Je vous trouve sévère avec Charlotte, femme d’Attal sans i, mais dans un lit, elle fait ses preuves, à croire qu’elle y passe le plus clair de son temps à répéter ses rôles de composition pour les plus grands réalisateurs aussi visionnaires que glauques comme Lars von Trier (sans rotweiler) avez vous apprécié ses prestations remarquées en biscuit oreo dans Nymphomaniac et son apologie de l’auto excision aux ciseaux de couturières dans Antichrist ? Prise en diverses positions dans un acte sauvage non simulé par un pauvre Willhem Dafoe dont on voit le piston entrer et sortir en gros plan d’une chatte à charlotte à la cyprine couleur framboise, mâle abscon au corps torturé, bien niké sa race cong, par l’esprit malade de celle qu’il voulait thérapeuther entre deux défonçages de minou mal rasé à l’heure de la mode des pubis glabres, une provocationà l’esthétique éthique élastique, life in plastic, so fantastic ?
Une performance digne des plus grandes, on se demande si une roturière, à comprendre non pistonnée par papa ou maman juste pistonnée par pénis interposés de producteurs et autres réalisaturs ambigüs confondus de sperme et de sueur entre deux prises de tête, du genre Nabilla ou Elora Malagré aurait pu assumer une telle donation de soi même devant un objectif viscéralement voyeuriste avec une crédibilité aussi touchante qu’assumée de perversité enfouie et jaillie à la manière d’une éjaculation d’émotions brutales pour nos plus grands plaisirs visuels autant que sexuels ? Je vous le demande... Seule la Fille, avec un grand F, issue des couilles d’un génie Gainsbourien eût pu assurer un tel rôle frisant de ses longs poils pubiens la perfection inachevée d’une étoile morte née sans avoir été fécondée. A méditer.