@traboule : merci pour votre réponse, on y voit très clairement les limites de votre raisonnement : d’après vous, un scientifique qui ne va pas dans le sens du NIST et qui fait ses recherches de manière indépendante est FORCEMENT un truthiste.... Bel exemple d’escroquerie intellectuelle, qui ne vaut guerre plus que le "vous êtes avec nous, ou contre nous" de Bush....
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Sur la nano-thermite, vous n’êtes pas expert, moi non plus. Vous êtes vous simplement donné la peine de lire la définition de ce que c’est ? Je vais vous aider :
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Le terme nanothermite désigne en anglais des Nanomatériaux "Intermoléculaires" Métastables (NIM). Ils se distinguent par la très grande quantité de chaleur produite lorsqu’ils sont enflammés. Les nanothermites sont un mélange très fin, à l’échelle nanométrique, d’un oxydant et d’un réducteur. Leur combustion est donc une réaction d’oxydo-réduction. Les NIM, y compris la nanothermite, sont des "substances dangereuses" étudiées et mises au point dans un but militaire ou non, pour des applications pyrotechniques, comme ergols ou explosifs.
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Donc votre assertion "mais il semble que des elements chimiques relevées peuvent s expliquer par des réactions de combustion avec le fer" ne tient pas la route 2 secondes....
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Enfin, sur la provenance des échantillons  :
http://www.dailymotion.com/video/xfjrcd_le-chimiste-mark-basile-confirme-la-nanothermite-au-wtc_tech
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On aura beau expliquer le ciel en long, en large et en travers à un esclave de la caverne de Platon, il préfèrera (presque) toujours croire le maître de ses geôles, qui dit que le ciel n’existe pas. A bon entendeur !