@l’argentin
Je l’ai matée et je reconnais que son analyse est pertinente. Mais une analyse classique et déjà entendue maintes fois. Un point sur lequel, je ne le rejoins pas est la discrimination. Oui elle existe mais elle surestimée et c’est faire fi de la conjoncture économique ainsi que des Desouche qui galèrent également. Ce que je reproche à ces populations parfois, c’est de chialer à la discrimination, dépenser une énergie folle à faire valoir leurs droits pour finalement ne pas agir. Il serait pourtant bien plus efficace et finalement plus simple de monter son biz, de créer un sous-circuit économique. "Ok super mais on ne me prêtera jamais de thunes". Si, si tu arrives avec un projet en béton, bien ficelé, bien pensé en amont, avec un prévisionnel réaliste donc avec des perspectives de croissance, je te garantis que de la thune on t’en prêtera.
Morale de l’histoire : se sortir les doigts du cul et comprendre que rester assis les bras croisés ne fera pas venir la providence. Comprendre également que d’une manière générale, chacun possède la clef de la propre prison qu’il s’est construite.
Quant à la question posée en titre : la différence est que Soral appelle à rester calme plutôt qu’à la révolte ? Ok, j’apprends un truc.
Se révolter ne signifie pas automatiquement "avec violence", on peut tout à fait se révolter pacifiquement et de manière bien plus efficace : en mettant en place un contre système basé sur l’entraide, la solidarité, l’échange, le troc, bref avec un maximum de gratuit.