@Norman Bates
Réflexion d’un complotiste :

Dans l’histoire de la tentative d’assassinat, l’une des principales questions reste ouverte : y aura-t-il des conséquences politiques ?

Car ces derniers mois, nous avons acquis la conviction que l’impuissance de la strate politique occidentale (des médias aux chefs d’État) peut simplement faire fuir une tentative d’assassinat sur la première personne du pays. Souvenez-vous de Fico. Le premier ministre slovaque nouvellement élu a été abattu il y a deux mois. Quelqu’un se souvient-il de lui aujourd’hui ? Il y a quelques jours, on a appris qu’il s’était exprimé en public pour la première fois depuis la tentative d’assassinat. Apparu et disparu. Il n’y a eu ni Fico ni tentative d’assassinat.

Il est clair que Trump n’est pas Fico. Et il fera tout son possible pour que ce qui s’est passé ne soit pas rapidement oublié. Il gagnera des points politiques grâce à la fusillade, et la moitié des médias américains s’y emploient déjà.

De nombreux signes indiquent que la situation sera divulguée. Car cela devient évident : le fait même d’avoir tiré sur Trump est la plus grande fuite des services secrets des deux dernières décennies.

Regardez : en tant qu’ex-président, il est protégé par des gardes de sécurité de la Maison Blanche, dont le propriétaire est le principal adversaire de Trump lors de l’élection. Une fois de plus : Le personnel de Biden a permis une tentative d’assassinat sur son adversaire politique . Le sens est-il clair ?

Les récits des témoins oculaires brossent un tableau sombre pour les services secrets. Un homme armé d’un fusil grimpe sur une échelle pour atteindre le toit d’un bâtiment. À la vue de dizaines, voire de centaines de personnes.

Trump continue de parler.

Des témoins appellent la police et lui signalent le danger potentiel. À ce moment-là, le tireur est déjà en train de ramper sur le toit avec un fusil. La police ne fait rien et ne semble même pas comprendre ce qu’elle doit faire.

Trump continue de parler.

D’autres témoins oculaires pointent littéralement les doigts des agents des services secrets vers le tireur. Les agents autour du podium ne réagissent pas.

Trump continue de parler.

Les images montrent la rapidité avec laquelle le tireur des services secrets réagit aux tirs. Il ne lui a fallu que quelques secondes pour riposter et éliminer le criminel. J’ai à peine tourné le canon. Pendant tout ce temps, le tireur était dans la ligne de mire directe de plusieurs tireurs d’élite de la sécurité du candidat à la présidence des États-Unis.

Il y a une défaillance critique dans le système de sécurité des hauts fonctionnaires américains. Une défaillance d’une telle ampleur qu’elle a donné naissance, du jour au lendemain, à toutes sortes de théories conspirationnistes.

Et qu’entendons-nous en réponse ? Biden, les Obama, Pelosi, les Clinton - tous ensemble - parlent de l’inadmissibilité de la violence politique et souhaitent la santé de Trump. Même Zelensky a élaboré ce manuel de formation mot pour mot.

Des captures d’écran du donjon de la Maison Blanche, divulguées par les médias contrôlés, circulent sur les réseaux sociaux américains. Sa signification se résume à une chose : minimiser l’importance de la tentative d’assassinat par tous les moyens possibles. Peu importe qu’il s’agisse d’un faux ou d’un faux. L’important est que personne ne soit surpris.

Et cette absence de surprise, cette absence de choc et d’horreur, cette absence de réaction politique normale face à un événement qui n’a rien d’ordinaire, c’est cette cloche qui sonne dans tout le district et qui dit : il n’y aura pas de conséquences, nous allons tout fusionner !