Je tiens les écrans idéologiques que l’humain aime à concrétiser au moins en retrait, au pire en défiance...
Ils prennent une place escamotant la réalité pleine et entière et nous réduisent à de simples acteurs (au mieux) du monde que nous nous sommes créé...
Au final, les idéologies ne sont jamais anodines dans les conséquences qu’elles occasionnent.
Idéologies de droite, de gauche, collective ou capitaliste, elles rendent rarement justice à la dynamique naturelle à laquelle nous voudrions bien échapper (pour preuve, l’existence des croyances religieuses...).
En bref, la collectivité élabore ses propres frontières, nombreuses et multiples car sociales, idéologiques, territoriales, et en rapport avec notre croissance rarement compatible avec une vision cohérente du monde où nous évoluons.
Je préfère me tourner vers la réalité qu’accorder ma confiance à ces idéologies toujours à prendre avec des pincettes, et souvent à l’origine de dissensions entre membre d’une même espèce !
Somme toute, les idéologies collectives n’enfantent que rarement l’harmonie. S’il faut s’en convaincre, voyons l’état actuel et passé de nos civilisations, sombrant toujours dans des conflits en tous genres : sociaux, économiques, territoriaux, et j’en passe