Quel type d’étude à fait cette erreur de casting pour devenir une excellence, ambassadeur de France en Tunisie ?

Un CAP de boucher charcutier ? Un BEP de plomberie ? Pas de diplôme mais quatre ans en tant que serveur en brasserie ?

Pourtant il y a en France, de brillant(e)s diplômé(e)s, qui sont sorti(e)s majors de leurs promotions, voir les cinq premiers, avec des bagages culturels, une réelle capacité d’écoute et à convaincre ses interlocuteurs. On ne peut que s’étonner de la médiocrité stupéfiante de l’actuel vacataire à ce poste, de son éducation inachevée et son élocution déplacée.

 Dans un second temps, on ne peut qu’être atterré sur les capacités d’évaluation de ceux qui l’ont parachuté à ce poste. Sont ils légitimes à ceux qu’ils occupent ?

Les terribles ricanements des médias étrangers répondent hélas que non ! Le coût de la perte de crédibilité de l’action diplomatique française est effarant et loin d’être arrêté. Les dommages mettront des années à s’estomper de tant d’incompétence accumulée.