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Commentaire de ekran

sur Faut-il être de gauche pour être invité aux Rendez-vous de l'histoire de Blois ?


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ekran ekran 14 octobre 2014 01:58

c’est marrant de voir qu’au rdv de l’histoire, JR vient pour parler de la liste des personnalités politiques invitées, pas des historiens, ni du programme... le doigt, la lune, JR toujours à la pointe quoi...

autrement, j’invite tout le monde à consulter la programmation pour voir autour de quoi tournent les débats : http://www.rdv-histoire.com/-DEBATS-CONFERENCES-ET-1000-.html

pour les plus pressés, je publie quelques intitulés des débats, qui ont dû certainement échapper à notre notre intrépide journaliste  :

  1. Royalistes et catholiques : des rebelles ??
     ?
    De 14h à 15h30 - Amphi 3, Université

    Table ronde avec Hélène BECQUET, professeure agrégée, chartiste, Paul CHOPELIN, maître de conférences à l’université de Lyon 3, Jean-Clément MARTIN, professeur émérite à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Simon SARLIN, professeur agrégé, docteur, enseignant à l’université d’Aix-en-Provence, Clément THIBAUD, maître de conférences à l’université de Nantes.

    France, Italie, Amérique latine, les contre-révolutionnaires ont été des rebelles soulevés contre les révolutions des XVIIIe et XIXe siècles. Leurs combats violents ont laissé des mémoires qui demeurent toujours vivaces, mais qui restent encore mal intégrées dans l’histoire.

  2. Vous avez dit "rebellocrates" ?

    De 14h30 à 16h- Hémicycle, Halle aux Grains ?

     ?Proposé par le journal Le Monde

    Table ronde avec Jean BIRNBAUM, journaliste au Monde, Aymeric CARON, journaliste, Marcel GAUCHET, directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, au Centre de recherches politiques Raymond-Aron et rédacteur en chef de la revue Le Débat, Élisabeth LÉVY, journaliste et essayiste, Nicolas OFFENSTADT, maître de conférences à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

    Quelle place pour la révolte lorsque chaque homme de pouvoir s’en réclame ? Comment parler d’insoumission quand la subversion devient un slogan publicitaire, et la dissidence un conformisme ? Le beau mot de rébellion a-t-il encore un sens alors que partout règnent les rebellocrates ?

  3. Les droites peuvent-elles être rebelles ?

     ?De 10h à 11h - Salle des conférences, Château royal de Blois

    Conférence de Danielle TARTAKOWSKY, présidente de l’université Paris 8

    La manifestation de rue qui, en France, n’est pas synonyme de rébellion l’est à moins fort titre s’agissant des droites. Cette disparité n’exclut pas que certaines d’entre elles mobilisent l’imaginaire de la rébellion. Ces deux aspects nous retiendront.


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