La France s’est opposée, par la voie de son ministre des Affaires étrangères [Laurent Fabius, juif et agent israélien, ndlr], à la tenue de ce scrutin sur son territoire. Le 23 mai, dix-neufs Syriens résidant en France ont alors saisi le Conseil d’État, selon la procédure du référé « liberté », afin que des mesures soient prises d’urgence pour aller à l’encontre de cette décision et permettre le vote. Mais dans les heures qui ont suivi leur dépôt, ces requêtes étaient toutes rejetées par le juge des référés (M. Bernard Stirn [juif et agent israélien qui a annulé une décision judiciaire autorisant un spectacle de Dieudonné, ndlr]), qui déclarait la juridiction administrative incompétente concernant une décision non-détachable des relations internationales de la France.