@beo111
Certes ! mais...au temps de Mongénéral l’UE était entre gestation et premiers balbutiements...avec, entre parenthèses, aux manettes un agent de la CIA et un français frappé d’indignation nationale pour avoir collaboré avec les allemands (Schuman, Monnet) et cerise sur la croix gammée, un ancien officier de la Wehrmacht nommé premier président de la (grosse) Commission (Walter Hallstein)
Avec des pères fondateurs de ce tonneau...bref...
Le seul "gros délire" de l’époque fut la vision fédéraliste du projet européiste, il n’y avait pas de monnaie commune, le commerce n’était pas une compétence exclusive de la Commission, les traitres traités aux innombrables verrous coercitifs n’étaient pas signés...
Il subsistait une confortable marge de manœuvre pour maintenir la souveraineté des nations...
Aujourd’hui la reine-mère Ursula veut une armée européenne, le partage de la dissuasion nucléaire française et décide seule de l’envoi d’armes et de dizaines de milliards (Pfizer idem) à l’Ukraine épicentre mondial de la corruption...sous le silence assourdissant de toutes nos vaillantes "oppositions" dont les sirupeux discours sont en dissonance avec leurs votes à l’AN ou à Bruxelles...
C’est cette ligne de démarcation qu’il faut rendre visible entre les souverainistes authentiques et les souverainistes d’affichage...
Enfin, le projet européiste n’est lisible et compréhensible que si on lève le voile sur l’ensemble de ses initiateurs et leurs infinies ramifications...