La mère est questionnée sur la culpabilité qu’elle pourrait éprouver et elle répond par l’affirmative en précisant qu’elle est condamnée à perpétuité par la perte inconsolable de son enfant.

Ce que je dénonce, c’est le deux poids, deux mesures systématique consistant dans certains cas à incriminer les parents, et dans d’autres cas plus ou moins similaires à ignorer la question d’une éventuelle absence de discernement des parents. 

Le cas évoqué est toutefois tellement terrible que le journaliste serait mal venu de jeter le trouble sur les parents de la fillette. 

Il y a des circonstances où les journalistes devraient se taire comme par exemple lorsque un jeune des quartiers déshumanisés se fait tué par un agent des forces du désordre pour une peccadille.

Sur le cas particulier du suicide de la jeune fille, je ne peux rien dire de concret car je ne dispose pas de tous les éléments essentiels susceptibles de me permettre de prendre une position définitive.

Le seul témoignage de la maman ne peut suffire à se faire une idée exacte de la réalité des faits qui ont abouti à ce tragique et funeste destin.

Bien à toi.