Dans le sketch que j’ai publié, le décor, la mise en scène sont quand même plus élaborés et puis le dialoque avec le faux journaliste apporte comment dirais-je une fantaisie supplémentaire, plus de spontanéité, c’est plus vivant, ils sont touts les deux plus naturels, tellement plus sympathiques. Non, ce sketch iranien restera son chef d’oeuvre à Dieuperdu, tout le reste fait pâle figure à coté même si, on est bien d’accord, le fond reste similaire. C’est vrai qu’il faut lui reconnaître de la constance à Dieuperdu, il répéte, répète, redit, récapitule, insiste, enfonce le clous, il traverse la cloison, il est chez le voisin qu’il tape encore. Ah, il le joue bien l’obsessionnel parano notre Dieuperdu. On lui crie un grand bravo....