"Vous auriez pu faire l’effort de regarder mes liens avant de balancer les vôtres..."
Désolé, je suis trop feignant pour ça... Et aussi, je suis d’une incrédulité à toute épreuve. J’ai néanmoins fait un début d’effort, j’ai lu Bilderberg et j’ai abandonné le premier lien. Pour des raisons que je n’ai pas envie de développer ici, je suis parvenu, il y a pas de mal de temps déjà, à la certitude que le groupe Bilderberg est semblable à ces leurres qu’on tire à partir de la vraie cible pour détourner le missile.
J’ai pris l’autre document à la 43e minute, et je n’ai pas l’usage de ce qui y est montré et dit. C’est peut-être vrai, peut-être faux, sans doute en partie vrai et partiellement faux, mais de toute manière, ça ne m’apprend rien que je ne pouvais imaginer...
"...je les regarde quand-même et voit avec une ironique stupéfaction, que les premiers touchés par la pauvreté et le chômage sont les catégories de personnes déjà les plus discriminées ? Bon sang quel Scoop, ma vision du monde vient d’être remise en question à cet instant T précis, vraiment, hein, merci."
Ne me remerciez pas, vous n’avez rien compris. Le vrai problème, c’est que ces immigrants tirent le pays vers le bas, abaissent la qualité moyenne de son peuplement et, du seul fait de leur nombre, vont exercer une influence de plus en plus grande sur l’évolution de l’Union. En Californie, ils sont fiscalement négligeables et socialement dispendieux, quoi que vous en pensiez.
Et déjà, Obama leur doit son élection de l’an dernier. Avec 18 millions de voix de retard dans le vote blanc, 14 millions de voix d’avance dans le vote noir et 2 millions de voix d’avance dans le vote asiatique, l’Afroricain est battu sans les 6 millions de voix d’avance qu’il enregistre avec le vote hispanique.
Les leaders de la communauté latino exploitent déjà cette nouvelle donne au maximum, pour faire monter les enchères, tant du côté démocrate que du côté républicain, dans l’optique de 2016. Les régularisations et les naturalisations vont tomber comme à Gravelotte. Si ce n’est déjà décidé officiellement, la construction du mur entre les Etats-Unis et le Mexique, sera abandonnée.
On sait aussi, par ailleurs, que les Blancs seront minoritaires dans le pays vers 2040-2050. Depuis quelques années déjà, les naissances non caucasiennes l’emportent numériquement sur les naissances caucasiennes, et l’avenir des Etats-Unis, ce n’est plus le shérif John T. Chance, c’est le sergent Garcia !
Le principal changement réside en cela que si Kennedy pouvait dire aux WASP et assimilés : "Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays", Obama est fondamentalement l’élu de ceux qui se demandent ce que le pays va faire pour eux.
Croire que ce sera sans influence sur la politique intérieure des Etats-Unis et sur leur rôle dans le monde, ressortit au complotisme de quai de gare.
"Je suis toujours fasciné par ces gens persuadés que les clivages gauche/droite au sein de la "démocratie" sont les bases du pouvoir..."
L’UMPS démontre, comme les "grandes coalitions" allemande et italienne, que ce ne sont certes pas les bases du pouvoir, mais ils restent les bases du combat politique,
pour ceux qui considèrent que ces clivages correspondent à deux visions foncièrement antagonistes de l’homme et de l’humanité, et par conséquent, des buts de la politique.
"Au moins vous, à l’inverse de ma personne, êtes particulièrement peu lassant."
Vous devriez essayer de vous renouveler... Qui sait ?