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Les commentaires de iakin



  • 6 votes
    iakin 27 juin 2014 15:44

    Ce que j’appellerais "démocratie de marché" c’est le système fondé sur la croyance que la consommation exprime mieux la souveraineté populaire que le vote ou les élections.

    Par exemple quand le présentateur de TF1 croit mieux représenter la population qu’un élu au suffrage universel. 
    On voit ça souvent, quand un connard nous dit que si les gens n’approuvent pas tel ou tel chose, ils ont qu’à ne pas l’acheter et elle ne se vendra plus. 
    L’arnaque de la démocratie de marché c’est qu’elle part du principe que les gens sont complètement libre de consommer ce qu’ils veulent, et en plus en mettant de côté l’avis de ceux qui ne consomment pas ou peu.
    Quand on te dit que les gens veulent plus de téléréalité et moins de programmes culturels à la télé, la preuve c’est qu’il y a beaucoup de gens qui regardent la téléréalité que les programmes culturels, on écarte volontairement tous ceux qui ne regardent pas ou plus la télé.



  • 8 votes
    iakin 27 juin 2014 13:24

    Il y a un quiproquo autour du terme "société de consommation". L’expression "société de consommation" vient de Jean Baudrillard qui désignait ainsi en 1970 une société dans laquelle on ne consomme plus principalement pour se nourrir, se vêtir, se chauffer, mais d’abord pour exprimer une position sociale. Par exemple : j’achète une rolex pour montrer que j’ai les moyens de m’en payer une, et accessoirement pour avoir l’heure.

     
    Le terme a eu énormément de succès, et la manière dont on l’utilise aujourd’hui n’a plus grand chose à voir avec la notion de départ. Et, effectivement, le système économique dans lequel nous vivons est un système de surproduction, "l’offre créé la demande", où l’enjeu industriel est de produire le plus possible pour ensuite essayer de vendre, par la publicité, par le crédit, et en cherchant de nouveaux marchés (quitte à ce que cela se fasse par la force, "l’impérialisme").
    Les crises du capitalisme se produisent quand il n’y a plus assez de consommateurs pour écouler la production. Ce qui empêche la rentabilité des capitaux de continuer à augmenter et pousse les gouvernements à se faire la guerre.

    Le terme "société de consommation" devient alors trompeur. Quand on veut dire que le libéralisme est en train de faire disparaître la citoyenneté, c’est à dire le moyen pour la population d’agir sur la société par la politique, pour ne garder que celui qui permet d’agir par la consommation, il faudrait plutôt utiliser le terme de "démocratie de marché"...


  • 2 votes
    iakin 30 avril 2014 14:39

    Oui donc, finalement, j’avais bien compris : tu parles alors que tu n’as rien à dire.

      
    Merci d’être passé, à la prochaine.


  • 2 votes
    iakin 29 avril 2014 23:49

    Je comprend pas ton délire... comme tu as un grand-père qui s’est battu contre les japonais, tu en sais plus sur les ninjas que n’importe qui, c’est ça que tu veux dire ?



  • 3 votes
    iakin 29 avril 2014 20:16

    Tu veux comparer les faits d’armes de nos familles ? 

    ... ça veut dire que tu n’as rien fait de ta vie à toi ?

    (à part les jeux vidéos)



  • 3 votes
    iakin 29 avril 2014 14:47

    Nooon, en fait les ninjas utilisaient des outils de paysan parce qu’ils kiffaient utiliser des des bâtons et des chaînes pour se battre. C’est carrément plus stylé.

      

    Gerfaut tu veux pas retourner à tes jeux vidéos et nous ficher la paix ?



  • 3 votes
    iakin 29 avril 2014 12:46

    L’aspect économique et social de l’existence des ninjas a été complètement évacué.

     
    Les samouraïs était une aristocratie, dans le sens où ils travaillent à la guerre et vivaient du travail des paysans sur leurs terres. Ces terres leurs étant accordées en fonction de leurs titres de noblesse et des accords seigneuriaux.
    D’où un code d’honneur et de combat très stricts, qui convenaient à cette organisation hiérarchique puisque ces règles favorisaient les familles les mieux équipées, donc les plus riches.
      
    Le ninjutsu a été, du moins au départ, une réaction à cet ordre social et ce code d’honneur. C’est une réaction clairement populaire, dans le sens qu’elle provient des paysans et des travailleurs pauvres, pour qui les codes d’honneur et les règles de guerre samouraïs n’étaient au fond qu’un paravent de justice derrière lequel se cachait la défense des intérêts des classes sociales dominantes.
    C’est évidemment les ninjas que l’on a donc assimilé à des conspirateurs, des voleurs et des assassins sans valeur ni honneur, comme cela se passe à chaque fois que la population réagit par la violence à l’injustice social et économique.
    Et comme ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire...


  • vote
    iakin 12 novembre 2013 21:48

    Je vois ça, je vois ça ^^

      
    Ça me donne un peu de baume au coeur, comme quoi tout ne sera jamais complètement perdu, il y aura toujours quelqu’un pour faire du gauchisme :D
    Relativement, il y aura toujours une "gauche", une "droite"... il faut se représenter cela comme un bi-pôle pour comprendre, non comme un clivage.
       
    Je reviendrai militer sur agoravox un de ces quatre, quand j’aurais du lourd sous la main. J’espère que tu seras prêt, y’a des chances pour que tu repasses à droite direct ;)
    J’aimerais qu’il existe sur internet des vidéos de mecs qui lisent du Lénine pendant 10h ou des choses de ce genre, mais dès qu’on veut approfondir les choses vraiment, on trouve plus rien, ou presque.
    Internet, un système de gauche avec un discours de droite. L’inverse du pouvoir actuel ^^


  • 4 votes
    iakin 11 novembre 2013 21:47

    En lisant en diagonale, je me suis dis "Merde alors, Machiavel lit du Debord...

      
    De toute manière, les nationalistes, ils sont contre le capitalisme uniquement dans le cadre où cela leur donne des arguments d’apparence rationnels pour être contre les étrangers, et plus globalement, contre tous ceux qui ne sont pas comme eux. Perso j’en ai pas vu un seul qui sait même seulement ce que "capitalisme" veut dire. Les nationalistes ne se sont jamais intéressés à l’économie, ils s’en fichent royalement, ça n’a jamais été leur problème. Gollnish le dit idem.
    Donne du Debord à des fafounets, et ils en feront une affiche "Debord aurait voté Marine Lepen".


  • vote
    iakin 24 juillet 2013 13:03

    Tu rigoles ?

      
    Tu veux réintroduire le terme "nationaliste" pour Robespierre alors que c’est ainsi que ses adversaires anglais qualifiaient le jacobinisme ?
    Et tu dis défendre les idées de Robespierre ? Tu es schizophrène ou quoi ?
      
    Qu’est-ce que tu dirais de quelqu’un qui dirait que Chavez était un dictateur, la preuve c’est que c’était le mot qu’utilisaient les occidentaux pour décrire sa politique... ? 
       
    A part ça, cite moi une phrase où Robespierre se réclame du nationalisme.

     Décidément, ce que je comprend pas avec le nationalisme français, c’est que ce n’est jamais l’idée française de la nation qu’ils défendent, mais toujours une idée de la nation qui vient d’ailleurs, de l’Allemagne, de l’Angleterre ou autres... Il faudra qu’on m’explique ça un jour.


  • vote
    iakin 23 juillet 2013 16:40

    Eh bien il faudrait regarder dans le Robert étymologique, ça serait un bon début.... ensuite peut-être dans l’encyclopédie universalis et dans des bouquin d’histoire des idées politiques. 

    J’avais tout ça sous la main avant, mais là comme je suis de passage à Paris (un passage qui s’éternise d’ailleurs)...
     
    Ça ne m’étonnerait pas que nationalisme soit un mot allemand au départ, là-bas c’est l’idée de nation qui a précédé celle de l’Etat contrairement à chez nous. Je pense que le terme devait plus ou moins qualifier toute personne qui défendait l’idée de l’Etat-nation, avant de devenir une véritable idéologie politique par la suite. Mais bon, ce n’est que des suppositions, mes lectures là-dessus remontent à un moment. 


    Tiens je m’aperçois qu’il a une encyclopedie universalis sur le net... mais ça ne vaut pas la vraie. L’article que j’ai trouvé est celui-ci :
      
    "Il n’est guère de mot, dans le vocabulaire historique et politique de l’époque contemporaine, plus chargé d’ambiguïté que celui de nationalisme. Non seulement les considérations d’ordre moral, les préoccupations de la polémique, le souci de justifier et de condamner ne cessent d’en altérer l’utilisation, mais c’est surtout sur le terme même et sur sa définition que pèse durablement l’équivoque : mis en usage en Grande-Bretagne et en France dans le courant du XIXe siècle, il n’a cessé de s’enrichir de significations successives, dérivées les unes des autres, mais non obligatoirement réductibles l’une à l’autre.
    En France même, le mot, vraisemblablement d’origine britannique (l’adjectif nationalist est mentionné dans la langue anglaise dès 1715), n’apparaît qu’à l’extrême fin du XVIIIe siècle, et pour désigner essentiellement les excès du patriotisme jacobin. Resté longtemps d’un usage très épisodique en même temps que très incertain, il se généralise dans les dernières années du siècle suivant, mais en conservant, dans les habitudes les plus courantes de la langue, une triple signification. Il peut en effet être péjorativement employé pour stigmatiser certaines formes outrancières de patriotisme, devenant alors synonyme de chauvinisme. Il peut encore désigner les revendications d’un peuple assujetti aspirant à l’indépendance (les nationalismes polonais, irlandais, etc.). Il peut enfin servir d’étiquette et de profession de foi à certaines écoles et à certains groupements qui, affirmant la primauté dans l’ordre politique de la défense des valeurs nationales et des intérêts nationaux, sont généralement classés à droite ou à l’extrême droite de l’opinion politique (les nationalismes barrésien, maurrassien, etc.).

    En langues allemande et italienne, le mot, démarqué du vocabulaire politique français, a longtemps conservé une semblable pluralité de significations. En langue anglaise, en revanche, il semble s’être rapidement stabilisé pour désigner de façon générale les diverses manifestations de la conscience nationale et du caractère national."


  • vote
    iakin 23 juillet 2013 16:19

    Je devrais faire un effort pour te surprendre alors que toi tu n’en fais aucun ? Ha !

    Je ne fais qu’utiliser tes propres techniques moisies pour que tu voies un peu l’effet que ça fait.
      
    Qu’est-ce que tu disais déjà ?.... ah oui :
    FERME LA LE TROLL !


  • vote
    iakin 22 juillet 2013 13:54

    Donc je vois que tu n’as pas changé... tu fais celui qui aime débattre et réfléchir, mais que nenni, quoiqu’on te dise, quoi que tu répondes, tu répéteras de tout manière toujours la même chose...

     
    L’idéologie politique ce n’est pas une religion, il y a pas un dogme écrit dans le marbre et à suivre à la lettre. Ce n’est parce que E&R se prétend socialiste et veut d’un Chavez qui rechristianise la France qu’ils sont chavistes. Qu’en sais-tu de ce qu’aurait voulu Chavez pour la France et l’Europe ? Rien, il n’a jamais rien dit là-dessus.


  • vote
    iakin 22 juillet 2013 13:42

    Chouard se défend en tentant de s’approprier les mots qu’on utilise contre lui pour le discréditer, comme par exemple des socialistes à un moment donné ont commencé à se proclamer marxistes à force qu’on les appellent ainsi pour se moquer d’eux, ainsi, en assumant le terme il n’y avait plus matière à rire chez leurs adversaires.

    Mais dans le cas du nationalisme c’est absurde, à moins que les mots n’aient plus de sens, car dans ce cas comme je fume du tabac je suis tabagiste. Et comme j’ai fait un peu de guitare quand j’étais ado, je suis musicien, etc.
    Quand on est rationnel on ne travaille pas à faire perdre aux mots leur sens.
      
    Si tu aime et défend ta nation tu es patriote, c’est la définition. Le nationalisme est autre chose, c’est un mot qui a été inventé par des gens qui se réclamaient tels et qui ont défini exactement ce qu’ils voulaient dire par là. Pour eux c’est la nation qui fonde l’Etat et non l’inverse.
    Et que je sache Robespierre ne s’est jamais dit nationaliste (ni socialiste), tu ne peux pas lui mettre une étiquette à postériori, à moins d’être maladroit ou sinon malhonnête.


  • 2 votes
    iakin 22 juillet 2013 13:21

    Ha c’est la meilleure !

    T’as relu ce que t’as écris plus haut sur le FdG et Merluchon avant d’écrire ton message ?
    Tu réfléchis à ce que tu dis parfois ?
      
    Et la vieille technique droitarde d’accuser ses adversaires de ce qu’on fait soit même, je connais.
    Sans doute pas toi, tu dois faire ça inconsciemment, tu n’as pas milité à droite comme moi.
    Eh oui tout le monde a milité pour tout le monde de nos jours, tu savais pas ?
    Même Soral est passé par les Verts et Cohn-Bendit par E&G... ce bon vieux réseau troskiste, ils sont trop forts. Les fafounets qui ont milité à gauche, c’est de la rigolade à côté. Tu crois que Soral il fait quoi à l’extrême-droite ?


  • 1 vote
    iakin 22 juillet 2013 02:52

    Les nationalistes et les socialistes n’ont pas la même définition du peuple. Chavez et le PSUV se placent dans la tradition socialiste en fondant le peuple sur un contrat politique auquel chacun peut prendre part (dans l’idéal), une constituante à suffrage universel. Le peuple n’est pas une chose acquise, donnée, au départ.

    Pour les nationalistes au contraire le peuple va de soi, ce n’est pas une question conceptuelle, c’est comme une lignée, une ethnie, une "race", avec une religion ou une doxa commune.
    Pour les premiers, tout le monde a le droit à l’égalité (des droits réels), pour les seconds cela n’a pas de sens.
    Mettre Robespierre dans les nationalistes c’est confondre patriotisme et nationalisme, c’est à dire ne rien comprendre au problème. Robespierre était justement de ceux qui pensait que qu’une nation se construit par la politique et donc par l’Etat, au contraire des nationalistes qui pensent que c’est la nation qui permet la création d’un Etat et donc d’une politique.


  • vote
    iakin 22 juillet 2013 02:18

    Hé hé, t’es sacrement remonté dis donc ^^

      
    Tu ne sais rien du FdG ni de Merluchon, tu ne t’es même pas renseigné par toi-même, tu répètes exactement mot pour mot tout se que racontent tes amis les fafounets sur internet qui n’ont jamais quitté leur fauteuil devant leur écran.
    Tu n’écoutes donc même pas ton gourou : "instruisez-vous, camarades !" ?


  • 2 votes
    iakin 21 juillet 2013 21:26

    Hé oui, ça fait un bail. Il s’est passé pas mal de choses depuis ^^

      
    Sinon, c’est ce que E&R désirait, "un Chavez français".
      
    En fait, c’est le personnage qui les intéresse plus que le PSUV, et les symboles plus que la politique mise en place, enfin c’est ce qu’il me semble... pourquoi ne parlent-t-ils pas de la constituante, de la nouvelle répartition des richesses, et d’autres choses qui ont été faites là-bas ?
     
    Du coup, juger d’une pureté idéologique sans entrer dans le fond, dans les détails, devient absurde. Surtout sans prendre en compte que lorsqu’on parle du Vénézuela et de l’Amérique latine, ou de la France et de l’Europe, on ne parle pas de la même situation sociale, historique, géopolitique.
     
    Et enfin ! quand bien même, on peut être marxiste, et ça ne veut pas dire qu’on veut du programme de Marx pour l’Allemagne du 19è siècle.
    C’est la boussole, les marqueurs, qui sont intéressants. 
    Je ne crois pas que pour Chavez les marqueurs d’une bonne politique était d’être anti-américaine, anti-isralienne, et pro-kadhaffi. Ça se jouait ailleurs.
      
      
    Sinon, à part ça, tu peux me donner des pistes pour en savoir plus sur ces "nationalistes républicains et pour l’émancipation des peuples" ? Je serais curieux de savoir de qui tu parles. En plus je suis en train de m’intéresser à la création de l’Etat en ce moment.


  • 2 votes
    iakin 21 juillet 2013 19:59

    Il y a des liens entre le Front de Gauche et le PSUV, notamment par les ambassades et par des relations d’amitié entre certains militants/responsables, mais là ce que tu imagines est complètement fantasmé. Comme si une organisation qui a été créée il y a quelques années et n’a aucun pouvoir en France, sinon symbolique, pouvait dicter sa conduite à un parti au gouvernement du Venezuela depuis 10 ans...

    Chavez avait bien décidé de soutenir Ahmadinejad en Iran sans consulter le Front de Gauche, et sans que ces derniers crient au scandale.
      
    Non, ça se joue ailleurs. C’est que ce qui est "bon" en France ne l’est pas forcément pour le Venezuela, et inversement. Le nationalisme en Amérique latine par exemple, qui sous-entend le pouvoir aux indigènes, n’a pas du tout le même sens qu’en Europe, ou historiquement il est associé à l’impérialisme. La catholicisme, au Venezuela où la très grande majorité de la population est catholique et où il est associé à l’émancipation (voir au communisme), n’a pas du tout le même sens en France où il est associé à la réaction, dans un pays où il y a en plus toutes sortes de croyances différentes.
    Le Front de Gauche peut tout à fait donner raison au PSUV au Venezuela, et inversement le PSUV au Front de Gauche en France, sans que les deux n’ai tout à fait la même politique ni le même discours. 
    Réfléchis-y, ce serait même l’inverse qui serait absurde, comment peut-on croire qu’avec deux pays si différents, historiquement, socialement, culturellemnt, ce serait ceux qui veulent y mener la même politique qui auraient raison ?
      
    Je vais regarder la vidéo, mais je pense que Soral appréciait Chavez pour sa "virilité" et sa grande gueule face aux EU. D’ailleurs il fait un hommage à l’ancien président, mais que pense-t-il de Maduro ? le soutient-il ? En parle-t-il seulement... ? Ça ne m’étonnerait pas que ça ne l’intéresse pas plus que ça.


  • 2 votes
    iakin 21 juillet 2013 19:29

    Eh oui ça fait mal au cul quand Soral/Dieudo est votre seule source politique et que vous avez la preuve que le gouvernement chaviste soutient en France une république rouge laïque et non pas le néo-nationalisme mystique dont vous rêvez...

     
    Comment ça ? Soral se trompe quelque part ? Ou alors c’est les chavistes ? On comprend pas... hein ? ^^
     
    Mais lisez et instruisez-vous sur l’histoire du Vieux-continent et sur celle de l’Amérique latine, au moins un peu. Soral ne parle toujours que des faits qui l’arrange, jamais il ne parle des choses qui lui posent problème. Vous n’aviez pas remarqué ?
      
    Rappelez-vous que ce mec là a soutenu le FN qui n’a rien à voir avec le socialisme, qui n’a rien à voir avec l’égalité, même en paroles. Quand Soral a à choisir entre l’égalité et la réconciliation, il préfère la réconciliation.
      
    Enfin, renseignez-vous encore, Chavez était pour une union des pays d’amérique latine, c’est ce à quoi il travaillait, et ce même après l’expérience catastrophique de l’Europe.