@Qiroreur
Bonjour
Oui. Admettons que l’impact a été d’une violence inouïe et que "l’avion" s’est pulvérisé en plusieurs morceaux très très petits, que l’on ne puisse identifier positivement les débris comme lors de crashes en général (moteurs, ailes, empennage, bouts de fuselage et de cockpit, etc...)
Peut on croire alors les autorités, lorsqu’elles affirment avoir identifié les passagers par leur ADN ? Est il possible que les corps aient été retrouvés alors qu’il ne reste rien de l’avion ou de petits fragments ?
Autre problème avec ce scénario : Un avion de cette masse ne peut pas voler à une vitesse rapide en rase motte pour des raisons d’aérodynamisme, au risque de décrocher ... D’ailleurs les aiguilleurs du ciel pensaient que c’était un avion de chasse étant donné sa vitesse et sa manoeuvrabilité.
Peut on croire aussi en la précision de cette manoeuvre alors que les pirates de l’air étaient des pilotes amateurs ?
Enfin, si cet avion c’est volatilisé à l’impact, comme encore expliquer le trou béant circulaire dans l’anneau C ? Donc l’avion se désintégre à l’impact, mais un de ses moteur trouve le moyen de traverser au moins 6 murs .jusqu’à l’anneau C ?
Bref, quelque soit le bout par lequel on prend l’attaque sur le Pentagone, il est évident que la VO ne tient pas la route... et je vous fais grace du "stand down" du NORAD, alors que 129 avions avaient été interceptés pour l’année 2000.