Awake ,
La première fois que j’ai regardé Napoléon raconté par Henri Guillemin , ça avait été comme une grande baffe .
Les "petits papiers" qu’il avait trouvés en remuant les archives militaires officielles , et dans les correspondances des proches de "l’ogre" ou de ses détracteurs de l’époque , nous donnaient le portrait inverse (mot à la mode) de ce que l’on nous avait raconté à l’école , ou dans des biographies qui n’étaient que des hagiographies grotesques .
Je comprend qu’il soit un modèle à suivre pour Marion Sigaut .