Il faut se dépêcher d’hadopti toutes les lois de censures afin de ne plus voir d’images aussi atroces, qu’on puisse enfin manger la viande de sa religion sans savoir comment elle meurt. On s’étonne après que des shoas successives atteignent les peuples reculés comme les talibans, les kurdes, les tchétchènes, les arméniens, les palestiniens, les juifs, les abeilles, les porcs, etc...
Et si encore c’était vrai cette histoire de pandémie, on mourrait tous dans d’affreuses douleurs bien méritées pour certains, mais c’est bidon, comme toutes les promesses d’espoir et de paradis...
En tout cas, si le paradis des uns oblige à une interdépendance de sous races soumises absolument aux bonheur d’une élite dominante, je suis fier de n’être qu’un petit pion insignifiant avec ma copine la mouche qui me chatouille sur les bras pendant que j’éssaie d’écrire sur internet...