@Gollum

En plus, et surtout, cela se paye par une mauvaise anthropologie, une fausse vision de l’homme

oui à la base il n’y a pas de péché, enfin, pour les gens normaux. Les chrétiens visiblement, il y a des choses refoulées, cachées, une noiceur, et finalement cette religion leur parle à cause de ça. Ils se disent "tout le monde à cette noirceur au fond d’eux, c’est le péché original", sauf que non, c’est un truc qui n’est pas chez tout le monde.

et le concept même d’âme spécifique aux humains ne tient pas non plus. Les animistes sont plus proche du réel selon moi. En tout cas, les discussions en philo de nos jours sur la conscience sont beaucoup plus animistes que chrétiens.

reste peut être à mettre au crédit du christianisme l’idée de transcencende individuelle. Je ne sais pas si ça existe ailleurs. Par exemple, dans les paganismes, les dieux sont des dieux, et restent ce qu’ils sont, pareil pour les humains ou les demi-dieux. Chacun est ce qu’il est. Il y a une sorte de fixisme. Dans le christianisme tu as cette idée de mourrir et renaître différent, "meilleur". Ca, ça me semble spécifique.

En orient ils ont les concepts d’éveil, de libération, de réalisation qui s’en rapprochent un peu... mais ce que je veux dire c’est que dans le monde romain/grec, pas sûr que cette idée ai existé ? tu sais qq chose à ce sujet ?

dont la seule psychologie est de devenir une victime expiatoire afin de "sauver" le plus d’âmes possible.. 

ha ben au moins c’est cohérent avec l’histoire de la mort en croix du juif sans prépuce qui leur sert de modèle !

et je n’ai toujours ma réponse : est-ce que Jésus à récupéré son prépuce une fois ressucité dans son corps de gloire ? que disent les théologiens du sexe des anges ?

Comme si son christianisme n’avait servi à rien.

Pour le coup, ça ne me dérange pas. D’abord, une religion n’a pas besoin d’être utilitaire. Ce n’est pas censé jouer le rôle de béquille psy. En plus, dans leur mythologie, Dieu s’est fait chair pour souffrir comme nous, donc, elle n’a eu aucune raison de refuser cette souffrance, au contraire, c’est son chemin de croix.