Celui la n’était pas réfractaire au Tout Sauf Sarkozy, surtout entre les deux tours : -)
Et ce n’est pas tant les gens du PS qui étaient réfractaires à Ségolène Royal mais bien elle qui a eu (et a encore) comme stratégie de contourner le PS en s’appuyant sur sa (supposée ?) popularité. L’explication la plus plausible de la défaite, c’est que le Parti Socialiste n’était pas réellement prêt face à un Sarkozy qui était clairement LE candidat de l’UMP, soutenu par son parti et très préparé. Tout s’est organisé dans la précipitation, au dernier moment au PS, à tel point que ségolène Royal a organisé ses fameux débats participatifs dans la dernière ligne droite.
La constitution d’un "shadow cabinet" au sein du groupe PS à l’assemblée est une très bonne nouvelle, qui permettra à la gauche (espérons le) de PROPOSER des solutions concrètes (et non plus être dans la critique qui ne propose pas grand chose, comme cela a souvent été le cas) face à l’UMP : -)