@cassia
Il est évident que vous ne lisez pas quand un texte est trop long, il est évident que l’effort n’est pas chez vous une habitude, en resulte votre petit cerveau étriqué et bien bête, moi, je vous ai lu, et j’ai travaillé ma réponse, je suis repus la ou vous avez grignoté votre petite vache maigre.
Je vous offre, mais pour moi, encore une réponse :
"Il y avait aussi sur ce forum une dénommé cassia, tout chez elle me dégoutait, et je l’imaginais laide, sorte de vielle folle ménauposé ou de jeunette décérébré, fort en moi, je la savais mal aimé, je l’imaginais là, assise dans son appartement laid puant une sorte de produit chimique désodorisant les toilettes, certainement super névrosé et, chef d’œuvre d’ironie, conne à souhait, elle avait certainement une sorte de mari l’aimant mal agglutiné sur du foot en commentant la chose comme un pit bull devorant plein de bave l’os d’un bel agneau, ou célibataire, mal habillé, comme un épouvantail affreux et tue l’amour, aussi, je l’imaginais chantant du karen cheril comme une dingo, beuglant à tue tête, sans, miracle, s’auto casser les oreilles, elle avait toujours été sourde, j’imaginais ses dimanches ou trop feignante elle s’affalait comme le font les orques morts sur des plages déprimantes, là, elle dormait debout et son cœur triste hurlait la solitude, ou pire, son compagnon la labourait comme on charge des sacs, avec furie et baignant dans de la sueur acide et puante, puis, elle se re reposait, aussi, la semaine, son petit métier la satisfaisait, elle se soumettait à son patron avec des rires hypocrites, des grimaces en réalité, et elle travaillait mal, ou elle était dans son chômage permanent, ne profitant pas de ce fabuleux temps libre pour s’élever plus haut, cette femme, riait de la shoa, et je la haïssais pour cela".
Mais comme vous n’êtes rien je poste pour les autres ceci, car la guerre ne vaut pas la paix et il est bon d’élaborer les justes en délaissant les laiderones de votre espèce :
Extrait de l’idiot de Fedor Dostoïevski : Il paraissait vouloir déchiffrer quelque trait mystérieux qui, dans ce visage, l’avait frappé tout à l’heure. Sa première impression ne lui était pas sortie de la mémoire et maintenant il avait hâte de la soumettre à une contre-épreuve. Alors il eut la sensation encore plus intense que ce visage exprimait, outre la beauté, quelque chose d’exceptionnel. Il crut y lire un orgueil démesuré et un mépris voisin de la haine, contrastant avec une certaine disposition à la confiance et à une étonnante naïveté ; cette opposition dans une même physionomie éveillait un sentiment de compassion. La beauté éblouissante de la jeune femme devenait même insupportable sur ce visage blême, aux joues presque creuses et aux yeux brûlants ; beauté anormale en vérité. Le prince contempla le portrait pendant une minute puis, se ressaisissant et jetant un regard autour de lui, il le porta à ses lèvres et l’embrassa. Lorsqu’une minute plus tard il entra dans le salon, son visage était parfaitement calme.