J’comprends pas toutes ces tergiversations ici présentes, les amis. Pour une fois qu’un authentique tartufe doublé d’un probable salaud -je parle de Cohn Bendit- se fait prendre le sexe là où il ne faut pas, on ne peut que s’en réjouir, non ? Un sexe passé certes, mais qui ne cache pas l’abruti qui s’agite toujours au bout. De facto, les garçons, qu’importe si Bayrou-fait, Bayrou-ne-fait-pas, Bayrou-pète (roupette !) ou Bayrou-s’-tond (rouston), on s’en tape le coquillard ! A plus forte raison préparée, la mise en scène Bayrouiste prouve que le personnage en a. Et, la moindre des choses que l’on puisse dire, c’est que JFK, lui, en a beaucoup moins qu’il ne laisse l’entendre entre deux clignements d’yeux. Popu il est ainsi, l’aime pas les intellos, il attaque direct le bonhomme -Popu, c’est mon blase !-, car, si con qu’il est, il a compris depuis longtemps le gaillard que théoriser c’est comme terroriser, et que la branlette des méninges ça n’a jamais fait l’homme.