@nymeo :
Je ne suis pas de ton avis concernant la prise de conscience populaire.
Les déficits représentatifs associés aux discrédits des médias n’ont jamais été aussi importants.
Et Internet y est pour beaucoup.
Le clavier n’est que l’outil pour écrire, que ce soit un mail ou un courrier.
Le plus important reste d’expliquer et de fédérer IRL.
 
Concernant la répartition des richesses, tu serais surpris de la réaction des gens dans la rue, lorsque tu leur explique que l’an dernier, ils ont chacun, en moyenne, crée pour plus de 595 € / mois de richesses qui sont parties directement dans le capital...
Aussi bien ceux qui ’ bossent ’, que ceux qui sont à la retraite, comprennent les incidences du transfert des richesses créées depuis les poches de ceux qui les créent vers celles de ceux qui les amassent.
 
Je ne suis pas un politicard tentant de séduire pour mieux circonvenir avec des fadaises, je ne désire ’ convaincre ’ personne, la seule chose qui importe est que chacun dispose de TOUTES les informations pour ensuite construire son propre raisonnement.
 
Le changement s’opérera inéluctablement.
La concentration des richesses spoliant plus de 99,98 % de la population des richesses qu’elle créée est à son apogée.
Et vu que la concentration d’aujourd’hui n’a ni nationalité ni idéologie autre que le lucre, ils ne pourront que tenter de payer une partie de l’humanité pour asservir l’autre partie.
 
Je vais t’inviter à réfléchir aux solutions concernant les 2 principaux maux de notre civilisation mondiale :
  
L’abrogation à l’échelle mondiale de la création monétaire privée et l’interdiction de toute forme de spéculation.
 
Pendant les 30 glorieuses, en France, ce qui fit le patrimoine actuellement détenu par les Français, ce fut d’avoir privilégiées les richesses à venir en dévalorisant les richesses créées.
 
C’est ce patrimoine, que visent tous les salopards de la finance et de la banque.

La retraite ?
Elle est en passe d’être ’ libéralisée ’...
 
La sécu ?
Elle va suivre le même chemin.

Du jour ou la création monétaire publique fut interdite, l’endettement a servit de levier pour la casse sociale, pour en arriver là ou nous en sommes aujourd’hui.

Nous avons tous, dans nos familles ( à part quelques badaboeufs consanguins ), quelqu’un d’origine Italienne, Espagnole, Portugaise, Anglaise ( encore que là, c’est moins évident, mais beaucoup de Français parlent et écrivent Anglais de nos jours ), Allemande ( encore moins évident, vu leur démographie asociale ).
 
C’est avec eux, qu’il faut construire l’ Europe de demain, et non en tentant de s’isoler du reste du monde dans un utopique nationalisme qui n’a aucune chance de réussite.
 
C’est à eux de relayer, chacun dans leurs pays, les techniques à mettre en œuvre...
 
Si demain, 10% des chômeurs de chacun des pays signataires de la traîtrise de Lisbonne faisaient le siège des institutions représentatives qui sont censées se préoccuper de leur bien, je ne donne pas cher de toute institution pervertie par la finance.

Sans t’aimer ni te haïr.
   
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@ débiloboss :
Les outils, pas la propagande...
Lorsque j’invite chacun à contraindre ses représentants à œuvrer pour le collectif, je ’ n’incite ’ pas à y copier-coller les merdes pré-pensées par les ’ cadres ’ du FhaiNe