Si on fait le croisement avec l’entretien de Pierre-Yves Rougeyron,
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http://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Pierre-Yves-Rougeyron-17891.html
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Le passage avec Jean Serisé, à 49:40, est éloquent de ce que sont les gens comme ce Malégarie, ces financiers, technocrates, théoriciens, techniciens de l’abstrait, oublient trop souvent le facteur humain et le concret dans leurs belles utopies théoriciennes. Il y a toujours de la casse sous-évaluée par ces "génies" à l’intelligence "supérieure" qui se masturbent le cerveau avec cette idée et dont les conséquences de leurs utopies sur papiers ont de graves répercussions sur les gens du quotidien et qui reconnaissent, pour certains, avoir mis le monde par terre, et d’en avoir honte, mais bon, ils sont vieux, ont bien vécu, donc on peut bien avoir un petit pincement au coeur en se regardant dans le miroir de l’âme avant de crever...
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A 29:10 Pierre-Yves Rougeyron (il est bien ce garçon) répond à la question de qui a voulu changer le système en élaborant la loi de 1973, où l’on apprend que ces hauts fonctionnaires ayant vécu dans l’ombre des gens de pouvoirs, se croyant d’une intelligence supérieure, trouvaient beaucoup plus stimulant de changer de système monétaire, jugé trop simpliste pour leurs grosses têtes.... Traitant avec mépris Pompidou de petit beauf, fils d’instituteur auvergnat...
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C’est à ce genre de salopes qu’ appartient Malégarie....
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L’idée d’europe et la fin de l’idée de nation aurait été possible sans casse sur un long terme, elle se réalisera sans doute un jour, mais en aucun cas en 20 ans, là, nous sommes les générations sacrifiées de ce projet, en 200 ans ce serait possible, à la rigueur, là on va direct dans le mur, pas besoin d’être d’une intelligence supérieure pour s’en rendre compte, sans parler de l’interminable émergence des pays dits "émergents"... Ou quand une stratégie stratégico-économico-technocratico-intello-stupido-caliméro-grosso-modo-quasimodo-jefédujudo-étepoignardedansledos échoue, soyons heureux, nous seront aux premières loges, sans être tous maçons, pour être au pied du mur. Car c’est au pied du mur évidemment, que l’on voit mieux le mur...
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Y a de la cervelle sauce cerise, chez moi, ce soir pour le dîner.... Bon appétit
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