peur de Soral et le dénonce publiquement.


    C’est bon signe. Il sait que Soral est le maître à penser non pas de Poutine mais des internautes français. Ce qui est bien plus dangereux pour BHL.


  • 3 votes
    un primate un primate 4 septembre 2014 15:32

    A quoi sert ce film ?


    Même les gauchistes savent que la gauche, c’est de la merde. Ils ont même été les premiers à le comprendre, vers 1983. Bien avant les gens (ou le peuple), qui, eux, ne l’ont compris que trente ans après. Il a fallu deux septennats mitterrandiens et l’élection de Hollande pour qu’ils ouvrent les yeux devant la mascarade.

    Je note que Robin classe Soral à gauche. Il a à la fois tort et raison. Soral pioche un peu partout ce qu’il considère comme juste. Et c’est évidemment ce que l’on doit faire. Sortir des clichés (l’idéologie n’est qu’une suite d’idées reçues) et repenser le monde, humblement.


  • 13 votes
    un primate un primate 2 septembre 2014 13:19

    Intéressant.


    Toutes les pistes que révèle l’auteur sont justes. Même celles de la dépression. Ou d’un individualisme mal compris. Ou de la chronophobie.

    Mais la vérité est, selon moi, à chercher dans l’organisation sociale absurde de nos sociétés modernes.

    Quand l’individu se sent utile à la collectivité, il accomplit sa tâche, aussi difficile soit-elle. Mais quand le sens de son travail lui échappe, qu’il sent bien qu’il ne travaille pas pour le bien commun mais pour le bénéfice de quelques-uns, il n’a plus envie de le faire.

    L’homme moderne se sait esclave. Il est prisonnier d’une chaîne. D’où son apathie et, finalement, sa démission. La procrastination est une sorte de renoncement. 




  • 2 votes
    un primate un primate 1er septembre 2014 15:03

    Ce qu’il y avait de jouissif (pour le téléspectateur) dans Colombo, c’était de voir un homme du peuple s’introduire dans la haute société et y démêler le vrai du faux. Derrière les belles apparences, se cachent des crimes, beaucoup d’hypocrisie.


    Même si, comme le souligne l’auteur de la video, on ne connaissait pas les suites judiciaires des enquêtes, on avait quand même un aperçu, pas vraiment ragoûtant, de la vie intime de ceux qui habitent les quartiers huppés.

    Le message était peut-être : "Vous êtes pauvres mais honnêtes. Les riches ne sont pas honnêtes".