De récents articles de presse nous ont révélé qu’au début de l’année 2005, une jeune fille de 12 ans a subi un viol collectif par cinq « petits frères » dans une cave du quartier du Lignon.
Ce quartier de 7 000 habitants, où se situe le plus long bâtiment d’Europe (1 060 mètres !), a été construit au début des années 60 pour accueillir le baby-boom de l’après-guerre et les travailleurs du sud de l’Europe. Aujourd’hui ils sont peu à peu remplacés par des populations extra-européennes et des « réfugiés » Albanais du Kosovo.
Une copie presque parfaite des banlieues françaises, à cela près qu’on ne connaissait pas au Lignon les mêmes violences. Il semble bien que la situation évolue ces derniers temps... Le Lignon est devenu un quartier moins sûr. Des bandes d’autres quartiers viennent régulièrement s’affronter avec les caïds locaux.
Mais aujourd’hui, c’est bien le pire des crimes qui a été commis. Et il n’y a que notre colère pour l’emporter sur notre effroi.
Les grands frères interrogés par la presse ont néanmoins la justification absolue de cet acte odieux : « « Les filles sont toutes des putes. Vous n’avez qu’à regarder comme elles s’habillent ! » (la Tribune de Genève 24/11/2005).
Ce « fait divers », qui vient s’allonger à une liste de plus en plus longue de crimes et délits, laisse présager d’un avenir bien sombre si nous continuons de promouvoir la haine de notre identité et une immigration toujours plus massive et incontrôlée. Trois semaines d’émeutes violentes en France ont bien démontré où ce type de comportements irresponsables pouvait mener.