@TchakTchak
Niouw
Ouorld Ordeur
Ce NOO qui
se dessine, on a quand même bien du mal à en saisir les contours.
Dans ce
« théâtre d’ombres », pas facile de s’y retrouver, et surtout de voir
qui, quoi va finalement s’imposer.
Trop de
forces, de facteurs qui interagissent, de dimensions spirituelles et
matérielles qui se toisent, de contradictions.
L’homme
étant ce qu’il est, je crois que les forces spirituelles sont majeures et
commandent tout le reste (sauf dame nature qui nous domine), tel est mon a
priori. Qui explique la « disparition » de l’UE en termes
géopolitique, du fait de son vide spirituel.
L’IA, qui va
tout embrouiller, va renforcer encore le besoin de guide spirituel.
Et le
réchauffement qui se confirme (ou pas), la peur millénariste, appelle au religieux.
L’islam et
les néo-conservateurs, portés respectivement par les Arabes et les Juifs, sont deux
acteurs majeurs. Leurs forces sont d’abord spirituelles et historiques, fondées
sur la Bible. Deux frères ennemis qui ont tout le temps devant eux pour
s’affronter, ils en donnent le spectacle chaque jour que Dieu fait.
L’UE est
pour ces deux entités idéologiques et religieuses un vide à occuper, le Vatican
ayant déclaré forfait suite aux deux guerres mondiales et à l’aventure nazie.
Elles s’y emploient et se confrontent sans aménité. La France est leur terrain
de jeu privilégié.
Trump
représente une 3ème force spirituelle : la Nation, l’identité
nationale faite de géographie, de langue, de culture, de conquêtes et
d’histoire. Cette 3ème force a choisi de disparaître en Europe, de
se suicider, suivant en cela le même chemin que le Vatican. Cela vaut à
l’Europe le mépris de JD.Vance et de son patron. L’UE paye son vide spirituel,
sa négativité (pas de haine (pas d’amour), pas de racisme puisqu’il n’y a pas
de race, pas de différentiation sexuelle, pas d’enfants, pas d’identité … Rien,
le vide … sauf l’envie de faire la guerre à la Russie).
Et puis il y
a l’Asie, qui se moque pas mal de nos histoires bibliques et droitdelhommesques
(les Ouïgours qui leurs causent quelques soucis mis à part).
Ce « théâtre
d’ombres », c’est du Shakespeare ou du Feydeau ? Plutôt du Shakespeare,
parce qu’on ne rigole pas vraiment par les temps qui courent.
Pour la
suite du NOO, je donne ma langue au chat.