Mes rituels remerciements à ceux qui ont permis à ce bébé module de voir la lumière du jour agoravoxien.

Bébé module en deux volets parfaitement reliés l’un à l’autre avec une première vidéo hautement éclairante dans laquelle un souverainiste pur jus affronte un souverainiste d’affichage...ce constat peut sembler rude, mais je ne vois pas comment qualifier autrement celui qui finalement accepte, tolère, que la France soit soumise à des entités supranationales (composées de non élus) qui décident à sa place...même si cette emprise ne devait être que marginale, sur le principe elle doit provoquer une sévère allergie...

Il est également curieux d’entendre Messiha énoncer tous les éléments de langage anxiogènes habituellement réservés aux européistes...tout en avançant l’idée d’un "plan B" avec potentiellement un Zemmour capable d’ordonner la sortie de l’UE et de l’euro, perspective qui provoque une grosse crise d’hilarité chez ceux qui connaissent bien le projet, l’idéologie et l’environnement de l’intéressé, pur produit de la clique mondialiste dont le discours "disruptif" ne peut gruger un esprit bien informé...

La seconde vidéo dévoile le "BDE" d’Ursula, un outil capable par ses nouveaux moyens d’amplifier la mainmise de la Commission, selon son bon vouloir, sur les circuits démocratiques des nations...il n’y aura plus que de l’ingérence, européiste et américaine, mais carrément la possibilité d’annihiler les processus électoraux qui vont dans le mauvais sens, c’est à dire hostiles à cette véritable mafia tentaculaire...

A signaler : le pudique silence observé par l’ensemble de "notre" clique politicarde, aussi bien sur ce "BDE" que les tripatouillages en Géorgie, Roumanie, l’ingérence manifeste de certaines ONG bien connues etc...encore un marqueur fiable pour distinguer les souverainistes sincères et les souverainistes d’opérette qui, eux, se bornent à flatter les oreilles pas trop regardantes de discours agréables à l’écoute mais vides de la volonté et des actes pour retrouver une France libre.

Une forme d’anesthésie douce que les médias aux ordres de l’oligarchie aiment bien promouvoir pour faire briller une lueur trompeuse de pluralisme...

Je termine par la conviction que la souveraineté de la France ne se discute pas, ne se négocie pas au prix de quelque compromis et compromission, elle se décide, elle s’arrache quoi qu’il en coûte parce que la liberté de choisir, elle, n’a pas de prix...