Oui, ils sont peut-être nuls à chier.
Moi, je me demande surtout si ces gender studies auront autant de succès en France.
Les Anglo-saxons sont quand même particuliers dans le domaine de la recherche univeristaire.
Bernard Lugan admire le mode de fonctionnement de l’université américaine pour sa liberté (recherches possibles sur les ethnies,...). Mais ce qu’il ne dit pas, c’est que là où les Blancs ont le droit de mener des recherches pour stigmatiser les Noirs ou les Hispaniques, ces derniers ont le droit de répondre par des recherches tout aussi partiales et ethnocentrées. Les gender studies participent justement de cette recherche américaine communautarisée. Cela va-t-il fonctionner en France ? Là est la question.