On ne parle pas de la catastrophe que serait la victoire de DSK, aux primaires socialistes. La gauche ne s’en relèverait pas avant tellement longtemps, que celui-ci soit élu ou pas au soir de l’élection présidentielle de 2012. On parlerait encore longtemps de l’irresponsabilité historique des militants socialistes qui conduisit à la mort du PS aussi surement que le PC s’est suicidé en adhérant au programme commun de sinistre mémoire.