Mon dieu... je lis :
« "Avec le débat sur la taxe carbone, il fallait éviter de prêter le flanc à la critique d’une droite alourdissant la fiscalité" souligne Pierre Méhaignerie. »
Mort de rire la langue de chêne : le premier est un impôt des pauvres, le second est un impôt des riches !
En conséquence : actons le premier (grâce au pseudo-socialo de service), mais surtout, surtout, ne prêtons pas le flanc à la critique en taxant les riches !
Çà perd Lip aux pètes !