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Les commentaires de Nicolas



  • 1 vote
    Nicolas 6 juin 2019 10:55

    @LUCA
    Pour ne pas vieillir, une seule solution : mourir jeune.



  • 1 vote
    Nicolas 6 juin 2019 10:31
    Mais, c’est évident Mesdames et Messieurs. Soigner coûte cher, et c’est relativement injuste pour les bien portants qui paient pour les autres. De même pour les écoles qui ne servent que ceux qui ont des enfants, ou encore les routes que tout le monde ne fréquente pas en même temps, etc...

    Chacun pour soi, vous dis-je ! Et la comptabilité pour tous est partout. Mais, dans notre cas particulier touchant les plus de 70 ans, il y a des gens habiles à la manoeuvre : les assureurs. Pensez donc, au dessus de 70 ans il faudra vous assurer à vos frais. Car, chacun le sait, les assureurs adorent les suppléments, les annexes, les avenants, les tables de risques dont ils se gardent bien de communiquer les résultats au public. Asymétrie de l’information oblige...

    Les actionnaires se frottent déjà les mains et les lobbyistes se mettent en ordre de bataille. Le résultat est assuré (si j’ose dire).


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    Nicolas 2 juillet 2018 18:45

    @Zatara

    Ironie, dérision, vous prenez tout au pied de la lettre. Dommage.



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    Nicolas 2 juillet 2018 15:27

    @Eric_F

    Mais, qu’on se calme, tout s’est déroulé dans une ambiance familiale.

    Bacchus est le fils de Jupiter et de Sémélé, fille du roi de Thèbes, par translation du mythe de Dionysos.

    Il devint le dieu de la Vigne, du Vin et des Festivités, mais aussi de la Danse, de la Végétation, des Plaisirs de la vie et de ses Débordements.

    Donc, Jupiter le père a fait danser ses enfants, quoi de plus naturel.

    La prochaine fois, votez pou un autre dieu.

    P.S. source Wikipedia.



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    Nicolas 2 juillet 2018 11:56

    @Eric_F

    Bah, tant qu’on reste chez les Grecs, ça peut encore aller. On a fait des progrès depuis. Je veux dire les Grecs anciens et non les contemporains.



  • 2 votes
    Nicolas 1er juillet 2018 13:08

    @av88

    Mais après tout il n’est que le chef de l’usine à gaz nationale. C’est un gros boulot qui demande une grande boîte à outils et beaucoup de rustines.



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    Nicolas 1er juillet 2018 11:32
    Ne vous en faite pas, dans 15 jours il y aura le 14 juillet. Après la fête vient le sérieux, avec lignes droites, cérémonials, tambours, trompettes, beaux chevaux, et tout et tout. Perso, j’adore, ça me rappelle ma jeunesse quand il fallait que je représente mon régiment à l’Arc de Triomphe. Eh oui, quand on vieillit on devient sentimental...

    La fête de l’Elysée ? On n’est plus sous Vincent Auriol la potiche, ni sous Pompidou. J’ai trouvé ça très Fellinien et digne du Satyricon (ancien ou moderne).


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    Nicolas 18 mars 2018 17:08
    Voilà une belle discussion oiseuse qui consiste à placer le lecteur devant un binôme simplet. Il consiste le plus souvent à créer l’alpha et l’oméga de la doctrine fondatrice du capitalisme moderne.

    Ce postulat repose sur une sorte d’intervention divine, d’un Dieu caché, qui interviendrait par le biais d’une "nature humaine". Un fatalisme en sorte, un déterminisme qui évacue le libre arbitre, la liberté d’agir et ne tient pas compte des phénomènes sociaux, des arbitrages et des lois.

    Il n’est pas besoin de parler d’éthologie, d’observer la vie sociale des animaux, des fourmis aux bonobos ou des humains, pour voir voler en éclats cette psychologie simpliste.

    Mais, elle a été, et est encore très utile pour convaincre les naïfs et justifier l’exploitation de l’homme par l’homme. On en est là.


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    Nicolas 23 septembre 2015 18:58

    La liberté d’expression ? je suis absolument contre. Car la liberté, qu’elle soit d’expression ou d’autre chose, ne peut être infinie. Toute liberté est nécessairement bornée. Ne mélangez pas la métaphysique avec la réalité.

    En fait, on ne devrait donner (allouer) la liberté d’expression qu’à ceux qui n’ont rien à dire. Et ils sont nombreux.



  • 2 votes
    Nicolas 13 juillet 2015 22:01

    Que Dieu existe ou n’existe pas est complètement indifférent. Introduisons le principe d’incertitude et n’importe quelle notion de ce type s’évanouit.

    Poser d’emblée le système binaire existe/n’existe pas découle d’une imposture. Surtout posé en pari, il suffit de ne pas parier, de ne pas entrer dans ce jeu binaire et malsain. Seuls les charlatans proposent ce jeu de bonnetot.

    Tiens, demain , j’irai à la pêche, j’attraperai peut-être une truite, et je mettrai Dieu dans ma poêle à frire. Car, le saviez-vous ? Dieu est une truite.



  • 10 votes
    Nicolas 12 avril 2015 10:09

    @Allexandre

    "celle des Etats-Unis et de la finance judéo-sioniste."

    Comment peut-on voter 41 fois pour une ânerie pareille. Inutile de lire le reste.



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    Nicolas 1er décembre 2013 15:58

     Gaspard Delanuit,

    " Il ne nous appartient pas de prétendre définir à l’avance, ce que devront être les bonnes décisions démocratiques d’un peuple souverain concernant les règles du jeu économique. "

    Encore faudrait-il que ce peuple ait des notions d’économie. Ou de ce que vous appelez des règles du jeu. Il faudrait qu’il soit très éduqué, vertueux, altruiste, et non soumis à des lois économiques qui existent déjà ou des intérêts divergents. Un retour à un état d’innocence originelle, à condition que cela ait existé.

    On sombre vers l’utopie rousseauiste. Mais on peut rêver.



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    Nicolas 1er décembre 2013 14:09

    Sur la liberté bornée par l’égalité, voir de Tocqueville qui indique clairement que la liberté serait toujours empêchée par la liberté absolue. Equilibre entre les deux, souvent difficile à réaliser.



  • 1 vote
    Nicolas 1er décembre 2013 14:04

    Montesquieu, que j’ai eu le plaisir de lire autrefois, la plume à la main, m’a frappé par la justesse de ses préceptes. Il disait en gros, que si le législateur ne souhaite pas que les gens se livrent à telle activité néfaste et ruineuse pour une communauté donnée, il est nécessaire de faire des lois faisant que personne n’aurait intérêt à se livrer à ces activités.

    L’intérêt plutôt que la coercition est un ressort très puissant. La preuve, le capitalisme est basé sur ce même intérêt. Comment faire pour que cet intérêt individuel (mais souvent aussi collectif) soit borné ? Eh bien, qu’un autre intérêt le contrebalance. Comment y arriver ? Il faut le vouloir. Question de pouvoir, encore.



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    Nicolas 30 novembre 2013 20:58

    Gaspard,
    Je me suis trompé, ce n’est ni un sophisme, ni une métaphore, c’est une ânerie. Et vous savez, même les hommes célèbres en disent.



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    Nicolas 30 novembre 2013 20:55

    Gaspard,
    Vous avez dit :"Je suis le propriétaire de la seule arme à feu". Ce n’est pas de la hiérarchie ça ? 
    Vus êtes de mauvaise foi. Et comme vous voulez avoir raison, je m’en fous.



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    Nicolas 30 novembre 2013 20:48

    Machiavel,
    Mais bien sûr qu’il faut des contre-pouvoirs. De Montesquieu aux fondateurs des USA on ne parle que d’équilibre entre Législatif et Exécutif. Lequel législatif est constitué par les représentants du peuple. C’est la fameuse ’balance of power’ ou équilibre des pouvoirs.
    Mais, ce que personne n’avait prévu (ou voulu voir), c’est que la représentation populaire peut être détournée par des idées ou des personnes (lobbying).
    Il faut donc des contre-pouvoirs pour empêcher les dérives. La législation des pays y pourvoit en principe, mais ça ne marche pas (tribunaux, cours, assemblée diverses et commissions). Voyez les dérives de l’Italie de Berlusconi qui avait derrière lui une grande partie de la population. A ce moment-là toutes les barrières avaient cédé, et la corruption la plus abominable y régnait.
    Donc il faut des contre-pouvoirs, et de très sévères, au vu des dommages causés à une nombreuse population. Les dérives sont multiples, d’autant plus que le responsabilités sont très diluées. Il y a même un nouveau terme pour ça : la dérive systémique. Et le tour est joué.
    La grande difficulté est d’appeler un chat un chat/



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    Nicolas 30 novembre 2013 19:02

    On mange le chef ! Par ailleurs, toutes les sociétés humaines ne sont pas hiérarchisées comme vous le décrivez. Mais aussi, comme on ne connaît le but final de l’humanité, je suspends mon jugement quant à une forme parfaite. Qui n’existe pas, d’ailleurs.
    Vous faites fausse route en prenant comme modèle unique le rapport de puissance (le fameux pouvoir). Il existe des sociétés harmonieuses où personne ne veut être le chef ; c’est même une calamité pour celui qui est désigné comme chef.



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    Nicolas 30 novembre 2013 18:50

    Machiavel,

    Il ne s’agit pas d’une forme idéale, mais d’une suite de choses indésirables qui existent ici et maintenant. Je comprends votre question d’entrer dans une pratique (une praxis, disait Marx ou encore de repérer les pratiques chères à Foucault). Les outils à la portée du citoyen lambda étant très limités tels que manif. pétition ou vote, le tout reposant sur le nombre pour être pris en considération, la tâche sera ardue, mais pas impossible.
    Vu, il y a qq jours à la télé les 10 ans de combat pour soustraire le Larzac aux militaires. Malgré les manifs de toutes sortes et les dizaines de milliers de manifestants, il a fallu attendre de changer de président pour arriver au but recherché.
    L’avenir est très sombre quant à un changement possible.
    Nos gouvernements devraient avoir comme slogan : "Le changement, c’est plus tard" ou "Demain, on rase gratis".



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    Nicolas 30 novembre 2013 18:38

    Le père Jung s’y entendait en sophismes ; il aurait dû faire de la politique.