Je pense que pablo a raison. Le PS est dans
une logique de fracture ethnique des classes populaire (tactique dont profite
in finé au FN qui voit grossir ses rangs de prolétaires blancs) : si les
classes populaire paupérisée ne peuvent plus voter pour lui à cause de ses
multiples trahisons, alors une fraction de celles ci (les quartiers populaires)
voteront pour lui pour des raisons sociétales ou par crainte des droites
identitaires (cfr terra nova, le think thank socialiste et sa recommandation au
parti de s’appuyer sur les diplômés , Les jeunes , Les femmes et les minorités et les quartiers
populaires ).
Pour contrer cette tactique, il faudrait voir l’émergence d’une
force politique qui ne soit ni de droite, ni de gauche mais populiste et
capable de faire la jonction entre classe populaire périurbaine composé de
français de souche et les quartiers populaire constitués de français de branche
en axant son discours sur le social et laissant le sociétal aux choix
référendaires.
L’UPR a le profil mais ne décolle pas électoralement. Et si
Jean Claude Michéa arrêtait d’écrire des bouquins et se lançait dans la réalpolitique ?
On peut toujours rêver
mais je ne vois pas d’issues …