Ça c’est pas faux. Et j’ai découvert autre chose : si l’on remarque assez facilement finalement les anomalies, en revanche il est beaucoup plus difficile de remarquer les anomalies par absence. L’exemple le plus criant est l’absence de photographies à très haute résolution des sites lunaires d’Apollo.
On devrait en avoir des milliers depuis le temps, surtout que les orbiters de plusieurs nations (États-Unis, Russie, Japon, Inde, etc.) photographient la surface lunaire depuis une orbite située à seulement 100 km d’altitude alors que des satellites terrestres situés à 800 km d’altitude arrivent à lire le titre d’un journal posé au sol, et à travers l’atmosphère !
Et pour la Lune, rien de semblable. On a que quelques images prises de très loin, où l’on ne discerne pas grand chose. Il y a un problème. On cache quelque chose.