Peut-être amusant mais certainement dérisoire.
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On parle de 100 milliards de déficit (50 milliards avec 2% de croissance annuelle), ce n’est pas 700 millions ni même le plan de 10 milliards qui gouvernement et encore moins le non remplacement de 1 fonctionnaire sur 2 (500 millions d’économies supplémentaires par an) qui changeront la direction du navire vers le crash..
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Même la suppression des 50 milliards de niches fiscales ne fait que nous ramener à la situation d’avant crise qui était déjà compromise, seule la date du crash final étant reculée.
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Même si on ramène les comptes à l’équilibre ce qui est de toute façon complètement invraisemblable à moins de bénéficier de 4% de croissance annuelle ou 2% + 50 milliards d’impôts en plus, 1600 milliards de dettes cumulées nous restent sur les bras, ils n’augmenteraient plus mais ils ne diminueraient pas non plus.
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100% du PIB de dette publique = point de non retour dépassé (80% suffit avec un gouvernement de droite qui refuse de revenir sur les cadeaux fiscaux). Dans deux ans on y sera même si la gauche l’emporte.

Le crash est inévitable, ce n’est plus qu’une question de temps.
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La règle d’or n’est qu’une diversion pour faire croire à la population et aux marchés qu’on peut s’en sortir, mais ceux qui en font la promotion savent que ce n’est pas vrai et ils ne songent en fait qu’à gagner du temps pour assurer leur réélection et profiter.