Il finira légume avec le cerveau dans le formol cryogénisé en attendant que la robotique puisse lui permettre de bander à nouveau avec une tige en aluminium renforcée au bois de ginseng grâce aux nanotechnologies évolutives transhumaines...
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Monde merveilleux où les femmes auront des vagins en fibres de chlorophylle et mousse latex et chacun pourra imprimer ses organes de rechange chez lui en 3d. Plus personne n’aura son mot à dire, ni sa liberté de penser, mais en même temps on s’en fout puisque ce sera le paradis sur terre avec Jérusalem pour capitale, selon Attali...
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Il n’est qu’un visionnaire avec le talent en moins d’un auteur de science fiction, un outil que l’on jette après usage, il a bien servi certes, Pablo, tu as raison, mais est désormais obsolète, il attend la mise à jour de son logiciel et il espère que ça arrive avant la fin de son tic tac biologique qui ressemble de plus en plus à un ticket pour un aller simple dans l’au delà. Lui reste plus qu’à se tourner, à défaut de succès scientifique opportun avant échéance dans la recherche pour l’immortalité, dans la croyance à la réincarnation et prier pour ne pas revenir sur terre en cochon d’Inde...
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Parce que chez lui ça doit commencer à méchamment sentir le conifère... Et ça fait tache les senteurs d’un sapin de noël dans la chambre d’hôtel d’un hyper nomade...