Pas tout à fait comparable tout de même.
Chez les Afghans ils ont au moins l’ excuse de l’ arriération et de la soumission aveugle à une religion hypocrite, misogyne, totalitaire et surtout extrêmement arriérée.
Dans le cas des réseaux de l’ horreur en Occident il s’agit de pervers sadiques, agissant en toute connaissance de cause, sans aucune limite dans l’ ignoble, et surtout faisant le mal pour le mal.
Les Afghans ne font que reproduire une tradition certainement très ancienne, pas clairement condamnée par leurs propres croyances. Il suffirait sans doute pour eux de se convertir à des croyances plus civilisées comme le bouddhisme ou le christianisme pour abandonner sans peine ce genre de pratique, plus en rapport avec la notion d’esclavage que de pédophilie proprement dite d’ailleurs.
En ce qui concerne nos réseaux de l’ horreur nous avons affaire à des tortionnaires sadiques, pratiquant le mal en toute connaissance de cause. Dans l’ échelle de l’horreur ils l’emportent haut la main sur les Afghans de ce reportage.