@Mao-Tsé-Toung
https://www.leparisien.fr/resizer/3YdxHURaCnMxDHnLxIoT6k5_l0E=/932x582/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/leparisien/DR4WW3SSPVEQTOYVP6BQE7DX4Y.jpg
Dérisoire, en effet...
A bientôt. Amitié.
@Éric Guéguen
Strauss, Arendt, MacIntyre, Dumont, Mauss, Polanyi, Lasch, voilà à mes yeux des gens qui ont compris le problème de l’époque, qui s’en sont saisis et sont, de ce fait, actuels...
Beau programme de lecture...
MERCI !!!
A bientôt.
Amitié.
@agent ananas
https://fr.wikipedia.org/wiki/Directive_Hannibal
La Directive Hannibal (en hébreu : נוהל חניבעל, Nohal Hannibal) ou procédure Hannibal est une directive secrète de l’Armée de défense d’Israël dont l’objectif est d’empêcher la capture de soldats israéliens par des forces ennemies au cours des combats. Israël a — à quelques notables exceptions près — adhéré au principe consistant à ne pas négocier avec ceux qu’elle considère comme « terroristes » et, en particulier, lors de prises d’otages. Cette doctrine a connu des succès remarquables, lors de l’opération Entebbe par exemple, mais également des échecs retentissants avec de nombreuses pertes humaines, lors du massacre de Ma’alot. Dans des situations où des soldats israéliens avaient été capturés et qu’aucune solution militaire n’était envisageable, Israël a été contraint de négocier avec ses ennemis sur un échange de prisonniers. À plusieurs reprises, ces négociations ont donné lieu à la libération de plusieurs centaines voire milliers de détenus (condamnés ou suspectés), auparavant en captivité en Israël.
Un grand merci pour cet éclairage !!!
A bientôt. Amitié.
@agent ananas
Commentaire crédible...
A bientôt. Amitié.
@Vivre est un village
Nous étions 15 spectateurs qui sommes devenus chanteurs pour chanter :
Selon les premiers éléments de l’enquête, les trois otages tués par erreur par l’armée israélienne après avoir réussi à se libérer du Hamas ont brandi un drapeau blanc et l’un d’entre eux a appelé à l’aide en hébreu. Face à la colère de la population, les autorités israéliennes ont repris langue avec les médiateurs de la crise des otages, et l’éventualité d’un nouvel accord revient sur le devant de la scène.
Vendredi 15 décembre, trois jeunes Israéliens pris en otage par le Hamas et qui avaient réussi à s’échapper ont été tués par erreur par l’armée israélienne dans le nord de la bande de Gaza. Les victimes sont Yotam Haïm, un batteur de Heavy Metal de 28 ans, Samer Al-Talalqa, un Bédouin de 24 ans, et Alon Lulu Shamriz, un habitant du kibboutz Kfar Aza, âgé de 26 ans.
D’après les premiers éléments de l’enquête, “un soldat posté dans l’un des plus hauts étages d’un immeuble de la zone a identifié trois silhouettes qui tenaient un long bâton auquel était attaché un tissu blanc”, précise le quotidien israélien. Mais toujours selon ce rapport, “pour une raison inconnue, le soldat s’est senti menacé et a ouvert le feu sur le groupe”.
@Vivre est un village
Un autre chant des cerises !!!
https://www.mediapart.fr/journal/france/210912/en-direct-de-mediapart-le-debat-avec-toni-negri
A bientôt. Amitié.
Michèle Sibony, vous deviez animer une conférence-débat dans le cadre des « 7 heures pour la Palestine » à Besançon, qui a finalement été annulée. Regrettez-vous ce choix ?
Je crois que ça se situait à un moment où de toute façon, tous les événements pour la Palestine étaient annulés. C’est seulement la décision du Conseil d’État qui a refusé l’interdiction systématique des manifestations, qui a permis la reprise de certaines activités sur la Palestine. Mais au moment où étaient programmées les « 7 heures pour la Palestine » à Besançon, on était en plein dans ce moment-là. Les organisateurs ont décidé d’annuler toutes les sept heures et de ne garder que la conférence avec moi. Je ne me sentais pas tellement légitime de parler seule à Besançon de la situation qui venait d’exploser. Et donc, je proposais que l’on fasse cela à deux ; avec un ou une intervenante palestinienne. Ça n’a pas pu être possible, parce que tous les intervenants contactés étaient absolument débordés par la situation. On a donc décidé de reporter. Ce n’est pas une annulation, c’est un report !
Lors de la séance plénière du Conseil régional, plusieurs formations politiques ont refusé de voter une aide à une association, suite à la mise en avant par celle-ci des « 7 heures pour la Palestine ». L’association a ainsi été qualifiée par certains d’anti-israélienne. Qu’en pensez-vous alors que vous deviez être présente ?
On a rencontré en France, une vague de dictats qui ont immédiatement placé le curseur sur le soutien absolu à Israël. On peut comprendre le choc qui a été vécu avec l’incursion du Hamas le 7 octobre en Israël et surtout des crimes de guerre qui ont été commis. Il y a eu des atrocités, c’est sûr ! Est-ce que ça doit se faire en éliminant tout contexte ? En éliminant, tout ce qui produit cette monstruosité ? Les 16 ans de blocus de deux millions de personnes à Gaza ? Est-ce que ça doit éliminer les plus de 300 morts maintenant en Cisjordanie depuis le début de l’année et les persécutions par les colons ? Est-ce que ça doit éliminer tout le contexte colonial dans lequel cet événement s’est produit ? Je ne crois pas. Je crois qu’il fallait pouvoir restituer du contexte, ce qui ne veut pas dire que l’on soutient ce qu’il s’est passé. Il est important de l’expliquer pour comprendre la situation. Il n’y a pas d’événements hors-sol.
Vous militez pour la paix. Le conflit israélo-palestinien dure depuis longtemps, comment la paix peut-elle se faire ? Pourquoi ne s’est-elle pas déjà faite ?
Le gouvernement israélien n’accepte pas l’idée que ce territoire va devoir être partagé. Il va falloir trouver le moyen de coexister sur le même territoire pour deux populations qui sont très imbriquées. Il faut juste sortir de l’horreur. Il faut juste arrêter de penser que la solution passe par la destruction d’un peuple. Je crois qu’il faut ouvrir une troisième voie. Ce carnage pourra peut-être trouver un sens s’il en sort une réelle prise de conscience et une réelle réflexion sur la recherche d’une voie qui soit une voie de coexistence et non une voie de cimetière.
Selon vous, comment la situation va-t-elle évoluer ?
À court terme, il faut exiger un cessez-le-feu ! L’idée des pauses humanitaires… C’est scandaleux ! C’est un vrai cessez-le-feu que la communauté internationale doit imposer et elle doit imposer la reprise de négociations très rapide. Dans un deuxième temps, ce sera le temps de la réflexion. De regarder, de réfléchir, de s’entourer de gens capables d’apporter des solutions. Il y a des solutions ! Les gens n’ont pas envie de s’entretuer.
Rencontre avec Michèle Sibony, porte-parole de l’Union juive française pour la paix, qui devait venir à Besançon dans le cadre des « 7 heures pour la Palestine ».
Par Anthony Soares https://hebdo25.net/author/anthony-soares/
Michèle Sibony, vous deviez animer une conférence-débat dans le cadre des « 7 heures pour la Palestine » à Besançon, qui a finalement été annulée. Regrettez-vous ce choix ?
Je crois que ça se situait à un moment où de toute façon, tous les événements pour la Palestine étaient annulés. C’est seulement la décision du Conseil d’État qui a refusé l’interdiction systématique des manifestations, qui a permis la reprise de certaines activités sur la Palestine. Mais au moment où étaient programmées les « 7 heures pour la Palestine » à Besançon, on était en plein dans ce moment-là. Les organisateurs ont décidé d’annuler toutes les sept heures et de ne garder que la conférence avec moi. Je ne me sentais pas tellement légitime de parler seule à Besançon de la situation qui venait d’exploser. Et donc, je proposais que l’on fasse cela à deux ; avec un ou une intervenante palestinienne. Ça n’a pas pu être possible, parce que tous les intervenants contactés étaient absolument débordés par la situation. On a donc décidé de reporter. Ce n’est pas une annulation, c’est un report !
Lors de la séance plénière du Conseil régional, plusieurs formations politiques ont refusé de voter une aide à une association, suite à la mise en avant par celle-ci des « 7 heures pour la Palestine ». L’association a ainsi été qualifiée par certains d’anti-israélienne. Qu’en pensez-vous alors que vous deviez être présente ?
On a rencontré en France, une vague de dictats qui ont immédiatement placé le curseur sur le soutien absolu à Israël. On peut comprendre le choc qui a été vécu avec l’incursion du Hamas le 7 octobre en Israël et surtout des crimes de guerre qui ont été commis. Il y a eu des atrocités, c’est sûr ! Est-ce que ça doit se faire en éliminant tout contexte ? En éliminant, tout ce qui produit cette monstruosité ? Les 16 ans de blocus de deux millions de personnes à Gaza ? Est-ce que ça doit éliminer les plus de 300 morts maintenant en Cisjordanie depuis le début de l’année et les persécutions par les colons ? Est-ce que ça doit éliminer tout le contexte colonial dans lequel cet événement s’est produit ? Je ne crois pas. Je crois qu’il fallait pouvoir restituer du contexte, ce qui ne veut pas dire que l’on soutient ce qu’il s’est passé. Il est important de l’expliquer pour comprendre la situation. Il n’y a pas d’événements hors-sol.
Vous militez pour la paix. Le conflit israélo-palestinien dure depuis longtemps, comment la paix peut-elle se faire ? Pourquoi ne s’est-elle pas déjà faite ?
Le gouvernement israélien n’accepte pas l’idée que ce territoire va devoir être partagé. Il va falloir trouver le moyen de coexister sur le même territoire pour deux populations qui sont très imbriquées. Il faut juste sortir de l’horreur. Il faut juste arrêter de penser que la solution passe par la destruction d’un peuple. Je crois qu’il faut ouvrir une troisième voie. Ce carnage pourra peut-être trouver un sens s’il en sort une réelle prise de conscience et une réelle réflexion sur la recherche d’une voie qui soit une voie de coexistence et non une voie de cimetière.
Selon vous, comment la situation va-t-elle évoluer ?
À court terme, il faut exiger un cessez-le-feu ! L’idée des pauses humanitaires… C’est scandaleux ! C’est un vrai cessez-le-feu que la communauté internationale doit imposer et elle doit imposer la reprise de négociations très rapide. Dans un deuxième temps, ce sera le temps de la réflexion. De regarder, de réfléchir, de s’entourer de gens capables d’apporter des solutions. Il y a des solutions ! Les gens n’ont pas envie de s’entretuer. https://hebdo25.net/linvitee-de-la-semaine-michele-sibony-porte-parole-de-lunion-juive-francaise-pour-la-paix/
A bientôt. Amitié.
@quijote
Il faut défendre Mohamed Sifaoui !!!
L’essayiste, bénéficiaire de la plus importante subvention de ce fonds destiné à créer un « contre-discours républicain », a confirmé ses liens étroits avec le cabinet de Marlène Schiappa.
Par Samuel Laurent
« La première erreur que j’ai faite, c’est d’avoir fait confiance à Mme Schiappa. » Mohamed Sifaoui est très remonté, jeudi 15 juin, lorsqu’il conclut son audition devant la commission d’enquête sur le fonds Marianne, cette manne de 2,5 millions d’euros mise en place par Marlène Schiappa, alors ministre déléguée à la citoyenneté, à la suite de l’assassinat terroriste du professeur Samuel Paty, en octobre 2020, afin de créer un « contre-discours républicain » sur les réseaux sociaux.
A bientôt. Amitié.
Écrivain palestinien, né à Jérusalem. Il a reçu le prix des Cinq continents de la francophonie en 2021 pour son premier roman Le Palais des deux collines (éd. Elyzad, 2021). Son prochain roman, L’Éden à l’aube, doit paraître en 2024.
Comme si les Palestiniens n’avaient pas leur mot à direhttps://blogs.mediapart.fr/karim-kattan/blog/151223/comme-si-les-palestiniens-n-avaient-pas-leur-mot-dire
Rien ne peut justifier près de 20,000 morts, ni une situation que les observateurs internationaux, accoutumés pourtant à l’horreur, qualifient d’« enfer sur terre. » On aurait cru que dire cela, c’est énoncer une évidence. Et pourtant, nous nous retrouvons à devoir en débattre. Ce n’est, pour nous Palestiniens, rien de neuf. Chaque jour de nos vies, nous sommes sommés de démontrer pourquoi nous aurions le droit de vivre libres, en sécurité et avec dignité et sommes disqualifiés d’avoir un avis sur nous-mêmes.
Il y aurait, dans ce monde, selon l’article et la sagesse commune, des camps, « pro-Palestiniens » et « pro-Israéliens », qui sont tels des supporters d’un match de foot où personne ne meurt et tout le monde a accès à la balle. Tout comme la division ahurissante, mais acceptée, en catégories de « juifs » et d’« Arabes » (comme s’il n’y avait pas des communautés juives arabes), cet élément de langage n’a aucun sens et est même intentionnellement malveillant : car notre liberté ne se fait pas aux dépens des autres — sauf s’ils conçoivent leur droit uniquement comme notre assujettissement.
Voilà l’évidence. La justice est la justice pour tous. La libération de ce système de domination dont on voit la manifestation la plus abominable aujourd’hui est une libération pour tous. On peut – on doit – exiger la liberté et l’égalité pour tous en Israël-Palestine. Ceux qui veulent faire croire qu’il y a des équipes, des mondes irréconciliables, ne veulent ni liberté, ni justice pour nous : ils veulent seulement nous enfoncer dans le cauchemar sécuritaire et ethno-national et les violences coloniales, pathologiques, qui nous ravagent.
Nous ne pouvons en sortir que collectivement. Il faut appeler à la fin immédiate du massacre perpétré par Israël. Il faut appeler à un cessez-le-feu, à une libération inconditionnelle et immédiate de tous les otages du Hamas, de tous les prisonniers palestiniens détenus illégalement par Israël, sans quoi nous nous rendons tous complices de ce qui se déroule sous nos yeux. C’est une tache indélébile sur nos âmes à tous. Tergiverser est dangereux. La clarté morale nous oblige. Il est encore temps de décrire précisément et dénoncer avec courage.
Chaque week-end, le mouvement de solidarité avec les Palestiniens organise des manifestations pour appeler au cessez-le-feu. Les défilés sont moins nourris qu’en 2014, mais une nouvelle génération politique, forgée dans une décennie de répression aux relents islamophobes, émerge. https://www.mediapart.fr/journal/politique/161223/la-solidarite-avec-la-palestine-sur-un-point-de-bascule
Emmanuel Riondé https://blogs.mediapart.fr/emmanuel-rionde
Pour Rima Hassan, le vent est en train de tourner. « En octobre, l’immense majorité des mobilisations liées au conflit dans le monde ont été propalestiniennes, rappelle-t-elle. Aujourd’hui, se définir pro-israélien, c’est perçu comme étant pro-apartheid, pro-colonisation, c’est de plus en plus difficile à tenir. Vu l’ampleur de la violence déployée à Gaza, leur discours s’effrite dans l’espace public. Je pense que nous sommes sur un moment de bascule, y compris pour le mouvement de solidarité. » Une bascule chargée, comme rarement dans l’histoire du conflit, d’inconnue politique. Heureuse de voir débarquer à ses côtés de nouvelles générations de militant·es, dont « la relève » des juifs anticoloniaux de Tsedek, Michèle Sibony l’avoue sans détour : « J’ai une peur bleue du jour d’après. »
A bientôt. Amitié.
Avec le généreux soutien d’Aline FORIEL-DESTEZET
Maxime GRIZARD, violoncelle CNSMD de Paris
Alexis GRIZARD, orgue CNSMD de Paris
associant à son programme les étudiants des meilleures classes d’orgue, en cycle concertiste ou perfectionnement, Plein Jeu veut apporter soutien et encouragements au démarrage de leur carrière.
PROGRAMMEClaude BALBASTRE (1724-1799)
– QUAND JESUS NAQUIT A NOËL
JOHANN SEBASTIAN BACH (1685-1750)
– SARABANDE ET GIGUE, EXTRAITS DE LA 4EME SUITE POUR VILONCELE
JOHANN SEBASTIAN BACH
– CHORAL « WACHET AUF RUFT UNS DIE STIMME » BWV 645
FELIX MENDELSSOHN (1809-1847)
– OUVERTURE DE PAULUS
MAX BRUCH (1838-1920)
– KOL NIDREI VIOLONCELLE ET ORGUE
JOHANN SEBASTIAN BACH
– PRELUDE ET FUGUE EN SOL MMAJEURBWV 541
ERNEST BLOCH (1880-1959)
– PRIERE VIOLONCELLE ET ORGUE
JOHANN SEBASTIAN BACH
– SINFONIA DE LA CANTATE N° 29
Samedi 16 Décembre :
CÉDRIC LÉPINEDiplômé à l’Université de Reims en histoire, à Paris I Panthéon Sorbonne en archéologie et à Paris VII Denis Diderot en anthropologie. Critique de cinéma pour des revues et des sites Internet (Mediapart, Les Fiches du Cinéma, ALCA), rédacteur correspondant en France de la revue en ligne et en espagnol1
"LatAm Cinema" dédiée à l’actualité de l’industrie cinématographique en Amérique latine, collaborateur des festivals "Cinélatino, Rencontres de Toulouse" et de "Viva Mexico" à Paris, spécialiste des cinémas latino-américainsBILLET DE BLOG 24 NOVEMBRE 2023
Sarlat 2023 : "La Chimère" d’Alice RohrwacherAprès une longue absence, Arthur est de retour dans une petite ville du bord de la mer Tyrrhénienne en Italie, où il retrouve sa bande de pilleurs de tombes étrusques dans laquelle il apporte son don pour sentir le vide sous terre.
Dans un cinéma qui s’enracine dans des origines profondément anciennes et notamment étrusque comme il était déjà question dans Les Merveilles (Le Meraviglie, 2014), Alice Rohrwacher saisit un monde où le naturalisme bucolique rencontre le merveilleux du surgissement de l’espace sacré qui apparaît ici avec les traces archéologiques. Tout commence avec le surgissement d’un personnage atypique qui réalise son « retour du fils prodigue » dans un palais qui semble avoir échappé au temps où trône une majestueuse Isabelle Rossellini comme héritière du cinéma néoréaliste italien rencontrant le réalisme bucolique sacré d’Alice Rohrwacher. Il en résulte une reconstitution de communautés en marge de la société qui tentent de faire famille autrement, en dehors d’activités économiques reconnues par la loi dans un monde suspendu dans le temps tandis que la crise écologique, via cette présence menaçante d’une usine, impose son épée de Damoclès sur toute une communauté qui ne peut dès lors plus feindre l’innocence en suivant notamment diverses chimères.
Vendredi 15 Décembre :
JUSTE UN SOUVENIR AvecMyriam BOYERet la participation de Philippe VINCENT
En disant les mots de Cocteau, Vian, Mouloudji, Queneau, Trenet… Myriam Boyer traverse les chansons qui jalonnent l’existence. Elle les joue en un grand monologue passionné, une déclaration d’amour au théâtre et à la vie. Juste un souvenir, c’est une chanson sans musique, les paroles d’un rêve qui ne veut pas finir. Pour partager le temps d’un soir un éternel présent.
En disant les mots de Cocteau, Vian, Mouloudji, Queneau, Trenet…
Myriam Boyer traverse les chansons qui jalonnent l’existence. Elle les
joue en un grand monologue passionné, une déclaration d’amour au
théâtre et à la vie. Juste un souvenir, c’est une chanson sans musique,
les paroles d’un rêve qui ne veut pas finir. Pour partager le temps d’un
soir un éternel présent.
JUSTE UN
SOUVENIR
MYRIAM BOYER
TEXTES DE JEAN COCTEAU - BORIS VIAN - LOUIS ARAGON
MARCEL MOULOUDJI - RAYMOND QUENEAU - CHARLES TRENET...
DANS
LISTE DES CHANSONS DITES SUR SCÈNE
Oreste Rossi, « Un souvenir »
Michel Vaucaire, « Comme au théâtre » ; « La complainte des souvenirs »
Boris Vian, « J’ai rêvé d’un piano »
Francis Carco, « Chanson tendre »
Jane Bos, « Dans la fumée »
Charles Cachant (dit Charlys), « Où sont tous mes amants »
Marcel Mouloudji, « Que le temps passe vite » ; « Le mal de Paris »
Raymond Queneau, « Si tu t’imagines »
Martial Carré, « La chose - les ratés de la bagatelle »
Marc Robine, « Les rues de Paris »
André Decaye, « Où est-il donc ? »
Charles Trenet, « Coin de rue »
Lucienne Boyer, « Ah ! c’qu’on s’aimait »
Jacques Prévert, « Deux escargots s’en vont à l’enterrement »
Jean Renoir, « La Complainte de la Butte »
André Varel, « Est-ce ma faute ? »
Louis Aragon, « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? »
Edmond Bouchaud, « La Coco »
Jean Cocteau, « La Dame de Monte-Carlo »
Georges Chelon, « Allons enfants »
Raymond Asso, « Tout fout l’camp »
ENTRETIEN
3
« JE N’AI PAS PEUR DE L’ÉMOTION »
ENTRETIEN AVEC MYRIAM BOYER
Juste un souvenir, c’est une compilation de souvenirs ?
Avec ce spectacle, je me fais plaisir. On n’ose plus mais… Je me suis fait
un cadeau ! Quand j’étais gamine, dans le quartier de la Mulatière à Lyon,
mon père m’emmenait dans les bistrots où se rendaient les mariniers. Il
me faisait monter sur la table et je me mettais à chanter. Pas pour faire
la manche, mais pour s’amuser. Les gens s’arrêtaient et me regardaient.
Je faisais pleurer les clodos, les couples dansaient… Il y régnait une vraie
misère mais c’était vivant. Je chantais les chansons de la radio de l’époque,
à commencer par Edith Piaf. Donc sans le savoir, toute ma vie, je portais
en moi ces textes extraordinaires. J’en ai d’ailleurs fait un film : La Mère
Christain (1998).
Comment transposer au théâtre des paroles de chanson ?
On n’accède pas à l’intégralité d’un texte quand on le chante. Quand on en
tire que les paroles, on découvre son intemporalité. La musique, parfois, ancre
trop un texte dans son époque. Ces grands écrivains que sont Vian, Cocteau,
etc, écrivaient de petites chansons toutes simples mais universelles ! On ressent
l’amusement qu’ils ont eu à les composer. C’est flagrant dans La Dame de MonteCarlo. On redécouvre la qualité littéraire de ces textes. Pour une comédienne,
l’exercice est merveilleux. Cela a beau être des chansons, je les interprète. Pas
comme une chanteuse, mais comme une comédienne ! J’ai le plaisir de partager
ce que j’aime. C’est une façon pour moi de me raconter. J’arrive sur scène pour
apporter aux gens un bouquet de chansons.
Vendredi 15 Décembre :
Léguade Filipa Reis, João Miller GuerraLa Quinzaine en salle. En présence des réalisateurs.
https://www.youtube.com/watch?v=yL20ouLo0Gw
Rue des dames
Vendredi 15 Décembre :
EXPOSITIONBERTHE MORISOT ET L’ART DU XVIIIE SIÈCLEWATTEAU, BOUCHER, FRAGONARD, PERRONNEAULe musée Marmottan Monet présente du 18 octobre 2023 au 3 mars 2024 une exposition inédite : « Berthe Morisot et l’art du XVIIIe siècle ». Le commissariat est assuré par les historiennes de l’art : Marianne Mathieu et Dominique d’Arnoult avec la participation de Claire Gooden, attachée de conservation du musée Marmottan Monet. Soixante-cinq œuvres provenant de musées français et étrangers ainsi que de collections particulières sont réunies pour la première fois afin de mettre en lumière les liens qui unissent l’œuvre de la première femme impressionniste, Berthe Morisot (1841-1895) à l’art d’Antoine Watteau (1684-1721), François Boucher (1703-1770), Jean-Honoré Fragonard (1732-1806) ou encore Jean-Baptiste Perronneau (1715-1783). S’appuyant sur une analyse de sources principalement inédites (correspondances, carnets de notes de Berthe Morisot et de son époux Eugène Manet et de leur entourage, coupures de presse) et sur une étude généalogique approfondie, l’exposition et son catalogue apportent un éclairage nouveau sur un sujet souvent évoqué par les historiens sans pour autant avoir fait l’objet d’une recherche dédiée et exhaustive. S’il est démontré que Berthe Morisot n’est pas l’arrière-petite-nièce de Fragonard et n’entretenait aucun lien de parenté avec ce dernier, l’exposition met l’accent sur les véritables fondements de ces affinités artistiques retraçant la chronologie de leurs développements ainsi que leurs principales caractéristiques.
Co-commissariat : Marianne MATHIEU, historienne de l’art et Dominique d’ARNOULT, docteur en Histoire de l’art.
Commissaire associée : Claire GOODEN, attachée de conservation au musée Marmottan Monet.
https://www.marmottan.fr/expositions/berthe-morisot-et-le-xviiie-siecle/
Ma dernière offre de "Gai Savoir" du 14 au 16 Décembre :
BERTRAND CHAMAYOUhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Michèle_Sibony
Michèle Sibony a vécu en Israël où elle a fait des études de lettres et de cinéma dans les années 1972-1977, à l’université de Haïfa. Elle y a maintenu des contacts étroits avec des amis contre l’occupation israélienne,. Elle est aussi membre du bureau de l’Alternative Information Center (Jérusalem Beit Sahour).Michèle Sibony participe « avec enthousiasme » à une rencontre de militants pro-palestiniens avec des représentants des diverses organisations palestiniennes sur la liste des organisations terroristes de l’Union européenne.Pour Marc Hecker : « Le fait d’habiter pendant quelques années en Israël et de côtoyer des Palestiniens a permis à Michèle Sibony d’effectuer ce qu’elle appelle un « détricotage » idéologique et a déclenché chez elle la volonté de s’engager en faveur de la cause palestinienne. »7.
ECELLENTE VIDEO...
MERCI !!!
A bientôt. Amitié.
@Pyrathome
Entre le marteau des USA et l’enclume Russe difficile de devenir centenaire, en effet...
A bientôt. Amitié.
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