@Sylvenold : "Puisque tu sembles sur de ton fait, propose alors une thèse et présente là à un comité de lecture afin d’être évaluée par tes pairs."
J’ai distingué avec précaution d’une part ce qui est convenu en l’état actuel de la recherche et d’autres part l’hypothèse que je présente simplement comme "non absurde". Cette hypothèse est la suivante : la curiosité pour les questions métaphysiques et religieuses pourrait jouer un rôle bénéfique sur le développement et la santé du cerveau, comme d’ailleurs la curiosité appliquée à d’autres sujets très stimulants : la politique, la science, la musique, etc.
Il n’y a rien là de bien audacieux ni de fort dérangeant, excepté peut-être pour un mental complètement sec, ou bien pour une personnalité en souffrance qui aurait un problème psychologique avec la notion même de spiritualité à cause de sombres et amers souvenirs d’une éducation religieuse perverse. Toujours est-il que vos réponses chargées de haine et présentées sans méthode ne nous permettent pas de savoir ce que vous contestez exactement. Il est donc difficile d’avoir un dialogue raisonnable avec vous, ce que semblait indiquer déjà votre comportement de troll chargeant son message d’une cohorte de smileys rigolards (désolé, c’est un symptôme).
Quoi qu’il en soit, les personnes intéressées trouveront ici des informations assez complètes sur la position des chercheurs de l’Inserm (par exemple) à propos de la maladie d’Alzheimer (les liens en bas de page sont aussi des développements intéressants). On y voit clairement qu’il existe bien des types de prédisposition génétiques, environnementaux et comportementaux, ainsi que des études sérieuses et documentées sur le rôle de l’activité intellectuelle dans l’évolution de la maladie. On ne sait pas encore si cette activité peut prévenir ou seulement retarder la maladie mais son effet est constaté au moins sur le plan statistique à une hauteur considérée comme significative.