En Grèce, tout un chacun peut désormais admirer la déviation Goldmann-Sachs-hyène de l’édification de l’Europe, avec l’une de ses conséquences les plus catastrophiques ; la destruction nationale par l’usure, et en conclure en toute légitimité que l’idée européenne n’aura jamais eu, en définitive, d’autre dessein !
.
En réponse logique à cette négation de ce qui constitue une nation, quantité de potentats identitaires très marqués, vont voir le jour et connaitre de plus en plus de succès.
.
Ainsi la Grèce ne se suicide pas, mais se libère !
Et il ne lui serait pas possible d’y parvenir en désignant un Hollande grec, d’où l’émergence de Michaloliákos !
.
Mais je ne doute pas que ce pays réputé initiateur de la démocratie et de La fabuleuse machine d’Anticythère, ne sorte vainqueur de cette pénible épreuve !