Jacques Attali, un mégalomane d’une rare intolérance. Il méprise tous ceux qui le contredisent et sait manier le sophisme à la perfection. Il affirme tout et son contraire, critiquant les effets pervers de la mondialisation mais prêchant pour une gouvernance mondiale. Il fait partie de la bande à BHL, Finkielkraut et consort, distillant avec habileté les projets du sionisme international et le génie d’Israël. Son rêve suprême n’est-il pas un gouvernement mondial avec Jérusalem pour capitale ? Autrement dit la victoire du sionisme dans son entreprise débutée à la fin du XIXème siècle. Il squatte les émissions de télévision, détenant le record des interventions télévisées. Son discours, toujours le même, vise à lobotomiser l’auditeur pour lui faire admettre la justesse de son propos. Présenté comme un intellectuel de haut vol, il va de soi, que nombreux sont ceux qui sont impressionnés par la limpidité de son verbe et par son érudition, au demeurant réelle. Sauf que l’intelligence et le savoir ne sont pas forcément mises au service de causes généreuses et universelles. Comme BHL, il travaille pour Israël !